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Le futur de l’automobile

La voiture volante arrive très bientôt !

Depuis des années, la technologie de la voiture volante se rapproche de la réalité. Des tests effectués en Europe, aux États-Unis et à Singapour sont sur le point de devenir une partie de notre vie quotidienne. L’avènement de cette nouvelle technologie sera la fin des embouteillages en centre-ville. Grâce à celle-ci dans les grandes agglomérations pour vous déplacer il nous suffira de prendre un taxi volant !

La voiture volante, c’est pour quand ?

Depuis les années 50, l’utopie de voyager dans les airs est courante dans notre société. Afin de rendre possible ce mythe, en 2022, de nombreuses expériences ont été menées ainsi que d’importants investissements financiers ont été déployés. Les entreprises spécialisées s’efforcent de trouver une formule rentable. Les produits vont des drones géants à des voitures avec des ailes, chacun ayant ses spécificités de style et de construction. Par exemple, l’AirCar rappelant la mythique voiture volante du film Le Cinquième Élément de Luc Besson, gagne en popularité.

Quelles sont les caractéristiques de la voiture volante ?

L’entreprise slovaque Klein Vision a réalisé 70 heures de vol d’essai (200 décollages et atterrissages) et a reçu un certificat de l’Autorité des transports à Bratislava, attestant de sa sécurité.

Pour décoller, l’AirCar n’a besoin que d’une piste de 300 mètres et s’envole en trois minutes grâce à son moteur 1,6 litre BMW.

En revanche, il est nécessaire d’obtenir un certificat type aéronef pour pouvoir exploiter commercialement cet appareil, de plus son prix est estimé entre 600 000 et 700 000 Euros.

Son usage pourrait être pour des services de mobilité collective des villes, comme un bus volant, autonome et électrique si possible. D’autres appareils, comme les eVTOL (electric vertical take-off and landing), sont des aéronefs à décollage et atterrissage verticaux électriques qui ressemblent à des drones.

Volocopter, une entreprise allemande en partenariat avec le Groupe ADP et la RATP, ambitionne de fournir un service de navettes volantes pour les Jeux Olympiques de Paris 2024. Une innovation mis en lumière sur notre blog dernièrement, pour découvrir cet article nous vous invitons à aller sur ce lien. Ces navettes seront baptisées « Velocity » et voleront à une altitude de 350 mètres à une vitesse de 80 km/h. Avant de pouvoir opérer, ces véhicules volants devront obtenir la certification de l’AESA (Agence européenne de la sécurité aérienne).

La voiture volante représente une grande innovation et un tournant dans le secteur de l’automobile. Cependant, beaucoup d’interrogations sont présentes concernant la sécurité, la durabilité et l’aspect écologie…
En 2023, seriez-vous prêts à faire un tour en voiture volante ?

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Pratique Auto

Voiture de collection : Comment obtenir la carte grise ?

Vous avez pour projet d’acquérir une belle voiture de collection ou vous êtes en possession d’un véhicule mythique ? Cependant, la question de la carte grise se pose et vous n’avez aucune idée de la procédure à effectuer pour obtenir ce document essentiel ? On vous explique la marche à suivre.

Véhicule de collection : des critères à satisfaire

Pour obtenir le statut de véhicule de collection pour votre automobile de plus de 30 ans, vous devez satisfaire aux critères requis par la Fédération Française des Véhicules d’Epoque (FFVE) ou par le constructeur de votre véhicule. Une fois ces critères remplis, vous pourrez obtenir une attestation de la FFVE ou du constructeur et présenter celle-ci à l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) afin d’obtenir la mention « collection » sur votre certificat d’immatriculation. Si vous êtes déjà propriétaire d’un modèle datant de plus de 30 ans ou si vous prévoyez de l’acheter, les procédures à suivre sont différentes. Voici la démarche à suivre :

1. Vous possédez déjà un véhicule de plus de 30 ans ?

Votre véhicule a dépassé la barre des 30 ans ? Vous souhaitez obtenir la mention « collection » ? Pour cela, vous devrez vous munir d’une attestation FFVE (Fédération Française des Véhicules d’Époque), d’une copie de l’ancienne carte grise et d’un contrôle technique récent (sauf pour les véhicules datant d’avant 1960 ou dont le poids total autorisé en charge ou PTAC est supérieur à 3,5 tonnes). Si vous effectuez cette démarche pour quelqu’un d’autre, vous devrez remplir un mandat (formulaire Cerfa 13757·03) et fournir une photocopie de sa pièce d’identité (carte d’identité ou passeport). Rendez-vous ensuite sur le site de l’ANTS et effectuez la démarche en ligne. Le coût de la mention « collection » s’élève à environ 10€.

