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Pratique Auto

5 bonnes raisons d’opter pour le covoiturage pour vos trajets quotidiens !

Le covoiturage courte distance est en plein essor, sous l’effet notamment de sites de mise en relation instantanée dédiés aux trajets du quotidien. Économie, écologie, convivialité, on y gagne sur tous les plans. Conducteur ou passager, vous avez tout intérêt à vous y mettre !

Les raisons de mettre en place du covoiturage :

Facile à mettre en place

Sur les sites de mise en relation, les conducteurs proposent des trajets selon leur emploi du temps. Si certains sont des covoitureurs ponctuels, beaucoup effectuent le même trajet tous les jours pour aller à leur travail.

Destination, dates de trajets, heures de départ : tout est pensé pour trouver facilement son ou ses partenaires de covoiturage.

Des économies sur les frais de transport

En partageant la même voiture sur un trajet, les frais sont divisés entre les passagers. C’est le cas particulièrement des dépenses de carburant, mais aussi des péages, voire des frais de parking ou d’usure de la voiture.

Moins de pollution et plus de fluidité

Une voiture bien occupée, c’est aussi un excellent moyen de diminuer les émissions de gaz à effet de serre et de limiter les embouteillages. Au Canada et aux États-Unis, des voies sont réservées aux Véhicules à Occupation Multiple.

Des trajets plus conviviaux

Le covoiturage est un excellent moyen de faire des connaissances, et de découvrir vos collègues ! Les trajets paraissent moins longs quand on discute, et le risque d’endormissement est moindre. Pour une meilleure ambiance, voyagez avec des personnes qui partagent vos goûts : musique, voyages, discussions…

Sans oublier l’assurance du covoiturage

Outre son assurance auto, le propriétaire du véhicule doit souscrire obligatoirement une assurance responsabilité civile. Cette garantie couvre les dommages qui peuvent être occasionnés à des tiers lors d’un sinistre. Ainsi, le passager est protégé.

Vérifiez que l’assurance couvre bien les trajets domicile/travail pour le covoiturage entre collègues et le « prêt du volant » lorsque plusieurs personnes sont amenées à conduire votre véhicule.

Le covoiturage a le vent en poupe ! Le covoiturage sur les courts trajets présente plusieurs avantages. Tout d’abord, il réduit le nombre de véhicules sur la route, ce qui contribue à la protection de l’environnement et à la réduction de la pollution. De plus, cela permet aux conducteurs de partager les coûts du voyage. Enfin, le covoiturage peut également offrir aux conducteurs une occasion de socialiser et de faire de nouvelles connaissances. Vous voilà prévenu ! Vous n’avez plus aucune excuse pour ne pas opter pour le covoiturage sur vos trajets quotidiens !

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Marché Automobile

Hausse de l’électricité : Quels impacts sur ma voiture électrique ?

La hausse des tarifs de l’électricité a été confirmée hier soir par le ministre de l’Économie Bruno Le Maire. Pour 97 % des ménages français, l’augmentation sera sous les 10 %. Quels impacts à prévoir sur la recharge de sa voiture électrique ?

Chapitre 1 : Contexte de la hausse des tarifs de l’électricité

Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie, a annoncé au JT de TF1 le montant des hausses des prix de l’électricité qui prendront effet au 1er février 2024. Cette décision intervient dans un contexte de crise énergétique suite au conflit en Ukraine. Pour atténuer les effets de l’inflation, le gouvernement avait mis en place un bouclier tarifaire, limitant la hausse à 15 % en moyenne au 1ᵉʳ février 2023, par rapport à une possible augmentation de 40 % voire 100 %.

Cependant, ce bouclier tarifaire, bien qu’avantageux pour les foyers français, engendre un coût colossal pour l’État, estimé à 16 milliards d’euros en 2023, selon Bercy. Avec une dette dépassant les 3 000 milliards d’euros, soit 112,5 % du PIB de la France, le maintien de cette mesure s’avère financièrement insoutenable.

Chapitre 2 : Répercussions sur la recharge des véhicules électriques

Au 1ᵉʳ août dernier, une première hausse de 10 % en moyenne avait déjà été appliquée. Cette fois-ci, les factures d’électricité des particuliers augmenteront de 8,6 % pour les tarifs de base et de 9,8 % pour les tarifs heures pleines, heures creuses, impactant respectivement 10,6 millions et 9,3 millions de consommateurs. Le prix de l’électricité pour les ménages français passera ainsi de 0,2273 € TTC à 0,25 € (prix au kWh) pour le Tarif Bleu, concernant plus de 25 millions de foyers en France en 2023.

Cette hausse impacte directement le coût de recharge des véhicules électriques. Prendre l’exemple d’une consommation de 18 kWh pour 100 km en voiture électrique illustre clairement la situation. Les coûts passent de 3,51 euros en heures creuses à 4,84 euros en heures pleines pour un tel usage.

