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Marché Automobile

L’avenir du sport automobile se dessine-t-il dans l’électrique ?

Passionnés d’automobile, vous vous posez la question ? Nous aussi, l’avenir du sport auto deviendra-t-il 100 % électrique ? On peut assister à de nouvelles créations telles que la Formule E, l’Electric GT… Bilan des nouvelles tendances en matière de sport automobile. Le mariage entre sport automobile et véhicule électrique est-il un mariage heureux qui vivra de longues années ensemble ?

L’histoire de la voiture électrique dans le sport

Les origines du véhicule électrique remontent à 1834, avec la construction par Thomas Davenport de la première voiture électrique, qui ressemblait à un petit train miniature. Cette technologie est devenue célèbre grâce à la « Jamais-Contente », une voiture électrique belge ayant battu le record de vitesse en 1899 avec un impressionnant 105 km/h. Malgré toutes les avancées technologiques qui sont apparues depuis, l’électrique n’a jamais complètement disparu.

Au cours des dernières années, de nombreux constructeurs automobiles ont investi dans la recherche et le développement des technologies électriques. Cet engagement a permis de franchir un cap important avec la première compétition officielle de karting électrique à Paris en 2011. La FIA, pour sa part, a récemment reconnu le championnat Electric GT et a créé la Formule E en 2013, ouvrant la voie à un nombre croissant de compétitions électriques à l’avenir.

L’impact environnemental de la course sportive

Il est difficile de dire que l’impact écologique des voitures de course électriques est plus favorable que celui des voitures thermiques. En effet, pour que la batterie d’une voiture électrique soit plus écologique que le moteur thermique, il faut parcourir au minimum 50 000 km. Or, les voitures de course typiques ne parcourent généralement pas plus de 20 000 km et les batteries utilisées en Formule E sont souvent remplacées. Par conséquent, on pollue davantage en roulant avec une voiture électrique qu’avec une voiture thermique en course.

Le plaisir de la course automobile à bord des véhicules thermiques

Voyons le positif, malgré l’impact environnemental de la course, le véhicule thermique reste bon choix pour la course automobile, car il offre une puissance maximale et une excellente maniabilité. Il est également plus léger et plus facile à entretenir que les véhicules électriques. La technologie thermique est éprouvée et fiable, ce qui en fait une bonne option pour les courses automobiles. De plus, les véhicules thermiques sont habituellement moins chers à l’achat et peuvent durer plus longtemps que les véhicules électriques.

Sport auto, quels sont les avantages de l’électrique ?

Malgré les objections soulevées par certains, l’arrivée de l’électrique en compétition présente un certain nombre d’avantages. Tout d’abord, l’aspect écologique est indéniable. Les moteurs électriques sont plus respectueux de l’environnement que les moteurs à combustion. En outre, l’arrivée de l’électrique en compétition apporte une nouvelle dimension technologique. Les performances des moteurs électriques sont supérieures à celles des moteurs à combustion. Grâce à ces nouvelles technologies, de nouvelles performances sont à présent possibles, qui n’étaient auparavant pas imaginables.

L’électrique ne remplacera pas le thermique à court terme. Au contraire, il permet de diversifier le sport automobile et de ravir les passionnés de course. Les championnats électriques sont en plein développement et promettent un réel spectacle stimulant qui ravira les amateurs de puissance.

Plus de doutes, il y en a pour tous les amateurs de sport automobile, électrique ou thermique, vous pourrez toujours entendre le doux son des voitures sur le circuit et en apprécier les exploits !

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Le futur de l’automobile

La mobilité électrique, un enjeu essentiel de la transition énergétique

Face à la crise climatique, la mobilité électrique est une solution essentielle pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, conformément aux objectifs des Accords de Paris et aux engagements de la Commission européenne.

Objectif : 2050 neutralité carbone

Entré en vigueur le 4 novembre 2016, l’Accord de Paris vise à réduire le réchauffement climatique à un niveau inférieur à 2, de préférence à 1,5 degré Celsius, par rapport aux niveaux préindustriels. Pour atteindre ce but, la Commission européenne a récemment réaffirmé son plan « Fit for 55 » en juillet 2021, avec l’objectif d’atteindre un monde climatiquement neutre d’ici 2050. La mobilité électrique représente une solution efficace pour le respecter. En effet, aujourd’hui, le secteur des transports est responsable de la moitié des émissions de gaz à effet de serre en France, et 96% des émissions de CO2 induites par les transports proviennent de la combustion de carburants fossiles. Selon une étude de 2020 de Carbone 4, la voiture électrique à batterie est la technologie la moins émissive. En effet, selon une approche d’ACV (analyse du cycle de vie), les consultants de Carbone 4 précisent que la voiture électrique entraine en moyenne une réduction de 50 à plus de 70 % de l’empreinte carbone par rapport à un véhicule thermique fossile, même dans des pays tels que la Pologne où la production d’électricité est très carbonée.