2. Vous souhaitez acquérir un véhicule de collection ?

Pour faire la demande en ligne, vous devrez fournir les documents suivants :

  • une attestation FFVE
  • un contrôle technique si le véhicule immatriculé après 1960 et dont le PTAC est inférieur à 3,5 t
  • un mandat
  • u ne copie de la pièce d’identité du futur propriétaire si nécessaire
  • le code de cession remis par l’ancien propriétaire
  • l’ancienne carte grise barrée avec la mention « Vendu » ou « Cédé le (jour/mois/année) »
  • la signature du précédent propriétaire.

Le tarif pour une carte grise sera celui d’un véhicule ayant plus de 10 ans, soit avec un rabais de 50 % sur le prix du cheval fiscal. Vous pouvez utiliser le simulateur du service public pour connaître le prix exact.

Quels sont les avantages d’acquérir une voiture de collection ?

En définitive, l’obtention de la mention « collection » présente de nombreux avantages : les véhicules antérieurs à 1960 ou dont le PTAC dépasse 3,5 tonnes sont exemptés du contrôle technique. Pour les autres (fabriqués à partir de 1960 et à PTAC inférieur à 3,5 tonnes), le contrôle technique est moins strict et à effectuer tous les 5 ans. On peut aussi bénéficier de plaques d’immatriculation d’époque et principalement, les véhicules sont autorisés à rouler sur tous les ZFE.

Les voitures de collection sont une passion pour de nombreux passionnés d’automobile et la satisfaction qu’ils en retirent est indéniable. Elles sont un moyen de connecter les générations et de se rappeler le passé. Certains véhicules de collection sont considérés comme des placements financiers. Les voitures de collection sont un excellent moyen de profiter de l’histoire et de la technologie de l’automobile et de partager une passion commune.

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Pratique Auto

Quand faut-il changer votre courroie de distribution ?

La courroie de distribution est une pièce capitale du moteur d’une voiture. Composée généralement en caoutchouc, elle est en mouvement constant et joue un rôle essentiel dans le fonctionnement du véhicule, elle permet la liaison entre ses composants.

Quand faut-il changer le kit de distribution ?

La durabilité moyenne d’une courroie de distribution d’un véhicule est estimée à des dizaines de milliers de kilomètres. Les recommandations du constructeur pour le changement de courroie varient selon le véhicule et peuvent être exprimées tant en kilomètres qu’en années. Les propriétaires de véhicules à essence devraient changer leur courroie tous les 100 000 kilomètres, alors que les véhicules diesel peuvent aller jusqu’à 200 000 kilomètres. En termes de temps, il est recommandé de procéder au remplacement de la courroie de distribution tous les 10 ans pour les propriétaires qui roulent beaucoup et tous les 15 ans pour les autres.

Les signes d’usure de votre courroie de distribution

Il faut toujours veiller à ce que la courroie de son véhicule ne soit pas usée car, dans le cas contraire, elle risque de casser et de causer des dommages coûteux au moteur. Cependant, si l’on roule beaucoup, l’usure peut se produire plus rapidement et se manifester par des bruits inhabituels (grincements). Il est alors conseillé de vérifier visuellement la courroie et de remplacer celle-ci si des déchirures sont visibles. Si le véhicule vibre de manière inhabituelle et que des bruits métalliques se font entendre, c’est probablement que la courroie a déjà lâché : il faut donc s’arrêter immédiatement pour éviter d’aggraver la situation.

La courroie de distribution est un composant essentiel et très important qui permet à votre voiture de fonctionner correctement. Elle transfère la puissance du moteur aux autres composants importants pour le bon fonctionnement de votre véhicule. Il est important de faire inspecter régulièrement la courroie de distribution et de la remplacer si nécessaire pour éviter tout dégât. Une vérification régulière de cet élément vous garantit un bon fonctionnement de votre véhicule.

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Le futur de l’automobile

Qu’est-ce qui attend les automobilistes pour 2023 ?

Nouvelle année rime souvent avec nouveaux projets ! Cet adage concerne tous les automobilistes. ZFE, bornes de recharges, véhicules électriques…
Aujourd’hui, sur le mag Tressol-Chabrier, on fait le point sur les nouveautés de la rentrée de cette nouvelle année 2023.

Une nouvelle prime de 7 000€ pour les électromobilistes

Emmanuel Macron a annoncé que le bonus pour l’achat d’un véhicule électrique serait renforcé pour la moitié des ménages, passant de 6 000 à 7 000 €. La distinction devrait se faire, comme pour la prime à la casse, avec les 7 000 € accordés aux ménages dont le revenu fiscal de référence par part est inférieur ou égal à 14 100 €. La limite du prix du véhicule pour profiter du bonus maximal devrait rester à 47 000 € ou être réduite.