Prenons également le cas d’un modèle avec une batterie de 60 kWh, rechargeant de 10 à 80 %. Avec les nouveaux tarifs, la charge passe à 11,30 euros en heures pleines et 8,19 euros en heures creuses, comparé à 10,29 euros et 7,46 euros avec les anciens tarifs.

Chapitre 3 : Stratégies pour minimiser l’impact financier sur la recharge

Face à cette augmentation, il est crucial d’adopter des stratégies pour minimiser l’impact financier sur la recharge. Optimiser la recharge en fonction des tarifs horaires, explorer les possibilités liées aux énergies renouvelables pour réduire les coûts, et considérer l’efficacité énergétique des véhicules électriques deviennent des éléments clés pour les propriétaires.

Concernant les bornes publiques, les fournisseurs adapteront leurs tarifs, mais les changements pourraient ne pas être immédiats. Les propriétaires de voitures électriques, notamment ceux utilisant des bornes rapides comme chez Ionity, où le tarif peut atteindre 0,59 euro/kWh, devront être particulièrement vigilants face à l’évolution des prix.

En résumé, la hausse des tarifs de l’électricité impacte directement le coût de recharge des voitures électriques. Les propriétaires doivent prendre des mesures pour minimiser ces coûts, en optimisant leurs habitudes de recharge et en explorant des solutions écoénergétiques. La vigilance est de mise, particulièrement pour les recharges sur bornes publiques, où les tarifs peuvent être significativement plus élevés. Face à cette réalité, rester informé et adopter des pratiques énergétiques durables devient essentiel pour tous les propriétaires de véhicules électriques.

#OccasionElectrique

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Marché Automobile

Vignette Crit’Air et Mobilité Professionnelle : Regards sur les trajets domicile-travail en France

Pour la septième année consécutive, Alphabet France, en collaboration avec l’institut de sondage Ifop, a mené une étude approfondie sur les habitudes de mobilité des actifs français. Les résultats révèlent des données éloquentes sur la façon dont les Français effectuent leurs trajets domicile-travail.

Distance, Temps et Préférences de Mobilité :

Les données recueillies indiquent que la distance moyenne des trajets domicile-travail en France est de 18 km, avec un temps de trajet moyen de 24 minutes. Ces chiffres soulignent l’importance de la voiture individuelle dans ces déplacements, avec 51 % des actifs roulant en diesel et 39 % en essence. Bien que ces véhicules soient souvent perçus comme polluants, ils demeurent cruciaux pour la liberté de mobilité, comme le souligne Julien Chabbal, PDG d’Alphabet France. Les préférences de mobilité varient également selon les régions, avec des agglomérations de moins de 100 000 habitants affichant une dépendance à la voiture plus marquée que les grandes métropoles.

La Crit’Air et l’Ignorance Préoccupante :

Une constatation étonnante émerge de l’étude : seulement 56 % des personnes interrogées ont connaissance de la catégorie Crit’Air de leur véhicule, malgré son rôle crucial dans les zones à circulation restreinte. Parmi les raisons évoquées, 69 % des actifs estiment ne pas être concernés par les Zones à Faibles Émissions (ZFE) à venir, révélant un désintérêt persistant pour ces régulations tant qu’elles ne sont pas concrètement instaurées. Cette ignorance souligne la nécessité d’une sensibilisation accrue et de mesures éducatives pour garantir une adoption plus large de ces nouvelles normes.

Le Tournant Électrique et les Réserves :

L’étude aborde par ailleurs le virage vers la voiture électrique, avec seulement 9 % des salariés optant pour des véhicules électrifiés. Bien que 74 % des utilisateurs de voitures électriques soulignent les avantages économiques et 60 % les avantages écologiques, des réticences subsistent. Parmi les préoccupations, les coûts d’achat élevés (67 %) et le manque de bornes de recharge publiques (42 %) sont des freins importants. Pour surmonter ces réserves, l’étude souligne le rôle crucial des entreprises dans la sensibilisation et l’incitation à l’adoption de véhicules électrifiés.

Cette analyse des habitudes de mobilité domicile-travail en France souligne l’importance de sensibiliser les actifs à des éléments cruciaux tels que la vignette Crit’Air et encourage la réflexion sur des solutions de mobilité plus durables.

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Innovation & Technologie Automobile

LIDL s’engage dans la mobilité durable avec ses bornes de recharge

La mobilité électrique prend un nouvel élan avec l’annonce récente de LIDL, qui élargit son engagement envers la durabilité en mettant en vente des bornes de recharge pour voitures électriques. Depuis le 13 novembre 2023, les clients ont la possibilité d’acquérir ces bornes directement depuis le site internet de LIDL, offrant ainsi une solution pratique et accessible pour la recharge à domicile.