Le véhicule électrique, une valeur ajoutée pour les énergies renouvelables

Les réseaux de recharge fournissant de l’électricité d’origine renouvelable se multiplient à l’heure actuelle. En pilotant la recharge, le véhicule électrique peut contribuer à l’amélioration du modèle économique de l’énergie renouvelable en exploitant les énergies renouvelables lorsque la production est excédentaire, notamment la nuit. De plus, les batteries des véhicules peuvent stocker de l’énergie et la restituer au réseau électrique en cas de pic de production ou de demande. Les tests à ce sujet sont très répandus à travers l’Europe. Une fois leur durée de vie en mobilité arrivée à son terme, les batteries trouvent une seconde vie en tant que dispositif de stockage pour les bâtiments à énergie positive ou pour l’autoconsommation. Le véhicule électrique offre ainsi une capacité de stockage unique pour les énergies intermittentes telles que le solaire et l’éolien, et est une opportunité à saisir pour le développement des énergies renouvelables.

Développer les aides pour la transition à la mobilité électrique

Cette transformation vers la mobilité électrique nécessitera une coordination sans faille de l’ensemble des acteurs de l’écosystème (constructeurs automobiles, fabricants de bornes de recharge, énergéticiens, collectivités, décideurs politiques, etc.). Tous doivent s’unir pour atteindre ces objectifs ambitieux et poursuivre la mise à disposition de la mobilité électrique pour tous. Les éléments clés pour réussir cette transformation sont : le maintien des aides à l’acquisition jusqu’à ce qu’elles ne soient plus nécessaires ; le soutien à l’investissement dans le déploiement des infrastructures de recharge ; et une approche pragmatique des performances, des services et des impacts sociaux des différentes solutions techniques.

Dans un contexte de fin du véhicule thermique fixé à 2035, la mobilité électrique est l’enjeu de demain. 48 000 décès sont causés par la pollution de l’air en France, face à ce constat, les changements sont essentiels et sont en marche. Le paysage du parc automobile ainsi que nos réseaux de transports va changer dans les années à venir, c’est une certitude !

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Le futur de l’automobile

Voitures connectées : quelles fonctionnalités font réellement rêver ?

Les automobilistes sont de plus en plus entourés de nouvelles technologies, les aides à la conduite sont nombreuses et bientôt conduire ne sera plus qu’un lointain souvenir avec l’arrivée des voitures autonomes. Pourtant, des fonctionnalités sont attendues par un grand nombre d’automobilistes et d’autres ne trouvent pas leurs adeptes. On fait le point sur les fonctionnalités réellement désirées par les automobilistes dans ces voitures tant connectées.

Trouver une place de parking depuis son véhicule

Les voitures connectées offrent un grand nombre de possibilités aux conducteurs. Selon une étude récente menée auprès de 4 990 personnes à travers le monde, y compris en France, la fonctionnalité la plus recherchée est la possibilité de trouver une place de parking à proximité. Cette fonction est désormais plus appréciée que les informations sur le trafic.

Les sondés ont été invités à classer 28 fonctionnalités embarquées, dont celles liées à la conduite (alertes sur le trafic, paiement du stationnement depuis le véhicule…) et plus particulièrement à la recherche des places de stationnement à proximité. En Chine, cette fonctionnalité était la priorité numéro 1 des acheteurs, et en Europe de l’Ouest, elle était la n°2, mais très proche de la n°1. La recherche de places de stationnement est également très recherchée par les 18-24 ans. On peut donc dire que cette fonctionnalité a une place fondamentale.

L’absence d’engouement pour les distractions au volant

Les automobilistes ont clairement exprimé leur souhait de ne pas être distraits lorsqu’ils conduisent. Ils ne souhaitent pas envoyer des mails, passer du temps sur les réseaux sociaux ou jouer à bord de leur auto. Duncan Licence, le directeur produit de Parkopedia, explique que ce souhait est dû à l’augmentation des embouteillages et à l’accélération du rythme de vie des conducteurs. Ainsi, ils cherchent des équipements qui leur permettent de conduire en toute sécurité et avec plus de facilité.

