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Pratique Auto

Rouler sans liquide de refroidissement : Quels sont les risques ?

Le liquide de refroidissement est un élément essentiel pour le bon fonctionnement des véhicules. Il permet au moteur de ne pas surchauffer, même lors de longs trajets. Mais que se passe-t-il si le liquide de refroidissement vient à manquer ? Quels sont les risques encourus en roulant sans lui ? Comment savoir quand en rajouter et où le trouver ? Découvrez toutes les réponses ci-dessous !

Comment fonctionne le liquide de refroidissement ?

Le liquide de refroidissement est un produit très utile pour les véhicules motorisés. Il est versé dans le vase d’expansion placé sous le capot et a une composition spéciale qui lui permet de rester fluide et froid même sous des conditions extrêmes, que ce soit lors de périodes de chaleur ou de froid. Il a pour mission de maintenir le moteur à une température stable et d’éviter la surchauffe. Cependant, l’utilisation répétée du véhicule peut entraîner une baisse du niveau du liquide de refroidissement et, en cas de fortes chaleurs, il peut s’évaporer plus vite que prévu. Dans ce cas, il est impératif de le remettre à niveau pour rouler en toute sécurité.

Rouler sans liquide de refroidissement, quels sont les risques ?

En l’absence de liquide de refroidissement, on peut rouler jusqu’à une dizaine de minutes, mais cela peut varier selon la saison et la température du moteur. Si l’on roule plus longtemps, il est impératif de s’arrêter. Les véhicules modernes peuvent être équipés d’un message d’avertissement sur le tableau de bord indiquant l’arrêt immédiat. De plus, toutes les voitures disposent d’un voyant spécifique pour le liquide de refroidissement, représentant un thermomètre dans l’eau. Si ce voyant s’allume en rouge, le moteur doit être éteint. Rouler sans liquide de refroidissement risque de provoquer une surchauffe du moteur et des dégâts matériels sur différentes pièces mécaniques.

  • Le joint de culasse est susceptible de perdre de son étanchéité à cause de la chaleur excessive qui s’accumule dans le moteur et laisse alors filtrer l’huile qui doit lubrifier des pièces comme les cylindres.
  • Le radiateur s’abîme rapidement à cause d’une utilisation intensive et la courroie de distribution peut subir une corrosion prématurée de ses poulies et galets.
  • La courroie de distribution s’use rapidement à cause de la corrosion de la poulie et des rouleaux qui y étaient attachés.

En résumé, rouler sans liquide de refroidissement peut rapidement endommager des pièces vitales de votre véhicule, ce qui pourrait entraîner des coûts de réparation très élevés et une impossibilité à utiliser votre voiture à court et moyen terme. Ne prenez pas le risque et assurez-vous toujours de bien vérifier votre niveau de liquide de refroidissement !

Comment éviter une panne liée au liquide de refroidissement ?

Pour éviter tout risque d’immobilisation en raison d’un manque de liquide de refroidissement, il est essentiel de vérifier le niveau régulièrement. Les experts recommandent de le faire une fois par mois. Cependant, pour les personnes qui utilisent leur véhicule fréquemment, et plus encore par temps chaud, un contrôle plus rigoureux est conseillé. Si le niveau du liquide est compris entre le maximum et le minimum, il n’y a pas de raison de s’inquiéter. Par contre, si la graduation est en-dessous du minimum, il est important d’ajouter du liquide sans hésiter. Bon à savoir toujours utile : Peu importe l’utilisation qui est faite du véhicule, il est conseillé de vidanger entièrement le système de refroidissement tous les 30 000 km.

Comment reconnaître ce produit auto ?

Le liquide de refroidissement, initialement incolore, est maintenant disponible dans différentes couleurs pour une meilleure identification des fuites. Les produits d’origine minérale sont généralement verts ou bleus alors que les liquides contenant des ingrédients organiques sont jaunes, roses, oranges ou rouges. Il est important de noter que les liquides à base organique sont plus durables et plus efficaces que les produits minéraux.

Le mélange de deux liquides de refroidissement est-il possible ?

Oui, il est possible de mélanger des liquides pour vase d’expansion dans un véhicule, à condition que leur composition et leur couleur soient identiques. Cependant, il est déconseillé de mélanger des liquides minéraux et organiques et également de mélanger des liquides appartenant à des types différents (1, 2 et 3) car cela peut provoquer des bouchons dans le circuit et causer des dommages aux pièces auto. Si vous avez des doutes ou souhaitez changer de produit, une vidange est impérative.