Des bornes de recharge et accessoires abordables :

Les bornes de recharge proposées par LIDL seront disponibles en ligne, suivant la tendance de vente en ligne instaurée par l’entreprise ces derniers mois. Parmi les offres, on retrouve notamment la borne de recharge murale, disponible en deux versions, chacune offrant une puissance de charge différente :

  1. Courant nominal 16 A / Puissance de charge : 11 kW = 349 euros
  2. Courant nominal 32 A / Puissance de charge : 22 kW = 499 euros

Les packs comprennent non seulement la borne de recharge, mais également un écran LCD et un câble de 5 mètres pour une utilisation pratique.

Accessoires complémentaires pour une expérience optimale :

En plus des bornes de recharge, LIDL propose par ailleurs une gamme d’accessoires pour optimiser l’expérience des propriétaires de voitures électriques. Parmi ceux-ci, un câble de type 2 de 5 mètres, offrant une puissance allant jusqu’à 22 kW, est disponible au prix de 129 euros, avec un étui de rangement inclus.

De plus, LIDL mettra en vente une station de charge mobile, compatible avec une prise secteur. Avec une puissance de charge de 1,8 kW et un câble de 5 mètres, cette station est une solution pratique pour ceux qui sont constamment en déplacement, et son prix est attractif à 119 euros.

Cette nouvelle offre de bornes de recharge et d’accessoires abordables témoigne de l’engagement continu de LIDL envers un avenir plus durable. En fournissant des solutions accessibles, LIDL cherche à encourager davantage de personnes à adopter la mobilité électrique, contribuant ainsi à la réduction des émissions de carbone et à la promotion d’un mode de vie respectueux de l’environnement.

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Pratique Auto

Carburant : Comment l’économiser à bord de votre voiture ?

Le coût du carburant est l’une des dépenses incontournables pour de nombreux propriétaires de véhicules. Heureusement, il existe de nombreuses astuces simples et efficaces pour économiser du carburant, réduire votre impact environnemental et alléger votre portefeuille. De la conduite économe aux entretiens réguliers de votre véhicule, découvrez comment maximiser chaque goutte de carburant que vous mettez dans votre réservoir.

Conduite Économe

La manière dont vous conduisez a un impact significatif sur la consommation de carburant de votre véhicule. En adoptant des habitudes de conduite plus économes, vous pouvez économiser du carburant et réduire vos coûts. Voici quelques astuces pour une conduite économe :

Accélération Douce : Évitez les accélérations brusques et les départs rapides au feu rouge. Une accélération en douceur permet de maintenir une consommation de carburant plus stable.

Conduite à Vitesse Constante : Sur autoroute, maintenez une vitesse constante en utilisant le régulateur de vitesse si possible. Les variations constantes de vitesse consomment plus de carburant.

Évitez les Ralentis Prolongés : Si vous prévoyez de rester à l’arrêt pendant plus d’une minute, il est préférable d’éteindre le moteur. Le ralenti inutile consomme du carburant.

Évitez la Surcharge : Plus votre véhicule est lourd, plus il consomme de carburant. Nettoyez régulièrement votre voiture pour retirer tout le poids inutile.

Entretenez Votre Véhicule : Des pneus bien gonflés et un moteur bien réglé sont essentiels pour une conduite économe. Vérifiez quotidiennement la pression des pneus et suivez le calendrier d’entretien recommandé.

En adoptant ces pratiques de conduite économe, vous pouvez maximiser l’efficacité énergétique de votre véhicule et économiser du carburant.

Entretien Régulier du Véhicule

L’entretien régulier de votre véhicule est une étape cruciale pour économiser du carburant. Un véhicule bien entretenu fonctionne de manière plus efficace et consomme moins de carburant. Voici ce que vous pouvez faire :

  • Vérifiez la Pression des Pneus : Les pneus sous-gonflés augmentent la résistance au roulement, ce qui augmente la consommation de carburant. Vérifiez la pression des pneus au moins une fois par mois.
  • Changez le Filtre à Air : Un filtre à air sale peut entraîner une réduction de la puissance du moteur et une augmentation de la consommation de carburant. Remplacez-le régulièrement.
  • Entretenez le Système de Carburant : Un système de carburant propre et bien entretenu assure une meilleure combustion du carburant, ce qui peut améliorer l’efficacité énergétique.
  • Réparez les Fuites : Les fuites de liquides, comme l’huile ou le liquide de refroidissement, peuvent entraîner une surconsommation de carburant. Réparez les fuites dès qu’elles sont détectées.
  • Réglez le Moteur : Un moteur bien réglé fonctionne de manière plus efficace. Suivez le calendrier d’entretien du fabricant pour les réglages nécessaires.

En veillant à un entretien régulier de votre véhicule, vous pouvez non seulement économiser du carburant, mais également prolonger la durée de vie de votre voiture.

En adoptant des habitudes de conduite économe, en entretenant quotidiennement votre véhicule et en utilisant des technologies d’économie de carburant, vous pouvez réduire vos dépenses en carburant et diminuer votre impact environnemental. Chaque petit changement compte, alors commencez à économiser du carburant dès aujourd’hui et profitez d’un portefeuille plus léger tout en préservant notre planète.