Vous l’imaginez la voiture de vos rêves ? Elle trouverait votre prochaine place de parking, vous indiquerait combien vous coûte le stationnement, vous permettrait de le régler sans avoir à faire des kilomètres entre la place et la borne directement sur votre tableau de bord… Et si cette voiture vous permettait également de suivre en temps réel l’avancée du trafic… Nous espérons que vos rêves deviennent réalité ! Nous, on veut que votre bonheur !

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Pratique Auto

Climatisation de votre voiture, comment savoir si tout va bien ?

Votre climatisation est un élément essentiel pour votre voiture et votre santé. Il est donc important de vérifier régulièrement son bon fonctionnement. En hiver, elle permet d’éviter l’humidité à l’intérieur de l’habitacle, tandis qu’en été, elle vous rafraîchit. Il est recommandé de recharger le gaz de votre climatisation tous les deux à trois ans. Mais comment savoir si votre système est en bonne santé ? Heureusement, il y a des moyens simples pour le découvrir. Voici quelques conseils pour vous assurer que votre climatisation fonctionne bien.

Comment identifier une climatisation « malade » ?

Pour déterminer si votre climatisation est en bon état, vérifiez si elle produit de l’air froid. Posez simplement votre main devant une bouche de sortie pour juger de sa température. Si l’air est tiède, cela peut être un signe d’alerte. Autre indicateur possible : une puissance moindre de la climatisation, ce qui peut indiquer un manque de gaz. Enfin, soyez attentif à la fonction dégivrage : si elle ne fonctionne pas normalement, votre climatisation a probablement un problème.

Climatisation défectueuse, quels sont les risques ?

Pour garder une climatisation en bon état et permettre à votre maison ou à votre bureau d’être bien chauffé ou refroidi, il est important de l’entretenir au moins une fois par an. Cela comprend un contrôle du circuit et un changement du filtre. En effet, une climatisation négligée peut causer des problèmes sérieux et coûteux. Par exemple, un bruit métallique peut indiquer un problème avec le compresseur, qui peut coûter jusqu’à 1 000 € à remplacer. Des mauvaises odeurs provenant de la ventilation peuvent également indiquer que le filtre d’habitacle est sale et peut causer des bactéries et des maladies. Pour éviter ces problèmes, il est préférable d’entretenir votre climatisation régulièrement.

Les beaux jours arrivent et donc les pics de chaleur également. La fonction bénite de la climatisation va faire son grand retour dans votre véhicule. Pour le bien-être de votre santé ainsi que celui de votre voiture et de votre portefeuille, prenez rendez-vous dans l’une de nos concessions pour effectuer une vérification de la climatisation.

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Pratique Auto

Conduire une voiture hybride : 5 astuces pour une conduite optimale

Elles possèdent les avantages du thermique MAIS aussi de l’électrique, nous avons nommé la voiture hybride ! Alors non, il ne s’agit pas encore du véhicule du futur qui vole, même si on aimerait bien. Pour ceux qui préfèrent rester sur la terre ferme et qui choisissent l’hybride, on vous dévoile 5 conseils pour une conduite en toute sécurité, sérénité et économie dans le Mag Tressol-Chabrier.

1. Ne pas hésiter avec l’accélérateur

Appuyer sur le champignon ! On a adoré écrire cette phrase. Pour une fois que vous pouvez le faire, faîtes-le ! Il est préférable d’accélérer franchement pendant quelques secondes plutôt que de le faire progressivement durant plusieurs minutes. En effet, de cette manière, vous réduirez considérablement la consommation d’énergie.

2. Freiner en douceur

Il est conseillé d’anticiper vos freinages et de freiner doucement de manière régulière, en appuyant à mi-course sur la pédale de frein. Cela permettra à votre voiture électrique de stocker plus d’énergie et de l’utiliser lors des phases de démarrage.

3. Ne pas allumer le chauffage

Attention, notre conseil n’est pas de claquer des dents pour économiser de l’énergie et d’attraper en prime un bon gros rhume. En hiver, il est préférable d‘attendre d’avoir parcouru plusieurs kilomètres avant de mettre le chauffage, car sinon la jauge d’énergie de votre véhicule diminuera rapidement. Mieux vaut avoir froid quelques minutes plutôt que de devoir recharger votre voiture fréquemment.