Le gouvernement a mis en place des conditions pour le bonus automobile qui seront applicables à partir du 1er janvier 2023. Cela implique une baisse de l’aide accordée pour certains véhicules. Par exemple, le bonus de 7 000 € pourrait chuter à 5 000 € et l’aide de 2 000 € pour les véhicules de plus de 47 000 € à 1 000 €. De plus, le bonus sur les hybrides rechargeables pourrait être supprimé.

La voiture électrique à 100€ par mois

La promesse de campagne d’Emmanuel Macron de proposer aux personnes dont les revenus sont plus modestes une voiture électrique à 100 € par mois a été reportée. En effet, étant donné la difficulté à mettre en place cette mesure sans apport. Une négociation entre les constructeurs, les banques et l’État a été engagée. Le dispositif devrait être lancé au cours de l’année 2023.

Véhicules hybrides : hausse du malus

Le 1er janvier 2023, le seuil de déclenchement du malus pour les véhicules immatriculés à cette date sera abaissé à 123 g/km de CO2. Certains modèles, qui étaient auparavant exempts de malus, seront désormais soumis à cette pénalité, et ceux qui sont déjà sujets à cette taxe connaîtront une augmentation de leurs montants. Les véhicules électriques et hybrides rechargeables, quant à eux, seront épargnés. Cependant, certaines voitures hybrides simples, notamment les SUV familiaux, seront concernées. Le malus au poids, lui, ne bougera pas et ne s’appliquera pas à ces véhicules.

Hausse de la prime à la casse

À compter de 2023, ceux qui habitent ou travaillent dans une Zone à Faibles Émissions (ZFE) bénéficieront d’une prime à la casse supplémentaire de 1 000 €, sans condition de versement supplémentaire par la collectivité locale.

Habitants d’une ZFE : prêt à taux zéro

Un prêt à taux zéro sera expérimenté afin de soutenir les ménages qui habitent ou travaillent en ZFE. Il les aidera à payer ce qui reste à charge après la déduction du bonus ou de la prime à la casse. Les ménages qui ont un revenu fiscal de référence par part jusqu’à 14 000 € pourront solliciter ce prêt d’un montant maximum de 30 000 €, remboursable sur 7 ans. Il sera également disponible pour des véhicules jusqu’à 50 g/km de CO2 et d’un prix d’achat ne dépassant pas les 45 000 €. Dans le cas d’un contrat de location, le prêt sera de 10 000 €.

ZFE : mise en place de nouvelles règles

À partir du 1er janvier 2023, Strasbourg, Montpellier, Lyon, Toulouse et Reims imposeront des restrictions supplémentaires à leurs ZFE. Les véhicules Crit’Air 5 et non classés seront interdits à Strasbourg et Montpellier après un an de pédagogie, alors que Lyon commencera à verbaliser à partir de cette date. Toulouse bannira les Crit’Air 4, 5 et non classés, et Reims interdira les Crit’Air 4.

Des bornes de recharges sur toutes les aires d’autoroute

Le 1er janvier 2023, les aires d’autoroutes seront tenues par décret d’avoir installé sur chaque aire de service (avec station essence) au moins quatre bornes de recharge, en particulier pour favoriser la recharge rapide. Bien que le calendrier ne soit pas respecté en 2022, avec l’augmentation du nombre de bornes, les sociétés visent à atteindre cet objectif en 2023. La prise de conscience du marché de la voiture électrique et d’une demande croissante en bornes a poussé Vinci à promettre 7 à 8 bornes par aire.

Installation de 100 000 bornes publiques supplémentaires

Le gouvernement a instauré une aide financière pour permettre l’implantation de bornes de recharge rapides dans des zones rurales. Au 31 octobre, 75 000 points de recharge étaient accessibles au grand public, alors qu’à la fin de l’année 2021, il n’y en avait que 54 000. Si le rythme de construction de bornes se maintient, nous devrions atteindre le cap des 100 000 bornes à mi-2023. Le réseau de bornes de recharge se développe constamment, que ce soit sur la voirie, les parkings des magasins ou devant les stations-service.

Carburant : fin de la remise

L’État va supprimer les remises à la pompe pour l’E85, comme c’est le cas pour les autres carburants. Le prix du litre pourrait augmenter jusqu’à 1 € le 1er janvier. Cependant, cela restera moins cher que le sans-plomb ! Des aides seront versées aux travailleurs utilisant leur voiture pour se rendre au travail avec un montant plafonné des revenus. Pour découvrir les nouvelles aides carburant du gouvernement, nous vous invitons à lire cet article : « Indemnités carburants, en 2023 les règles changent« .

Covoiturage : attribution de nouvelles aides

Comme évoqué dans l’un de nos précédents articles, début octobre, le gouvernement a annoncé qu’il travaillait sur une aide pour stimuler le covoiturage, sous forme d’un bonus aux nouveaux utilisateurs. Il n’y a pas encore eu d’informations précises à ce sujet, mais il est estimé que cette initiative sera mise en place pour début 2023.