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Le futur de l’automobile

La voiture autonome : est-elle vraiment ce que les automobilistes souhaitent ?

La voiture autonome, elle fait rêver ! Dernièrement, le niveau 3 de conduite autonome a été approuvé par l’Union Européenne. Ce véhicule futuriste est un peu le graal de chaque constructeur automobile qui déploie des sommes affolantes pour être le petit dernier le plus à la pointe de la technologie sur ce secteur. Mais, « la voiture qui se conduit toute seule » est certes une course à la technologie mais est-elle réellement attendue par les automobilistes ? Cette course folle est-elle justifiée par une forte demande de la part des conducteurs ?

Conduite autonome : les constructeurs avancent

La conduite autonome représente peut-être un risque pour la législation en cours, mais les constructeurs résistent et avancent. Un célèbre constructeur allemand est le troisième à obtenir la certification lui permettant de circuler sur les autoroutes sans chauffeur humain. Son nouveau modèle de véhicule permet ceci, avec son système automatisé qui permet de gérer certaines tâches et de ne pas avoir à tenir le volant. Si cette technologie est une arme de vente pour les marques les plus haut de gamme, qu’en est-il pour le grand public ? Une étude menée par S&P montre que ce n’est pas autant l’attrait de la voiture autonome qui permet d’attirer les consommateurs, mais la démocratisation des aides à la conduite dans les véhicules « classiques ».

Des avancées technologiques en matière de sécurité routière : caméra de recul et voitures autonomes

L’étude de S&P montre clairement qu’il existe un fossé entre les attentes des consommateurs lorsqu’il s’agit d’aides à la conduite de base et les systèmes d’automatisation avancés. Bien que nombreux soient ceux qui aimeraient peut-être économiser du temps en voiture et profiter d’opportunités supplémentaires, leurs craintes en termes de sécurité et de confiance en la technologie les freinent. L’opposition entre la sécurité et la commodité c’est donc un signe que les limites existent et que chaque individu choisit ce qu’il considère le plus important. Cela souligne le fait que la technologie ne peut pas lier un stade sans une certaine certitude.

Les Allemands sont déjà très impliqués dans le domaine de la voiture autonome, bien plus que Tesla, qui fait l’objet de critiques après que des statistiques alarmantes ont été dévoilées concernant l’Autopilot : plus de 700 accidents graves et 17 décès sur les deux dernières années.

Les perspectives semblent être positives pour le groupe allemand (les technologies telles que le Drive Pilot de Mercedes figurent parmi les produits les plus chers sur le marché), néanmoins, il n’est pas sûr que la conduite autonome atteigne un niveau de luxe bientôt, ni que ce mode de transport ne devienne accessible à tous un jour.

Ce nouveau rapport de Standard and Poor’s énonce les choses très clairement : les automobilistes optent de plus en plus pour des technologies d’aide à la conduite plutôt que pour une conduite autonome. En clair, ils disent oui pour simplifier leur quotidien derrière le volant mais c’est un non pour ne plus être derrière le volant. Oui, nous très chers humains, nous souhaitons toujours être maître de notre volant tout en nous simplifiant la tâche !

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Le futur de l’automobile

Rouler 2 000km en voiture électrique sans s’arrêter pour recharger ? C’est possible !

L’entreprise israélienne Electreon est actuellement à la pointe de la technologie en matière de routes à induction, et tente de battre un record de longue distance. La charge sans fil, appliquée à une distance de 2000 km, offre la possibilité de circuler sans craindre la panne. Electreon a déjà fait une démonstration réussie et prévoit de continuer les essais pour atteindre son objectif final : la voiture 100% autonome.

1 942 km parcouru sans aucune énergie fossile, un record !

Après des tests concluants, c’est encore une bonne nouvelle pour la recharge par induction ! Sur son compte Twitter, Electron a révélé les détails du record qu’ils ont récemment établi. Le véhicule électrique (ou hybride rechargeable) est parvenu à parcourir 1 942 km, sans dépenser une seule goutte d’essence, grâce à la technologie de l’induction. En tout, 231 kWh d’énergie ont été fournis par le sol pour alimenter la batterie. Malgré cet exploit, le produit n’est pas encore prêt pour une mise en application commerciale car durant un temps de 100 heures, sa vitesse moyenne n’a pas dépassé les 20 km/h. Néanmoins, il s’agit d’une démonstration technique plutôt encourageante.

Les chiffres sont clairs : les ventes de voitures électriques continuent de grimper en flèche. Les ventes de ces véhicules ont même dépassé celles des véhicules diesel en fin d’année dernière, et leur succès grandissant a été particulièrement notable au cours du premier trimestre 2021. Ces résultats sont sans aucun doute prometteurs pour la transition mondiale vers des technologies respectueuses de l’environnement.