4. Privilégier le mode ECO

Le mode « ECO » (ou E-SAVE) des voitures hybrides est très performant pour réaliser des économies d’énergie importantes (environ 20 %). Ce système améliore le rendement énergétique en atténuant la pression sur la pédale d’accélération afin d’éviter une consommation élevée et en optimisant la consommation à chaque fois que l’on utilise les systèmes de chauffage ou de climatisation.

5. Rester branché

Non, nous ne parlons pas de votre style… Cette fois-ci, nous vous conseillons de privilégier les trajets en mode électrique. En effet, pour les courts trajets, il sera plus économique d’utiliser la fonction électrique, cela vous évitera les allers-retours à la station essence.

Vous avez toutes les clés ? Nous n’avons plus aucun doute, vous êtes maintenant au top sur votre véhicule hybride. Vous pouvez en exploiter toutes les caractéristiques et faire des économies !

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Marché Automobile

6 conseils pour choisir son véhicule électrique

Il est temps de sauter le pas et de plonger dans le grand bain de l’électrique ! Aujourd’hui de nombreuses solutions de mobilité électrique s’offrent à vous et il est quasi impossible pour vous de faire un choix… c’est un peu comme se retrouver devant cette boîte de chocolat et ne pas savoir lequel choisir… Entre les équipements, le financement ou les systèmes de recharge, il y a de quoi perdre la tête ! Pour le bien-être de votre santé mentale, le Mag Tressol-Chabrier vous délivre 6 astuces pour enfin choisir votre véhicule électrique.

1. L’autonomie de votre véhicule

Si vous êtes à la recherche d’une voiture électrique, votre préoccupation principale devrait être comment vous allez l’utiliser. Ne cherchez pas à aller « toujours plus loin » et restez pragmatique. Posez-vous plutôt ces questions : « Est-ce que je vais juste aller faire des courses au supermarché ou vais-je traverser la moitié du pays ? Est-ce que je vais parcourir plus de vingt-cinq ou cinquante kilomètres par jour ? Est-ce que je vais juste faire des petits trajets ? ». En règle générale et selon l’usage, une voiture électrique dotée d’une batterie de 50 kWh affichera environ 350 à 400 km de distance parcourue selon le cycle WLTP. Cependant, en conditions réelles, ce type de voiture peut parcourir entre 200 et 300 km.

2. Charger son véhicule : les options

La recharge doit être considérée lors de l’achat d’une voiture électrique. Il est important de vérifier l’autonomie ainsi que les options de recharge disponibles :

  • Le chargeur embarqué intégré à votre véhicule est déterminant pour sa durée de recharge. Les modèles standards sont généralement à 7,4 kW, mais des versions plus puissantes (11 et 22 kW) sont également disponibles. Néanmoins, pour tirer pleinement parti de la puissance de votre chargeur, il est nécessaire de disposer d’une wall-box adaptée à votre domicile ou d’une borne publique.
  • Le connecteur rapide en Combo CCS, devenu le standard en Europe, qui permet de récupérer beaucoup d’autonomie en peu de temps, sur certains véhicules, on peut retrouver 300 km (cycle WLTP) en 30 min (recharge DC 130 kW). Avant le Combo CCS, il y avait la prise rapide CHAdeMO, utilisée par certaines marques.

Si vous effectuez fréquemment de longs trajets, les caractéristiques de la recharge rapide sont essentielles. Assurez-vous donc de choisir le modèle ou la fonctionnalité appropriée, ou de posséder au moins une prise de 22 kW AC.

Il est important de tenir compte de l’emplacement de votre prise ou borne de recharge lorsque vous rechargez dans un garage. Toutes les voitures électriques ne disposent pas du même emplacement pour la trappe de recharge. Si vous souhaitez invoquer le « droit à la prise » pour installer une borne de recharge en copropriété, veuillez prendre en compte que le délai de mise en place peut prendre plusieurs mois.

3. Bien choisir ses équipements

Lorsque l’on choisit une voiture électrique, il est important de se pencher également sur l’ensemble des équipements installés. Dans les régions où l’hiver est rude, la pompe à chaleur et les sièges chauffants sont des éléments importants, car ils offrent une meilleure concentration de la chaleur avec une consommation réduite, et aident à maintenir une autonomie optimale. En plus, qui ne rêve pas en plein hiver de s’asseoir sur un siège chauffant pour faire face au froid ? Il faudra par ailleurs s’assurer que le véhicule est bien équipé des câbles de recharge nécessaires. Il est aussi utile d’avoir une connectivité embarquée avec un planificateur d’itinéraire intégré au GPS pour prendre en compte les arrêts nécessaires pour recharger le véhicule.