Utiliser de l’eau à la place du liquide de refroidissement est-il possible ?

En cas d’urgence, il est possible d’utiliser de l’eau pour combler le vase d’expansion du liquide de refroidissement, mais cette pratique devrait rester exceptionnelle. L’eau s’évapore beaucoup plus vite que le liquide de refroidissement, ce qui signifie que le problème risque de se reproduire très rapidement. La substitution de l’eau pour le liquide de refroidissement n’est donc possible que si trois conditions sont remplies :

  • Le réservoir d’expansion est à sec ;
  • Il n’y a pas le produit approprié à la maison
  • Il est absolument essentiel d’utiliser le véhicule

Si c’est nécessaire, la première étape pour prendre le volant est d’acheter le bon produit.

Où trouver du liquide de refroidissement ?

Vous trouverez ce type de liquide auto dans de nombreux endroits, notamment : les grandes surfaces, les magasins de bricolage, les garages, les concessionnaires et sur le web.

En fonction de vos besoins, vous pouvez vous procurer une bouteille d’eau de 1 ou 2 litres ou bien effectuer des réserves dans un content plus conséquent.

Voilà à présent, le liquide de refroidissement n’a plus aucun secret pour vous ! Vous êtes au top pour un entretien parfait de votre véhicule !

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Automobile : une éolienne qui recharge la voiture pour faire baisser le prix du plein d’électricité

La société Kallista Energy a inauguré, le 22 septembre, une borne de recharge pour voiture électrique en Normandie, le long de l’autoroute A13, reliée à une éolienne.

Associer une station de recharge pour véhicules électriques à une éolienne ? Le concept est pour le moins controversé. La plupart des opérateurs spécialisés dans l’installation de bornes jugent l’idée habile sur le plan du marketing, mais irréaliste. « Techniquement problématique et économiquement hors des clous », pour reprendre l’expression de l’un d’entre eux.

Kallista Energy (84 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2021), énergéticien spécialisé dans la production d’électricité renouvelable avec trente-six parcs éoliens et solaires installés en Europe, a choisi cette voie. D’ici cinq ans, la société, détenue par le fonds d’investissement Ardian et le fonds de pension néerlandais APG, compte installer à travers la France quatre-vingt-dix stations de recharge ultrarapides dont « la majorité » seront directement reliées à une éolienne installée à proximité. Selon ses dirigeants, un modèle de 5 mégawatts est suffisant.

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https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/10/23/automobile-une-eolienne-qui-recharge-la-voiture-pour-faire-baisser-le-prix-du-plein-d-electricite_6146980_3234.html

« Un chemin de croix »

Le 22 septembre, Kallista Energy a inauguré une station pilote à Vernon-Douains (Eure), le long de l’autoroute A13 reliant Paris à la Normandie. A défaut d’éolienne ici – la proximité de la base aérienne 105 d’Evreux interdit d’en installer – l’énergéticien se flatte de mettre en service « les bornes les plus puissantes de France ». Celles-ci sont capables de délivrer 360 kilowatts, une puissance qui permet en théorie d’acquérir 100 kilomètres d’autonomie en trois minutes mais qu’aucun modèle électrique en circulation n’est en mesure d’absorber.

« Avec l’envol des tarifs, produire de l’électricité renouvelable en circuit court prend tout son sens » Frédéric Roche, président de Kallista

Elles peuvent aussi et surtout accueillir simultanément quatre véhicules, mais avec une puissance unitaire de 90 kilowatts. Chaque borne, d’une valeur unitaire de quelque 70 000 euros, a obtenu une subvention de 18 000 euros de la part du programme public Advenir. A terme, les stations pourront compter jusqu’à quarante-huit bornes et, lorsque le vent fait une pause – environ 20 % du temps, mais pas davantage, selon Kallista – elles seront raccordées au réseau ou à une batterie de stockage installée sur le site.

« Avec l’envol des tarifs de l’électricité, produire de l’énergie renouvelable en circuit court prend tout son sens. Cela permet de tabler sur un coût fixe : aujourd’hui, le mégawattheure atteint les 1 000 euros, mais nos éoliennes sont rentables à 70 euros, un prix qui permettrait de recharger la batterie de sa voiture pour 15 à 20 euros », plaide Frédéric Roche, président de Kallista. Au total, l’investissement correspondant à ce projet représente 1 milliard d’euros « avec un calcul de rentabilité sur trente ans ».