Une solution innovante

Malgré la baisse des coûts et l’amélioration de l’autonomie des véhicules électriques, certains automobilistes sont encore freinés par le prix et la durée d’utilisation. Mais cela est en train de changer. Les prix s’approchent rapidement de ceux des véhicules à essence et, de plus en plus, sont à parité. Les longs trajets ne sont plus un problème : avec le développement des infrastructures de recharge, il ne faut pas forcément une grande autonomie pour compléter un voyage. Ainsi, alors qu’une grande autonomie était autrefois nécessaire pour un Paris-Marseille, ce n’était pas plus tard qu’il y a quelques mois que l’on a pu voir ce trajet accompli avec seulement trois voitures électriques à autonomie limitée.

Alors qu’il existe déjà plus de 100 000 bornes de charge électrique en France, une jeune start up israélienne développe une technologie très innovante : la route à induction. Ce concept passionne aussi bien les entreprises que les Etats. La Suède, par exemple, se prépare à convertir un tronçon d’autoroute de 20 km, preuve qu’elle s’intéresse aux progrès de la technologie à induction faisant d’elle un leader dans ce domaine.

Créée il y a huit ans, Electreon avait rapidement trouvé une place importante dans le secteur de l’électromobilité, attirant également l’attention des grandes entreprises, notamment Qualcomm et Siemens, qui réalisèrent diverses expérimentations sur le territoire français en 2017. Cette jeune société israélienne s’est toutefois avérée la plus avancée, allant même jusqu’à signer un partenariat avec Eurovia en 2020 pour la construction de routes à induction en Europe.

La firme Renault a réussi à charger une Zoé sans câble en 2019 et compte bien sur ses routes électriques pour atteindre un record historique et réduire le phénomène connu sous le nom de ‘range anxiety’. En effet, ce stress induit par l’autonomie jugée trop basse et la peur de tomber à court d’énergie pendant un trajet est une angoisse inutile car les problèmes liés à l’autonomie sont très rares.

Une mise à l’épreuve dans des conditions réelles

Mardi 21 mai, la start-up a entrepris une grande mission visant à établir un nouveau record et à prouver l’efficacité de sa technologie de recharge sans fil. Un véhicule hydride rechargeable alimenté par une batterie de 18 kWh a été lancé sur une piste ovale équipée de son dispositif, et a couru cinq jours sans interruption. Une performance spectaculaire qui a permis à la start-up de faire ses preuves.

Electreon a entrepris un défi ambitieux de rouler pendant une centaine d’heures sur cinq jours d’affilée avec une seule recharge fournie par le revêtement de sources électriques qu’ils ont développé. L’entreprise visait à parcourir entre 1 000 et 1 500 kilomètres sans que la batterie ne s’épuise entièrement. Lors des pauses pour changer de conducteur, le véhicule n’a jamais été branché à une borne de recharge.

Grâce au développement de la voiture autonome, l’avantage de cette nouvelle technologie se révèle être particulièrement utile. En effet, avec cette innovation, il n’est plus nécessaire de s’arrêter pour recharger la batterie ; les véhicules pourront être alimentés directement par la route. Cette solution de recharge rapide est donc plus pratique qu’une borne permettant de remplir une batterie en 12 minutes, car elle empêche de planifier des arrêts pour se brancher.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le système mis en place par Vinci est, en fait, très simple. Des bobines de cuivre sont placées sous le revêtement de la route, et des capteurs identifient chaque véhicule qui l’emprunte, leur transférant ainsi l’énergie électrique issue du réseau. Pour que cela fonctionne, les véhicules doivent être équipés spécifiquement de récepteurs afin de recharger leurs batteries. Par conséquent, les constructeurs automobiles doivent, lors de leur fabrication, équiper les voitures en question ou les adapter pour ce genre d’utilisation.

C’est une nouvelle révolution dans le domaine de la recharge par induction qui dessine un très beau futur dans ce domaine. Les avancées de la start-up israélienne font entrevoir un avenir radieux pour la voiture autonome.

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Marché Automobile

Norme Euro 7, pourquoi cette réforme est-elle autant décriée ?

C’est un projet qui est sur la table de l’Union Européen depuis novembre 2022. A cette date, Bruxelles a présenté une nouvelle réforme, dénommée Euro 7, qui visait à réduire la pollution de l’air liée au transport routier d’ici 2025, quelle que soit la motorisation des véhicules. Malheureusement, le 22 mai 2023, la France et sept autres pays européens ont publiquement annoncé leur mécontentement face à cette initiative. La pression des pays européens ne cesse de s’accroître, le gouvernement français étant à l’avant-garde de cette réclamation. Mais la Norme Euro 7, en quoi consiste-t-elle exactement ? Pourquoi cette réforme suscite-t-elle autant de réactions négatives ?
Les équipes du Mag Tressol-Chabrier sont parties à l’enquête !

L’Euro 7, c’est quoi ?