4. Réfléchir à la formule d’achat

Le choix d’une voiture électrique implique de prendre en compte non seulement les aspects technologiques, mais aussi la formule d’achat. Les principales solutions proposées sont la location avec option d’achat (LOA), le crédit classique, le crédit location longue durée (LLD) et pour les professionnels : le crédit-bail.

  • LOA – Location avec option d’achat : Cette solution permet l’acquisition d’un véhicule avec des paiements mensuels réguliers. Elle offre à l’utilisateur la possibilité de devenir propriétaire du véhicule à la fin du contrat, qui est généralement compris entre 2 et 6 ans.
  • Le crédit classique : Il peut être une solution intéressante pour financer l’achat d’un véhicule. Il s’agit d’un prêt à court ou à moyen terme procuré par une banque ou une société de crédit. Il peut être utilisé pour l’achat d’une voiture neuve ou d’occasion et est remboursable mensuellement. Le montant des paiements est calculé en fonction du montant total du prêt et de sa durée. Les taux d’intérêt peuvent varier et dépendent du montant du prêt, de sa durée et du type de véhicule acheté.
  • LLD – Location longue durée : Vous pouvez louer un véhicule pour une durée et un kilométrage limités. Vous devrez alors payer des loyers mensuels qui couvriront les frais de location et les intérêts associés. Ces loyers sont souvent plus avantageux qu’avec une LOA, mais vous ne pouvez pas acheter le véhicule à l’issue du contrat. Vous devez le restituer. Vous pouvez cependant diminuer le montant des loyers en apportant un capital de départ tel que la reprise de votre ancien véhicule ou tout autre apport financier.
  • Le crédit-bail pour les professionnels uniquement :
    Cette forme de financement permet aux entreprises d’acquérir des biens, tels que des véhicules, sans avoir à effectuer un achat initial. Les paiements mensuels sont généralement moins élevés que pour un achat initial et l’entreprise peut bénéficier des avantages fiscaux offerts par le crédit-bail, réduisant ainsi le coût total de l’achat. Cette forme de financement permet aux entreprises de conserver leurs fonds pour d’autres dépenses et d’avoir une certaine flexibilité.

N’hésitez pas à consulter nos différents types de financement, pour faire votre choix.

5. Faire le point sur les aides et remises

Pour vous aider dans votre démarche d’achat, il existe aujourd’hui plusieurs aides qui peuvent rendre plus accessibles les véhicules électriques. Tout d’abord, le bonus écologique, allant de 5 000 € à 7 000 € pour la moitié des Français. Vous pourrez aussi vous intéresser à la prime à la conversion en fonction de votre barème Crit’air. Enfin, si vous êtes l’heureux habitant d’une zone à faibles émissions (ZFE) vous pourrez également avoir le droit à une prime !

6. Essayez les véhicules

Faire son choix peut s’avérer compliqué, et après avoir consulté internet pendant des heures, vous ne savez toujours pas quel modèle choisir ? Il n’y a plus de doutes, effectuez un test routier du véhicule que vous désirez accompagné de l’un de nos tests driver. En effet, dans certaines concessions, notamment chez Tressol-Chabrier, vous pourrez retrouver des tests driver, autrement dit des professionnels qui vous accompagnent lors de vos essais et vous faire découvrir tous les aspects d’un véhicule selon vos besoins, vos envies, le type de route empruntée, vos habitudes de déplacement… Plus de doute après avoir fait une balade à leurs côtés, votre choix sera bientôt fait !

Vous hésitez toujours ? Un véhicule électrique vous permettra de prendre soin de vos économies et aussi de l’environnement. Et même si choisir son futur véhicule peut être un grand pas, vous allez enfin pouvoir réduire votre empreinte carbone et vous lancer dans un nouveau chapitre de votre mobilité !

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Le futur de l’automobile

Transition écologique, TotalEnergies se prépare à la fin des voitures thermiques

Oyez Oyez chers automobilistes, une ère nouvelle est en marche. On sait pas si vous êtes au courant mais la mobilité électrique est en grande marche dans notre doux pays. Le fournisseur d’énergie TotalEnergies prépare, lui aussi, ses nouveaux projets et se tourne officiellement vers des activités électrique. Cette semaine, TotalEnergie a annoncé son alliance avec la société canadienne Couche Tard. On vous explique.