Reste désormais à boucler la procédure administrative d’installation de la première dizaine d’éoliennes qui desserviront les futures stations – « un chemin de croix », admet Frédéric Roche. Dotées dans un premier temps de douze points de recharge, celles-ci ne seront pas implantées sur le réseau autoroutier mais à juste à l’extérieur, à proximité d’une sortie, comme c’est le cas à Vernon-Douains. Chez Kallista, on juge les appels d’offres des sociétés d’autoroutes « trop contraignants, trop chers et inscrits sur une durée trop courte ».

source : www.lemonde.fr

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Quel est vraiment l’impact des ralentisseurs illégaux ?

Nos confrères de l’Automobile Magazine ont étudié le vrai coût des ralentisseurs illégaux, en se basant sur plusieurs critères.

Vous en avez tous déjà croisé au moins un. Et pour cause, selon une étude menée par Auto Plus en 2018, pas moins de 40 % des 450 000 ralentisseurs présents sur nos routes seraient illégaux, en raison de leur hauteur excessive. Si les normes varient en fonction du type d’infrastructure – coussin berlinois ou dos d’âne – celles-ci ne doivent quoi qu’il en soit pas dépasser les 10 centimètres de hauteur. Pourtant, nombre d’entre eux ne prennent pas en compte cette réglementation, causant alors de nombreux désagréments pour les automobilistes. Freinage plus prononcé, secousses, risques d’abimer les boucliers, entre autres. Si de nombreuses associations militent pour faire retirer l’ensemble des ralentisseurs illégaux, les procédèrent trainent en longueur et les choses avancent en réalité assez peu. Pourtant, l’installation de ce type de dispositif a de nombreuses conséquences, qu’on souhaité étudier nos confrères de l’Automobile Magazine. En ressort donc une étude passionnante sur l’impact et le vrai coût des ralentisseurs illégaux, avec des résultats obtenus grâce à des tests grandeur nature, en utilisant un dos d’âne légale et un second de 24 centimètres, dépassant ainsi la taille réglementaire.

Bruits, secousses, consommation de carburant, tout a été analysé, sous contrôle d’un huissier de justice. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les résultats sont tout simplement édifiants. Deux véhicules ont été utilisés : une Peugeot 3008 PureTech 130 EAT8 et une Renault Clio TCe 100 X-Tronic, passant le ralentisseur légal à 25 km/h et le second à 15 km/h. L’occasion de démontrer les effets négatifs de ce type d’infrastructure, tant sur la consommation de carburant que sur le confort des occupants. Pour étudier ce point, les journalistes ayant mené cette enquête ont placé des capteurs sous les fesses du conducteur, chargés de relever la force des secousses. Si celles-ci ne dépassent pas les 0,3 g sur le ralentisseur légal passé à 25 km/h, elles atteignent alors les 0,4 (montée) et 0,5 g (descente) sur le dos d’âne illégal, malgré une vitesse de 15 km/h. Sans parler des répliques, de quoi donner un sacré mal de dos aux occupants, sans parler de l’impact sur les suspensions du véhicule !

Consommation et pollution sonore

Mais le confort des passagers ainsi que la dégradation de l’état de la voiture n’est pas le seul souci mis en lumière par cette étude. Sans surprise, nos confrères ont également constaté une hausse des nuisances sonores causées par les ralentisseurs illégaux. Pour cela, ils ont tout simplement placé un sonomètre à 7 mètres des dos d’ânes et ont comparé les mesures. Si le bruit est à peine plus fort sur le ralentisseur légal par rapport à la circulation normale, le passage d’une installation illégale à 15 km/h émet 2 à 3 dBA de plus. C’est pire encore si l’on passe le ralentisseur à 18 km/h, alors que le niveau sonore peut être jusqu’à huit fois plus important. Une différence qui s’explique entre autre par la plus forte réaccélération due à la hauteur du dispositif, sans parler du bruit causé par les suspensions et l’éventuel frottement des bas de caisse. D’ailleurs, nos confrères soulignent que « ces valeurs seraient encore bien plus élevées avec des camions, tracteurs, remorques ».

Enfin, et c’est sans doute le point le plus évident : les ralentisseurs illégaux font considérablement augmenter la consommation de carburant. Comme le précise l’Automobile Magazine, le passage d’un dos d’âne légal entraine une hausse comprise entre 10 et 15 %, contre 26 à 28 % pour un dispositif illégal. Une sacrée différence qui s’explique là encore par le fait que la hauteur plus importante entraine un freinage plus fort et donc une réaccélération plus importante. A titre d’exemple, la Renault Clio affiche une consommation moyenne de 7,94 l/100 km-, qui passe à 8,77 l sur un ralentisseur légal et 10 l sur un cassis illégal.