L’Euro 7 est une norme d’émission automobile proposée pour les véhicules en Europe. Il s’agit d’une réglementation visant à définir des limites plus strictes en matière d’émissions de polluants pour les véhicules neufs afin de réduire leur impact sur l’environnement et la santé publique.

La norme Euro 7 fait suite aux normes Euro précédentes, telles que l’Euro 6d, qui imposent déjà des limites d’émission de polluants, notamment les oxydes d’azote (NOx) et les particules fines. L’objectif principal de l’Euro 7 est de réduire davantage ces émissions, en introduisant des critères plus stricts et en incluant de nouveaux polluants à prendre en compte.

Pour le moment, les détails spécifiques de la norme Euro 7 n’ont pas encore été finalisés, car elle est toujours en phase de développement et de discussion entre les autorités réglementaires, les constructeurs automobiles et d’autres parties prenantes. Cependant, il est probable qu’elle impliquera des limites plus strictes pour les émissions de polluants, une surveillance plus précise des émissions en conditions réelles de conduite, ainsi que des tests plus rigoureux pour garantir la conformité des véhicules aux normes.

L’Euro 7 vise à stimuler l’innovation technologique dans le secteur automobile, en encourageant l’adoption de technologies plus propres, telles que les systèmes de post-traitement des gaz d’échappement, les moteurs plus efficaces et les solutions électrifiées. Cela contribuera à améliorer la qualité de l’air et à réduire l’impact environnemental des véhicules en circulation.

Va-t-on vers une annulation de l’Euro 7 ?

Huit pays européens ont averti que l’adoption des nouvelles normes imposées par la Commission européenne pour les véhicules à moteur thermique, désormais connues sous le terme Euro 7, pourrait inhiber les investissements des constructeurs automobiles dans l’électrification des voitures. La Bulgarie, la Hongrie, la Pologne, la République Tchèque, la Roumanie, la Slovaquie, l’Italie et la France ont signé le document, selon lequel si les constructeurs européens font grand cas de cet objectif, ils risquent de se retrouver à la traîne de leurs concurrents américains et asiatiques. Certaines angoisses de l’Allemagne, considéré comme le moteur de l’industrie automobile européenne, se sont ajoutées à celles des autres, bien que le pays n’ait pas signé le texte. Effectivement, l’Allemagne partage l’opinion que l’échéance de 2025 imposée par la nouvelle norme Euro 7, est trop courte.

Malgré sa contestation par l’industrie automobile, cette nouvelle norme européenne n’obtient pas l’approbation unanime. Huit gouvernements se sont exprimés contre ce texte, exprimant leur « hostilité » à toute nouvelle réglementation relatant aux gaz d’échappement des voitures et des utilitaires légers, incluant leurs conditions de test et/ou leurs limites d’émissions.

Après que les Eurodéputés et les États membres aient trouvé un accord pour limiter les véhicules à moteur thermique d’ici 2035, les pays opposants exhortent la Commission européenne à assumer des positions raisonnées et pragmatiques. Adolfo Urso, le ministre italien des Entreprises, s’est félicité que « de nombreux pays rejoignent l’Italie pour défier Bruxelles à propos de ce texte ». Il semble en effet que ce texte puisse être trop rigoriste pour une industrie automobile européenne qui offre des emplois à près de 13 millions de personnes.



Pendant ce temps, les défenseurs de l’environnement critiquent la norme Euro 7 pour ne pas aller suffisamment loin en matière de réduction des émissions de gaz et blâment même l’Europe d’avoir accordé un passe-droit aux lobbys automobiles. Les membres de l’Union devront donc s’investir pour trouver un terrain d’entente afin de présenter un texte consensualisé au Parlement européen.
Bref, vous l’aurez compris, après le feuilleton de la fin des voitures thermiques prévue en 2035, la Norme 7 sera le sujet brûlant pour la période estivale pour les états membres de l’Union Européenne. Un des nombreux chapitres de la saga Norme 7 vient d’être écrit et on pense qu’il sera constitué de nombreux chapitres.

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Marché Automobile

Les Zones à Faibles Émissions peinent à séduire les citoyens français


Les ZFE, cet acronyme n’importe quel automobiliste résidant ou circulant en ville le connaît et on avoue qu’on a eu l’occasion de vous en parler à de nombreuses reprises. Dernièrement, on se demandait si les voitures radars seraient bientôt interdites dans les ZFE ? Aujourd’hui, c’est le sujet des ZFE qui est carrément remis en question. En effet, le sénateur Philippe Tabarot a dévoilé la semaine dernière les résultats de la consultation en ligne sur la perception des Zones à Faibles Émissions (ZFE). Sur les 51 346 participants engagés, 86 % expriment leur opposition à l’implémentation de telles zones.