La fin des moteurs thermiques pour 2035 : TotalEnergies se prépare


TotalEnergies se prépare à l’adoption de la réglementation européenne qui devrait bannir les véhicules thermiques d’ici à 2035, bien que cette interdiction soit encore contestée par l’Allemagne à l’heure où nous écrivons ces lignes. Pour s’adapter à ce changement, le pétrolier a décidé de vendre une partie de ses stations-service européennes en s’associant à l’enseigne canadienne Couche-Tard.

Fondée en 1980, cette société, connue pour les magasins de proximité, dits « dépanneurs », ouverts 24 h/24 autour des stations-service, a aujourd’hui 14 000 points de vente répartis en Amérique du Nord, en Asie et en Europe du Nord. Elle a récemment fait parler d’elle en tentant d’acquérir Carrefour en 2021 pour un montant de 16 milliards d’euros, mais sa tentative s’est heurtée au veto du ministre de l’Économie Bruno Le Maire, qui a redouté des conséquences pour la souveraineté alimentaire de la France.

Couche-Tard présent en Allemagne et aux Pays-bas

Face à la menace de baisse des recettes liée à l’essor des véhicules électriques qui peuvent être rechargés à domicile ou au bureau, TotalEnergies a décidé de se réinventer. Couche-Tard en profite en rachetant son réseau de stations-service en Allemagne et aux Pays-Bas, soit environ 1 600 en tout (1 198 en Allemagne et 392 aux Pays-Bas). Le géant pétrolier estime ne pas être leader de ce marché et préfère se focaliser sur le développement des nouvelles mobilités (électriques et hydrogène) dans ces deux pays.

TotalEnergies a déjà cédé ses réseaux de stations-service en Italie, en Suisse et au Royaume-Uni depuis 2015. Dans le but de “ne pas vendre ni raffiner plus de carburants qu’elle ne produit de pétrole”, Total s’est fixé comme objectif de réduire de 30 % ses ventes de produits pétroliers d’ici à 2030.

Une coentreprise sur le plat pays

TotalEnergies et Couche-Tard s’associent pour créer une coentreprise dans les pays belge et luxembourgeois afin de s’améliorer mutuellement. La société canadienne apporte son expertise et TotalEnergies sa présence dans ces deux pays. La collaboration a pour but de maximiser les ventes hors carburants pétroliers (restauration, lavage, boutique, recharge de véhicule électrique…) pour permettre à TotalEnergies de conserver son leadership.

Le projet, qui doit être achevé avant décembre 2023, est estimé à 3,1 milliards d’euros. Les quatre réseaux resteront à la marque TotalEnergies « pour au moins cinq ans » tant qu’ils seront approvisionnés en carburants par ses raffineries d’Anvers (Belgique) et de Leuna (Allemagne).

Du côté de la transition énergétique, de nombreux efforts sont encore à effectuer par les grandes industries françaises. Cependant, certaines sont déjà en marche et prennent le sujet à cœur. Rendez-vous fin 2023 pour découvrir les projets de TotalEnergies. Un changement de cap qui devrait contribuer positivement aux nombre de bornes de recharges de véhicules électriques disponibles dans l’Hexagone.

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Pratique Auto

Gonfler ses pneus : un jeu d’enfant !


L’heure a sonné : il est temps de vous rendre à la station pour gonfler vos pneus ! Vous avez peut-être envie de rester tranquillement chez vous, mais voyez le positif ! On ne vous parle pas de les changer mais d’une chose à faire plutôt simple. Gonfler les pneus de sa voiture est primordial pour la sécurité du conducteur et des passagers. Les pneus représentent le seul lien entre la voiture et la route. On vous explique comment devenir incollable sur le gonflage de vos pneumatiques.

Étape 1 : Vérification de la pression des pneus

Il est important de vérifier la pression exacte des pneus. Pour cela, nous vous invitons à vous reporter aux valeurs indiquées par le constructeur avant de les gonfler. Elle n’est pas la même pour l’avant et l’arrière. Pour connaître cette pression en bar, référez-vous au manuel d’entretien, sur le flanc de la portière, au clapet du réservoir ou à la boîte à gants.

Pour vérifier la pression du pneu, commencez par dévisser le bouchon en plastique sur la valve et mettez-le de côté. Assurez-vous de porter des gants et d’utiliser un gonfleur. Positionnez l’embout du gonfleur au niveau de la valve. Un son spécial vous indiquera que tout se déroule bien. Si le bruit persiste, vérifiez le positionnement de l’embout. La pression du pneu est indiquée sur le cadran du gonfleur.