Source : www.auto-moto.com

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Voiture à hydrogène : bientôt le plein à domicile ?

Centre de recherche basé en Allemagne, l’Institut Fraunhofer expérimente de nouvelles technologies pour permettre la production d’hydrogène dans de petites unités domestiques.

Imaginez un système de production d’hydrogène suffisamment compact pour équiper des habitations et alimenter une pile à combustible (qui produirait simultanément de la chaleur et de l’électricité) ou permettre le ravitaillement d’une voiture à pile à combustible. C’est le projet de l’Institut Fraunhofer.

Pour atteindre l’objectif, l’installation doit être capable de produire sa propre énergie, pour réaliser l’électrolyse de l’eau, mais aussi de stocker l’hydrogène obtenu. Ce sont les deux axes de recherche de l’équipe engagée dans le projet.

De l’hydrogène vert produit par le vent

Si en parallèle Fraunhofer explore également la voie photovoltaïque, un travail important est en cours pour le développement de rotors éoliens sur la partie production d’énergie.  Une première étape vient d’être franchie avec la création d’un matériau composite. Celui-ci permet de réduire le poids des pales du rotor mais aussi de leur offrir une meilleure résistance aux vents violents. Conçues de manière à pouvoir se plier élastiquement en cas de tempête et à pouvoir tourner face au vent, elles seront testées sur le terrain au cours des prochains mois.

Coté stockage, c’est la légèreté et la compacité des réservoirs qui est au centre des recherches. Les réservoirs d’hydrogène classiques, principalement utilisés dans les applications industrielles, sont de grands conteneurs en acier résistant à la pression. Pour être utilisés dans des milliers de foyers, leur taille doit donc être réduite. Les premières études démontrent que des composites de fibres de carbone pourraient être employés : une résine synthétique durcie formerait un conteneur capable de résister à la pression et permettrait d’intégrer des capteurs facilitant l’utilisation par des particuliers en toute sécurité.

Source : h2-mobile.fr

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Astuces pour faire briller son véhicule sans polish

Afin d’avoir une voiture propre et brillante, il est important de l’entretenir régulièrement. Pour ce faire, il existe de nombreuses techniques afin de redonner de l’éclat à sa voiture, sans forcément utiliser un polish. Voici comment s’y prendre.

Une voiture est exposée à différents polluants tout au long de son existence. De la poussière, de la boue, des insectes et de nombreuses autres traces de pollution peuvent s’accumuler sur la carrosserie et ternir sa couleur. Il est donc important de retirer cette couche de saleté avant qu’elle ne s’incruste davantage et endommage le revêtement et la peinture du véhicule.

Par ailleurs, laver son auto présente de nombreux avantages. En effet, outre le fait de l’embellir, un entretien régulier permet de préserver la carrosserie dans la perspective d’une revente. Une voiture en bon état est toujours plus facile à vendre.

Il faut aussi noter qu’une voiture est une grande source de pollution. Tous les dépôts de saleté sur les jantes et la carrosserie vont se disséminer dans la nature. En effet, des polluants organiques ou chimiques comme le manganèse, le fer, le nickel et des résidus d’hydrocarbure vont voyager en fonction du trajet de la voiture et peuvent finir par polluer les nappes phréatiques. Par conséquent, bien que le lavage d’une voiture consomme jusqu’à 400 litres d’eau, ce geste est tout de même essentiel pour préserver l’environnement.

Astuce pour faire briller sa voiture sans polish

Le polish est très utile pour faire briller sa voiture. Toutefois, il existe de nombreuses autres techniques pour réussir le nettoyage de son véhicule sans avoir à recourir à ce produit. Il est par exemple possible d’utiliser de la gelée royale. Cette substance est très utile pour déloger les saletés de la peinture, même les plus résistantes. Il suffit de l’appliquer sur la carrosserie après le rinçage. Dans la même catégorie, le dépoussiérant pour meubles s’avère également très efficace. À utiliser également après le rinçage, il faut le vaporiser sur un chiffon et le frotter délicatement sur la carrosserie pour lui redonner de l’éclat. Toutefois, il est conseillé de tester la méthode sur une petite surface et d’observer d’abord la réaction de la peinture. Du vinaigre blanc mélangé à de l’eau tiède peut aussi être vaporisé sur les vitres pour les rendre impeccables.