Premiers résultats de la consultation en ligne au sujet des ZFE

La consultation en ligne menée par la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable du Sénat révèle que 86 % des participants, comprenant à la fois des particuliers et des professionnels, expriment clairement leur désapprobation envers les zones à faibles émissions (ZFE). Cette enquête volontaire, qui a enregistré les réponses de 51 346 personnes, soit une proportion de 93 % de particuliers et 7 % de professionnels, est un véritable record de participation selon le sénateur des Alpes-Maritimes, Philippe Tabarot. Il souligne que ce niveau d’engagement témoigne des nombreuses préoccupations suscitées par ce dispositif chez les Français. Toutefois, il est important de noter que le rapporteur de la mission de contrôle sur les ZFE a souligné que cette consultation n’est pas représentative en raison de son caractère volontaire. Néanmoins, il convient de souligner que 97 % des répondants sont déjà familiarisés avec ce dispositif.

Une possible tension sociale en vue ?

Les participants volontaires ont ainsi répondu à une série d’une vingtaine de questions posées par les sénateurs. Les résultats indiquent que 86 % des particuliers et 79 % des professionnels se sont opposés aux zones à faibles émissions (ZFE). Il est intéressant de noter que la part de ceux qui sont « tout à fait opposés » est nettement supérieure à celle des « plutôt opposés ». Parmi les particuliers, 69 % se sont dits « tout à fait opposés » tandis que 17 % se sont déclarés « plutôt opposés ». Les répondants n’ont pas mâché leurs mots pour exprimer leur mécontentement. Le Sénat a compilé les mots récurrents identifiés dans les témoignages, créant ainsi un patchwork de réponses. On peut y lire des déclarations telles que : « C’est de l’exclusion sociale pure », « Il y a une discrimination flagrante entre les citoyens ; ceux qui ont les moyens de suivre la technologie et les autres », « Il s’agit d’une mesure technocratique qui crée également une inégalité d’accès au centre-ville en fonction de sa situation financière ». Ces témoignages reflètent clairement l’opposition des répondants envers ce dispositif.

« Je ne vais pas prétendre que nous avons filtré… mais dans les nuages de mots que nous avons générés, nous avons fait en sorte de ne pas inclure des termes que la décence rejette. Nous avons rencontré un peu de tout. Des expressions allant des « zones à fort emm**dement » aux « zones à forte exclusion« . Ces termes reflètent les inquiétudes quant à un risque de creusement des inégalités sociales », souligne le sénateur des Alpes-Maritimes.

Des écarts géographiques et sociaux à prendre en compte

La consultation orchestrée par le Sénat met en lumière des disparités dans les réponses en fonction de la géographie et de la catégorie sociale. Ainsi, parmi les participants particuliers au questionnaire, 60 % résident à proximité d’une ZFE, tandis qu’un quart vit dans la Métropole du Grand Paris (24 %). Par ailleurs, la consultation révèle que plus un répondant réside loin du centre d’une métropole, plus il exprime son opposition au dispositif. Ainsi, 23 % des volontaires résidant en centre-ville se déclarent favorables aux ZFE, contre seulement 8 % dans les communes rurales. Sur le plan social, les réponses varient également selon la catégorie socioprofessionnelle. Ainsi, 25 % des cadres et 28 % des étudiants se montrent favorables aux ZFE. En revanche, seuls 11 % des employés et 4 % des ouvriers soutiennent le dispositif. Il convient néanmoins de préciser que les répondants expriment majoritairement leur opposition aux ZFE, quelle que soit leur catégorie socio-professionnelle.

Le principal obstacle au déploiement des ZFE réside dans le coût élevé des véhicules propres, selon 77 % des particuliers, suivi de l’accessibilité insuffisante des métropoles depuis les zones périurbaines ou rurales (51 %) et du manque d’options de transport alternatif (42 %). Malgré la menace d’une amende de 68 euros à long terme, 83 % des particuliers n’envisagent pas pour autant de changer de véhicule pour accéder aux ZFE.

Bilan à mi-juin : les conclusions de la consultation

Depuis le mois de mars, en complément de la consultation en ligne, le Sénat a procédé à plus de 40 auditions. En tant que rapporteur de la mission flash sénatoriale, Philippe Tabarot souligne qu’il attend encore certaines informations avant de présenter ses conclusions mi-juin. Il constate que certaines métropoles très volontaristes ont fixé des délais très serrés et sont maintenant contraintes de faire marche arrière. Il reconnaît que nous ne sommes plus dans un clivage politique sur cette question.

Selon le sénateur, la meilleure solution actuelle face aux ZFE réside dans le transfert modal, en mettant l’accent sur les transports en commun. « La simple présence de 40 millions de véhicules électriques ne résoudra pas le problème de la congestion routière », affirme-t-il. Il est important de rappeler que d’ici 2025, 43 agglomérations de plus de 150 000 habitants seront concernées par les ZFE, ce qui englobe un total de onze métropoles. Le sénateur souligne que ce rapport mené par le Sénat vise également à éviter le risque d’une « bombe sociale à retardement« , une préoccupation exprimée dans l’opinion publique.