Il est conseillé de vérifier la pression des pneus lorsque la gomme est bien froide. Laisser reposer le pneu au moins deux heures est fortement recommandé afin d’éviter le sous-gonflage. Cependant, si vous devez vous déplacer, vérifiez la pression à chaud, mais faites attention à ne pas vous brûler. Pour les trajets en autoroute, ajoutez 0,2 à 0,3 bar à la pression recommandée, et ce, peu importe la saison, car la température influence le gonflage.

Étape 2 : Choisir la bonne pression

On ne vous parle pas de bière, mais bien de pression pour vos pneus. Celle-ci dépendra du modèle de votre véhicule et des recommandations prévues. Pour être au top de la pression, voici les deux cas à connaître :

  • En hiver, veillez à rajouter + 0,2 bar, en effet les températures étant plus froides, les constructeurs veillent à ce que les pneus soient plus gonflés étant plus sollicités.

Autre conseil, cette fois, il s’adresse aux gros rouleurs, si vous avez l’habitude de prendre l’autoroute, veuillez ajouter + 0,3 bar à la pression recommandée.

Étape 3 : Le gonflage de vos pneus

Il est impératif de respecter la pression préconisée par le fabricant pour le gonflage du pneu. Pour vérifier que cette pression est optimale, il suffit de consulter les chiffres inscrits sur le cadran. Si cette pression est trop élevée, il faut dégonfler le pneu et le regonfler jusqu’à ce que la pression soit correcte. Une fois le gonflage terminé, le bouchon doit être bien serré sur la valve.

Pour éviter l’usure précoce, optimiser la consommation de carburant, améliorer le freinage et la tenue de route, il est essentiel de contrôler le gonflage des pneus régulièrement. Un contrôle mensuel en station de lavage auto ou station-service est suffisant. Cependant, il faut éviter de gonfler un pneu trop usé, car cela peut le faire éclater. De plus, trouver une station pour le gonflage des pneus est très simple puisque la plupart des stations sont équipées pour ce genre de service.

Où gonfler ses pneus ?

Vous pouvez vous rendre dans toutes les stations-services classiques qui proposent les outils pour gonfler vos pneus gratuitement. Également, les stations-services : Total, Esso, Avia, les centres automobiles : Norauto, Feu Vert… ou les centres de lavage : Éléphant bleu, La laveuse…

Et si vous ressentez le besoin d’être 100 % autonome, vous pouvez également faire l’acquisition d’un compresseur spécial voiture pour une centaine d’euros, ce qui vous permettra de gonfler vos pneus chez vous en toute tranquillité.

Vous n’avez plus d’excuses ! Dorénavant, vous avez toutes les clés pour gonfler vos pneus et pour en prendre soin. Plus question de s’y prendre juste avant de partir en vacances quand la station est pleine ou une fois que le pneu est à plat. Vous voilà prévenu.

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Anecdote Automobile

L’incroyable histoire du véhicule électrique – Episode 1, les débuts

Nous assistons à une révolution historique ! La voiture telle que nous la connaissons et que nos ancêtres l’ont connu est bel et bien terminée. Le traditionnel moteur thermique a déjà un pied dans la tombe et le futur du monde automobile se lit désormais dans une batterie de voiture électrifiée, pièce maîtresse de la nouvelle mobilité. Comme le dit si bien l’adage « Rome ne s’est pas faite en un jour », il en est de même pour le véhicule électrique. L’équipe du mag Tressol-Chabrier vous propose une série d’articles sur l’histoire de la propulsion électrique, de ses premiers pas à son apogée. Flash-back sur le commencement de cette innovation majeure qui bouleverse aujourd’hui notre secteur !

L’idée s’électrise pour la première fois en 1832

Très chers lecteurs, pour débuter cette série d’article sur le fabuleuse histoire du véhicule électrique, veuillez noter que ses débuts étaient plutôt amusants et pas du tout annonciateurs d’une telle révolution. Les inventeurs avaient des idées électrisantes, mais leurs réalisations étaient plutôt choquantes. Au début, les voitures électriques étaient lentes comme des escargots, et leurs batteries étaient plus encombrantes que la belle-mère qui s’incruste pour les fêtes de fin d’année.