Par ailleurs, pour laver sa voiture à la main, il faut utiliser un chiffon doux afin d’éviter d’égratigner la peinture. À cet effet, les chiffons en microfibres sont parfaits en raison de leur texture gaufrée qui permet de dégraisser rapidement les surfaces tout en absorbant les saletés. Afin d’obtenir un résultat uniforme sur toute la carrosserie, il faut effectuer des mouvements circulaires.

Comment garder sa voiture brillante ?

Afin de conserver l’éclat de sa voiture, il faut entretenir régulièrement sa carrosserie. Pour ce faire, il est recommandé de la laver chaque semaine. En effet, la pollution atmosphérique, les insectes, les excréments d’oiseaux ou encore les feuilles et la sève d’arbres peuvent nuire à la peinture du véhicule.

Il faut aussi noter que la chaleur peut faire fondre la cire de la voiture, et par conséquent, réduire la protection de la peinture. La pluie quant à elle favorise le développement de la rouille. Un lavage hebdomadaire permet alors d’éviter ces dommages. Néanmoins, si la voiture n’est pas exposée à ces facteurs de risque, un lavage bimensuel est suffisant. À noter, lors du lavage, il ne faut pas négliger de nettoyer les jantes de la voiture. En effet, en étant en contact direct avec le sol, elles se salissent plus rapidement.

Source : www.autoplus.fr/pratique/nettoyage-automobile-faire-briller-sa-voiture-sans-polish

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Anecdote Automobile

Les grandes inventions automobiles créés par des Femmes

Certains équipements de votre véhicule que vous utilisez quotidiennement sont le fruit de l’ingéniosité féminine ! Oui, vous avez bien lu. Aujourd’hui, sur le blog Tressol-Chabrier, nous vous proposons la découverte de ces brillantes inventrices féminines qui ont offert leur ingéniosité et créativité au service de l’automobile.

L’essuie-glace : l’objet indispensable de notre pare-brise

Mary Anderson, éleveuse et viticultrice, s’est vu attribuer un brevet pour son invention de 1902, l’essuie-glace. Elle a été inspirée par un conducteur qui devait s’arrêter pour chasser la boue et la neige fondue du pare-brise. Son invention était la première à disposer d’un levier actionnant un bras à ressort qui se déplaçait d’avant en arrière sur le pare-brise et qui était activé depuis l’intérieur du véhicule. Malgré le brevet obtenu pendant 17 ans, cette idée ne connût pas de succès jusqu’à ce qu’elle soit passée dans le domaine public. En 1922, Cadillac en fit un équipement standard sur tous ses véhicules et, en 1917, Charlotte Bridgwood trouva le moyen de l’électrifier.

Les garnitures de frein : une avancée majeure dans l’histoire de l’automobile

Bertha Benz a été la première à entreprendre un voyage longue distance en automobile. En août 1888, elle a bravé le tricycle motorisé de son mari, Karl Benz, pour un trajet de 106 km entre Mannheim et Pforzheim, en Allemagne. Lors de son voyage, elle a fait preuve d’ingéniosité en achetant de la ligroïne, pour nos lecteurs moins scientifique cela correspond à de l’éther de pétrole, dans une pharmacie de Wiesloch : la première station-service de l’histoire pour refaire le plein d’essence. Elle a aussi utilisé l’eau des ruisseaux et des fossés pour faire refroidir le moteur et a débouché les conduites de carburant avec une épingle à chapeau. De plus, elle a utilisé sa jarretière comme matériau d’isolation et payé un cordonnier pour couvrir les sabots de frein avec du cuir, ce qui a donné naissance à la première garniture de frein.

Les clignotants et le feu stop, une naissance après l’automobile

Florence Lawrence, la « première star de cinéma », a eu l’idée, en 1917, d’installer sur son véhicule un « bras de signalisation automatique » actionné par un levier derrière le volant. Ce dispositif permettait d’indiquer aux autres conducteurs le sens de la direction prise par la voiture grâce à un drapeau monté sur le pare-chocs arrière. C’est ainsi que le clignotant a vu le jour ! La même année, Lawrence a également conçu un signal de freinage rudimentaire, qui se manifestait par l’apparition d’un panneau STOP sur le pare-chocs arrière chaque fois que le conducteur appuyait sur les freins.

Le chauffage en voiture, les plus frileux vous disent Merci Margaret !