Quand c’est non, c’est non ! Les résultats de la consultation menée par le Sénat révèlent que la population française est clairement opposée aux Zones à Faibles Emissions (ZFE). Bien que la consultation ait été volontaire, ceci a néanmoins offert aux répondants un espace pour exprimer leur mécontentement et leur méfiance envers ce nouveau dispositif. Les écarts géographiques et sociaux identifiés témoignent d’une large inquiétude quant à un risque de creusement des inégalités sociales. Il semble donc primordial que les autorités prennent en compte ces résultats afin de trouver une solution satisfaisante pour tous qui contribuerait à réduire la congestion routière et la pollution tout en limitant le plus possible le risque d’une « bombe sociale à retardement ».

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ZFE : le contrôle technique va-t-il remplacer la vignette Crit’Air ?

Les zones à faibles émissions… un calvaire pour certains, une bénédiction pour d’autres automobilistes !
En effet, les ZFE créés pour améliorer la qualité de l’air et protéger la santé des habitants deviennent des zones de plus en plus difficiles pour certains habitants des agglomérations concernées qui voient leurs mobilités évoluer et parfois à leurs dépens.
Le dernier projet en date serait de remplacer la vignette Crit’Air par celle du contrôle technique afin de faciliter la transition à ces zones. On fait le point.

Quel est le projet pour les ZFE ?

D’ici 2025, les agglomérations françaises comptant plus de 150 000 habitants auront mis en place des ZFE, Zones à Faibles Émissions, afin de réduire les émissions de CO2 dans l’atmosphère. Toutefois, la mise en application de cette restriction de circulation suscite de plus en plus de contestations, car de nombreux automobilistes risquent d’être interdits de circuler dans les centres-villes des grandes agglomérations.

Un projet de plus en plus contesté

Les autorités sont confrontées à une pression croissante suite à l’annonce de restrictions plus sévères pour une grande partie des agglomérations. Les automobilistes sont bloqués par le coût non négligeable de l’acquisition d’une voiture électrique. En conséquence, plusieurs municipalités ont reporté les restrictions et certains ont même demandé leur annulation. Pour gérer ce conflit, le Sénat a lancé une consultation publique.

Remplacer la vignette Crit’Air par le contrôle technique, en quoi cela consiste-t-il ?

Gérard Leseul, député, a avancé une solution qui, selon lui, est plus appropriée que ce qui existe. Il souhaite remplacer le système de vignette Crit’Air par un contrôle du contrôle technique automatisé lorsque les véhicules pénètrent dans les centres-villes. En outre, il recommande l’utilisation d’un dispositif de lecture des plaques d’immatriculation pour connaître l’état et le taux de pollution des voitures en circulation.

Le programme pour les ZFE

Des mesures ont été mises en place pour les zones à faibles émissions. Un calendrier a été établi, et voici ce qui attend les grandes métropoles dans les mois à venir :

  • À compter du 1er septembre 2024, l’accès des véhicules particuliers et utilitaires Crit’Air 3 sera interdit dans le périmètre intérieur des boulevards de ceinture à Marseille.
  • À compter du 1er juillet 2024, à l’intérieur du périmètre de l’A86, l’utilisation des véhicules particuliers et utilitaires Crit’Air 2 sera interdite dans le Grand Paris.
  • À compter du 1er janvier 2024, les véhicules particuliers Crit’Air 4 seront interdits à l’intérieur du boulevard périphérique Laurent-Bonnevay à Lyon.
  • À partir du 1er janvier 2024, l’accès aux véhicules particuliers des Crit’Air 3 et 4 sera interdit dans le périmètre de Grenoble ainsi que dans les 13 communes limitrophes.
  • À compter du 1er janvier 2024, les véhicules particuliers et utilitaires Crit’Air 4 et 3 ne seront plus autorisés à circuler à Montpellier et dans onze communes limitrophes.
  • À compter du 1er janvier 2024, les véhicules particuliers et utilitaires ne portant pas de vignette Crit’Air 3 ne seront plus autorisés à circuler à Toulouse et dans les communes situées à l’intérieur de la rocade.
  • À compter du 1er janvier 2024, Reims interdira l’accès à son territoire aux véhicules particuliers et utilitaires munis de la vignette Crit’Air 3.
  • À compter du 1er janvier 2024, les véhicules particuliers et utilitaires de classe Crit’Air 4 seront interdits de circuler dans les communes de l’Eurométropole de Strasbourg.
  • À compter du 1er janvier 2024, la vignette Crit’Air 4 (pour les véhicules particuliers et utilitaires) est interdite dans le périmètre de l’hypercentre et de la Promenade des Anglais à Nice.

Vous êtes donc prévenus, chers habitants d’une ZFE, votre ville évolue et ses restrictions également. Bientôt au programme, on scanne votre voiture et vous donne l’autorisation d’entrer dans la ville. Loufoque ou extraordinaire, c’est à vous d’en décider !