L’histoire du véhicule électrique remonte au début du XIXe siècle, lorsque les premiers prototypes de véhicules électriques ont été développés. En 1821, Michael Faraday a découvert l’induction électromagnétique, ce qui a permis de comprendre comment les champs magnétiques peuvent produire de l’électricité.

En 1832, Robert Anderson, un inventeur écossais, a créé une voiture électrique rudimentaire à quatre roues alimentée par des piles non rechargeables.

En 1859, le français Gaston Planté a inventé la première batterie rechargeable, ouvrant ainsi la voie aux voitures électriques modernes.

En 1837, Robert Davidson a construit un petit véhicule électrique à batterie qui a été utilisé pour transporter des personnes dans les rues de Aberdeen, en Écosse. Ce véhicule pouvait atteindre une vitesse de 4 miles par heure, soit environ 6,4 km/h.

En 1881, Gustave Trouvé, un ingénieur français, a présenté un tricycle électrique à l’Exposition internationale d’électricité de Paris. Ce tricycle était équipé d’une batterie au plomb-acide et pouvait atteindre une vitesse de 12 km/h.

1899, l’arrivée de la première voiture électrique avec une vitesse de pointe de 22km/h et 80km d’autonomie

Puis, en 1899, le rêve devient réalité. La première voiture électrique a été construite aux États-Unis par la Electric Vehicle Company. Cette voiture pouvait atteindre une vitesse de 22 km/h et avait une autonomie de 80 km. À l’époque, les voitures électriques étaient populaires en raison de leur silence, de leur faible coût d’entretien et de leur absence d’émissions polluantes.

Au fil du temps, de nombreux autres inventeurs ont travaillé sur des véhicules électriques, mais la popularité de ces véhicules a été limitée en raison de problèmes de performance et de coût. Pendant de nombreuses années, les voitures à essence étaient plus populaires et plus abordables pour la plupart des gens.

Mais ne perdons pas espoir, car même si les débuts étaient difficiles, les véhicules électriques sont aujourd’hui plus populaires que jamais. Il semblerait que l’avenir soit électrique, et peut-être même un peu électrisant ! Vous l’aurez compris, pour connaître le développement et la démocratisation du véhicule électrique, on vous donne rendez-vous très prochainement.

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Marché Automobile

Stations de recharge de véhicules électriques : BP Pulse s’installe en France

Avis à tous les propriétaires de véhicules électriques et hydrides ! Le bonheur de votre électromobilité se trouve dans cet article. De nouvelles stations de recharge ultra-rapides vont bientôt voir le jour en France. Non, vous ne rêvez pas ! L’entreprise BP Pulse continue de s’implanter à travers le monde et la France est sa prochaine destination !

L’objectif de BP Pulse : 100 000 stations dans le monde

C’est un engagement fort. La start-up le crie haut et fort : d’ici à 2025, 25 centres de recharge ultra-rapides seront accessibles dans toute la France.

La société britannique, BP Pulse, a parfaitement effectué sa transition du fossile à l’électrique afin de devenir l’un des réseaux de recharge les plus importants du Royaume-Uni et de l’Allemagne. D’ici à 2030, l’objectif de BP Pulse est d’atteindre les 100 000 stations à travers le monde. La France, entre autres pays européens, va voir l’arrivée prochaine de plusieurs de ces stations.

Le partenariat écologique de BP Pulse

Afin de réaliser ses objectifs, BP Pulse s’est associé à la Compagnie de Phalsbourg, une grande entreprise du secteur immobilier. D’ici à 2025, 25 bornes de recharge ultra-rapides seront installées en France, principalement dans les centres commerciaux des grandes villes. Ces bornes peuvent atteindre une puissance maximale de 300 kW, ce qui permettra aux conducteurs de recharger leurs véhicules en un temps record.

Grâce à ce solide partenariat, BP Pulse bénéficiera de l’expertise de la Compagnie de Phalsbourg pour atteindre l’autonomie énergétique sur ses différents sites. À la fin de l’année 2023, les stations seront dotées de 100 000 m² de panneaux photovoltaïques et il sera alors possible de se rendre sur les premiers sites.

« Nos sites produiront de l’électricité et deviendront des hubs de recharge pour véhicules électriques. 

Cela va nous aider à participer à la transition vers une mobilité plus durable, plus sobre et plus propre« .

Philippe JOURNO – Président de la Compagnie de Phalsbourg.

Après le nouveau réseau de bornes Electra, place à BP Pulse ! Avis à tous les propriétaires de véhicules électriques et hybrides, recharger son véhicule devient littéralement un jeu d’enfant.