Née en 1838, Margaret Wilcox était ingénieur en mécanique. Le 28 novembre 1893, elle a révolutionné le domaine automobile en brevetant le premier chauffage de voiture. Cette invention permettait de conduire par temps brumeux et glacial en limitant la buée sur les vitres, offrant ainsi du confort aux occupants. Malgré l’apport de Margaret, ce n’est qu’en 1929, lorsque Ford a proposé cet équipement en série sur sa Model A, que ce produit est devenu populaire. Ce qu’il faut retenir de cette innovation, c’est que Margaret Wilcox a breveté son invention en son propre nom, et non en celui de son mari.

Le rétroviseur intérieur, l’histoire féminine automobile continue !

Dorothy Levitt a laissé sa trace dans l’histoire grâce à ses nombreux records de vitesse, dont un de 146 km/h à bord d’une Napier K5-L48 en 1905. Elle s’est également distinguée comme étant la première à demander l’installation d’un miroir pour voir derrière son véhicule, selon ce qu’elle a écrit dans son livre La Femme et l’automobile en 1911. Elle y souligne l’importance de ce miroir pour la sécurité et l’esthétique, même si les fabricants ne l’ont adopté que trois ans plus tard, en 1914.

La ligne blanche pour mieux partager la route

En 1917, June McCaroll eut un accident de voiture en raison d’un camion. Cet incident inspira l’infirmière à créer une ligne blanche centrale pour diviser les routes. Malgré un manque d’enthousiasme à son propos, elle peignit une ligne sur un boulevard en Californie. Finalement, en 1924, la Californie fut le premier État à mettre en place des lignes médianes sur ses routes, prouvant ainsi sa pionnière réglementation automobile.

La naissance du GPS, une avancée technologique qui a tout changé

Gladys Mae West a eu un rôle essentiel dans la mise au point du GPS. Elle a travaillé sur la modélisation mathématique de la terre et a contribué à l’utilisation de la géodésie par satellite pour le système de navigation. Ses recherches ont été indispensables à l’élaboration du GPS.

La batterie pour véhicule hybride, un pas dans le futur de l’automobile !

Annie Easley a été honorée pour ses contributions remarquables à l’aéronautique. Elle a commencé à travailler pour le National Advisory Committee for Aeronautics (NACA) en 1955 et a réalisé des calculs complexes pour ce domaine. Plus tard, elle s’est mise à développer des codes et des programmes avec une spécialité dans la conversion d’énergie. Elle a également déterminé la durée de vie des batteries de stockage et a développé un système de batterie pour les premiers véhicules hybrides.

La contribution des femmes à l’automobile ne peut pas être sous-estimée. Ces inventions et innovations, bien qu’elles n’aient pas reçu autant d’attention que celle des hommes, ont permis des progrès importants et ont facilité le développement de l’industrie automobile. Les femmes ont été et continuent d’être un grand atout pour le secteur automobile et leur impact ne fera que croître avec le temps.

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Pourquoi et comment recycler ses pneus ?

Les obligations de recyclage

Depuis la publication du décret du 24 décembre 2002  le Code de l’environnement est clair sur le sujet : “Il est strictement interdit d’abandonner, de mettre en décharge ou de brûler à l’air libre des pneus usagés. Afin d’éviter les nuisances créées par les dépôts et les risques d’incendie”.  

La fin de vie d’un pneumatique est donc avec une obligation de recyclage !

Bon à savoir: Dans un pneu, on trouve quantité de matériaux : des élastomères naturels ou synthétiques, du noir de carbone, des plastiques, de la silice, du soufre, de l’acier ou encore divers textiles.

Savez vous auprès de qui doit on se débarrasser de ses pneus usagés ?

On ne se débarrasse pas d’un pneu comme ça ! Les pneus ne sont plus acceptés dans les décharges, ils sont soumis à une obligation de reprise par tous les professionnels de la filière, les détenteurs et consommateurs de pneus usagés doivent donc faire appel aux professionnels agréés.

Les professionnels soumis à cette obligation de reprise sont :

  • Les producteurs /importateurs de pneumatiques
  • Les distributeurs (garages, centres autos…)
  • Les collecteurs, tels que la société Aliapur, doivent se charger du ramassage, du regroupement, du tri ou du transport des déchets
  • Les exploitants d’installation de traitement

Une seconde vie ?

Il y a des façons ingénieuses pour réutiliser les pneus usagés, pour les plus créatifs et bricoleurs voici quelques idées  qui permettent de recycler les pneus et ainsi éviter qu’ils polluent les sols.

Pot de Fleur
Garage à velo
Coussin d’animaux de compagnie
Pouf Déco
Balançoires

Source Photos : https://www.demotivateur.fr

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Pénurie de carburants : peut-on être verbalisé en cas de panne sèche sur la route ?

La pénurie d’essence continue de faire rage en France.

De nombreux automobilistes prennent donc des risques en prenant le volant avec des réserves basses de carburant.

En cas de panne sèche, ils s’exposent à une amende sur certaines voies, surtout les autoroutes.

C’est la hantise de nombreux automobilistes, à l’heure où des pénuries d’essence touchent plusieurs régions. Tomber en panne en pleine route, un scénario du pire qu’Audrey a expérimenté pour la première fois ce lundi matin. « Je pensais avoir le temps de faire la queue à une station pour mettre de l’essence, mais non… Je suis tombée en panne 500 mètres plus loin », regrette la conductrice, à côté de sa voiture à l’arrêt, au début du reportage du JT de TF1 ci-dessous.

D’autres flirtent avec le danger en roulant sur la réserve« Je viens de changer de voiture, je ne sais pas jusqu’à combien de kilomètres je peux aller, je suis en train de tester », s’inquiète une automobiliste de Clermont-Ferrand dans cette autre vidéo du JT de TF1. Un réflexe risqué, quand on sait que la panne sèche peut vous valoir une amende sur certaines voies.

La panne sèche pas considérée comme cas de force majeure

« Sur une route classique, comme les voies secondaires, nationales, départementales ou en ville, on va en règle générale trouver une zone où s’arrêter sans gêner la circulation, souvent sur le bas-côté. On ne représente donc pas un danger », explique auprès de TF1info l’avocat Me Jean-Baptiste le Dall, spécialiste de droit automobile.

Ce qui n’est pas le cas de l’autoroute. « Les zones sur lesquelles on s’expose le plus à la verbalisation, ce sont les bandes d’arrêt d’urgence : elles servent à s’arrêter en cas de force majeure, ce qui ne vaut pas lorsque la panne est prévisible, par exemple lorsqu’on s’y engage avec 10km d’autonomie seulement », signale l’avocat. La panne sèche est alors considérée comme un arrêt gênant, susceptible d’être sanctionné selon l’article r 417-10 du Code de la route d’une contravention de seconde classe, à savoir une amende de 35 euros, majorée 75 euros.

« L’arrêt sur la bande d’arrêt d’urgence est gênant s’il n’est pas justifié par une nécessité absolue, or la panne sèche n’est en effet pas un cas de force majeure », confirme Me Matthieu Lesage, également avocat spécialiste du droit routier. Une règle appuyée par un arrêt de la cour de Cassation du 12 février 1957, selon lequel « la panne sèche ne justifie pas l’arrêt sur la bande d’arrêt d’urgence car tout automobiliste peut anticiper cette circonstance », relate le juriste.

Vous risquez aussi une amende sur tous les ouvrages autoroutiers, comme les ponts ou les tunnels, dès lors que la panne est anticipable, précisent les spécialistes. D’autant que sur ces voies sans bande d’arrêt d’urgence, vous encourez le risque de vous stationner dangereusement, ou même de vous arrêter en pleine voie, ce qui peut vous mettre en péril, tout comme les autres conducteurs. Le stationnement dangereux vous vaudra 135 euros d’amende, majorée 375 euros, selon l’article r 417-9 du Code de la route.

Une « certaine forme de tolérance » face aux pénuries

Toutefois, il est possible que dans ce contexte de fortes pénuries de carburants dans certaines régions, les forces de l’ordre fassent preuve d’une « certaine forme de tolérance » en ce moment. « L’automobiliste peut essayer de prouver qu’il s’agit tout de même d’un cas de force majeure, parce qu’il s’était engagé sur l’autoroute pour atteindre une nouvelle station, espérant y trouver de l’essence. Il faut réussir à prouver que de précédentes stations ne délivraient plus de carburant », conseille Me Jean-Baptiste le Dall.

Si obtenir une attestation auprès de ces stations peut s’avérer délicat, il peut être utile en revanche de montrer aux policiers l’état de la situation sur l’une des nombreuses applications qui renseignent les pompes vides, pour apporter la preuve de la pénurie qui vous a forcé à prendre l’autoroute, ajoute l’avocat.

Les cas de verbalisation sur ces bandes d’arrêt d’urgence sont en règle générale peu nombreux, relève-t-il. Mais la vigilance est tout de même de mise, sachant qu’il vous faudra également verser 138 euros pour le dépannage en cas de panne sur l’autoroute, des prix majorés de 50% entre 18 heures et 8 heures du matin, et le week-end et jours fériés.

Source : https://www.tf1info.fr

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La fin des retraits de points pour les petits excès de vitesse approche

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a confirmé que le retrait de points pour de petits excès de vitesse, spécificité français en Europe, n’était pas logique. Cette politique devrait prendre fin en 2023.

Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, l’a rappelé très justement à nos confrères du Progrès dans une longue interview abordant de nombreux thèmes : la France est le seul pays d’Europe qui retire un point sur le permis de conduire au moindre excès de vitesse, aussi mineur soit-il. Mais jusqu’ici, le gouvernement est resté figé, refusant de modifier la loi en ce sens. Ce qui, ces derniers temps, eut le don d’agacer de nombreuses associations, à commencer par la Ligue de défense des conducteurs. « Sur les 12,5 millions d’infractions constatées par des radars automatiques en 2020, 58 % concernent des « excès » de 1 à 5 km/h (sachant que dans 95 % des cas, ceux-ci sont inférieurs à 20 km/h« , précisait-elle en avril. En fait, la très large majorité des excès de vitesse relevés en France sont de moins de 20 km/h. Mais pour les gens qui roulent beaucoup, souvent par obligation, l’accumulation des petits excès met en péril même la validité du permis de conduire. Et cela devrait changer.

La fin des retraits de points en 2023 ?

Gérald Darmanin s’est montré plutôt clair sur le sujet : « ils (les petits excès de moins de 5 km/h) sont certes dangereux mais souvent involontaires et représentent plus de 50 % des points perdus. La France est le seul pays d’Europe à retirer un point dès le premier km/h. La réflexion se poursuit donc pour ne plus retirer ces points tout en maintenant l’amende ».

Et au ministre de citer « ceux qui prennent la route, les ouvriers, les employés, pour aller travailler ont proportionnellement plus de risques de perdre des points à cause de petits excès de vitesse« . L’intéressé rappelle que pour bon nombre de Français, l’automobile n’est pas un choix mais une obligation face à l’absence de transports en commun. Il termine par confirmer que ces « dispositions pourraient entrer en vigueur en 2023« , non sans un travail commun avec les associations de Sécurité Routière. Ceci confirmerait alors les informations de l’AFP à la fin du printemps. La perte de points « bêtes » pour de petits excès de vitesse pourrait donc bel et bien prendre fin en France.

Mais puisqu’il est bon de recevoir après avoir donné, le ministre explique que l’amende pour fraude au points sur le permis serait « portée à 3750 €, contre une amende moyenne de 339 € aujourd’hui. Rappelons qu’il existe effectivement un véritable trafic de points avec des personnes vendant les points d’automobilistes ayant un permis valide, mais ne conduisant plus du tout.

Source : www.automobile-magazine.fr

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Les « sept engagements pour une route plus sûre »

Auprès de la Délégation interministérielle à la sécurité routière, les entreprises signataires de la charte des « Sept engagements pour une route plus sûre » s’engagent.

Auprès de la Délégation interministérielle à la sécurité routière, les entreprises signataires de la charte des « Sept engagements pour une route plus sûre » s’engagent à :

  • limiter aux cas d’urgence les conversations téléphoniques au volant. Le smartphone au volant constituant un réel danger, les chefs d’entreprise recommandent l’application « mode conduite » proposée par la Sécurité Routière ou une application similaire. Celle-ci met le smartphone en veille et envoie automatiquement un message d’indisponibilité au correspondant ;
  • prescrire la sobriété sur la route. Il s’agit de promouvoir la sobriété comme « bonne pratique professionnelle » et d’inciter les collaborateurs à dissuader un collègue qui a bu de prendre la route. Des jeux comme Addicto’Quiz peuvent être proposés pour sensibiliser les collaborateurs ;
  • exiger le port de la ceinture de sécurité. Des formations ou des simulateurs sensibilisent au danger lié au non-port de la ceinture ;
  • ne pas accepter les dépassements des limitations de vitesse. Les employeurs s’engagent à ne jamais imposer un excès de vitesse à leurs collègues dans le but d’accomplir une mission ;
  • intégrer des moments de repos dans le calcul des temps de trajet. Les employeurs font en sorte que les déplacements routiers soient aménagés pour respecter la règle d’or : une pause toutes les deux heures ;
  • favoriser une culture de la sécurité routière. Il s’agit d’un engagement à former et/ou à sensibiliser les collaborateurs aux risques routiers ;
  • encourager les usagers de deux-roues à mieux s’équiper en leur fournissant casques, gilets rétro-réfléchissants, gants de sécurité, etc.

Source : www.flotauto.com