Voies réservées au covoiturage : mise en place de nouveaux radars

Les métropoles se dotent davantage de voies réservées au covoiturage sur les grands axes menant au centre-ville, pour lesquelles des radars sont mis à l’essai afin de garantir le respect de la règle. Ainsi, les usagers qui s’y aventurent sans passager pourraient être verbalisés automatiquement. Le radar, quant à lui, est capable de détecter le nombre de personnes présentes à l’intérieur du véhicule grâce à la température corporelle.

Péage : hausse des prix

Les tarifs des péages sont régulièrement mis à jour le 1er février. On s’attend à ce qu’ils soient considérablement plus chers en 2023, en raison de l’inflation dont les entreprises d’autoroutes peuvent appliquer 70 %. Le gouvernement tente de négocier pour réduire la hausse, mais la progression des prix pourrait être d’environ 5 %.

Vignette d’assurance : au-revoir !

À compter de 2023, il ne sera plus nécessaire d’afficher la petite vignette verte sur le pare-brise de votre voiture, ce qui était obligatoire depuis 1986. En effet, les forces de l’ordre ayant désormais accès à un fichier des véhicules assurés, cette vignette n’est plus utile. La suppression de cette obligation permettra d’économiser du papier.

Pièces détachées : des nouveautés

En janvier 2023, les constructeurs ne pourront plus monopoliser le marché des pièces détachées, du moins en ce qui concerne les éléments visibles (optiques, carrosserie, rétros). L’équipementier qui a fabriqué la pièce d’origine aura alors le droit de vendre directement ces pièces. En ce qui concerne le vitrage, la concurrence sera totale. L’objectif est de faire baisser les prix des réparations automobiles.

2023 est l’année de nouveaux projets pour tous les automobilistes mais également pour le gouvernement français en matière de politique automobile. Entre nouvelles technologies et nouvelles pratiques, ce sont des nouvelles règles qui viendront changer le quotidien de nombreux Français qui empruntent la route quotidiennement !

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Pratique Auto

Quelle est l’astuce secrète pour économiser du carburant ?

Dans ces temps où les prix du carburant ne cessent d’augmenter, la réalisation d’économie est toujours bonne à prendre. L’utilisation d’un bouton de votre tableau de bord vous permettra de réduire légèrement votre consommation de carburant. Connaissez-vous cette astuce ? La ristourne carburant prévue jusqu’au 31 décembre 2022 aide les consommateurs français, mais le coût de l’essence reste une importante charge pour la plupart des ménages.

L’astuce secrète pour réaliser des économies de carburant

La ristourne carburant prévue jusqu’au 31 décembre 2022 aide les consommateurs français, mais le coût de l’essence reste une importante charge pour la plupart des ménages. Aujourd’hui, sur notre blog, nous vous proposons de découvrir une astuce simple pour réaliser des économies de carburant.

Activer le bouton de recyclage de l’air, une astuce pour économiser du carburant

En appuyant sur le bouton de recyclage du tableau de bord, représenté par une voiture avec une flèche à l’intérieur, vous permet de réduire votre consommation de carburant. Ce bouton, disponible sur tous les véhicules, active le recyclage de l’air et empêche l’air extérieur d’entrer. En plus d’être une précaution en cas de pollution, ce bouton est également utile pour réduire la consommation d’essence.

Le recyclage de la climatisation consomme moins d’énergie que le fonctionnement classique, réduisant ainsi la quantité d’essence ou de diesel nécessaire pour actionner le véhicule et diminuant la facture d’essence.

Il est important d’utiliser le carburant de manière responsable et réfléchie afin de contribuer à la préservation des ressources en carburant et à la protection de l’environnement. Il existe de nombreuses façons d’économiser le carburant, notamment en entretenant régulièrement votre véhicule et en conduisant avec une conduite plus économique.

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Pratique Auto

Retirer le givre de son pare-brise : découvrez nos recettes maison

Lorsque les températures tombent, monter dans sa voiture peut s’avérer compliqué, surtout lorsqu’il faut dégivrer le pare-brise. Heureusement, il existe des moyens simples pour s’en sortir. Voici quelques astuces pour vous aider.

Attention au givre sur votre voiture !

Avant de mettre le moteur en marche, il est impératif de dégivrer le pare-brise. En effet, le givre peut vous rendre la conduite difficile et vous faire sanctionner par une amende. Veillez donc à bien dégivrer votre véhicule avant de partir.

Éviter les produits chimiques de grandes surfaces

Il peut être tentant de recourir à l’utilisation de produits vendus en grande surface pour se débarrasser rapidement du givre. Toutefois, ce n’est pas la meilleure solution puisqu’elle est onéreuse, utilise des produits chimiques et crée des déchets. Afin de protéger votre portefeuille et l’environnement, évitez cette option et optez pour une autre méthode.

Pour retirer le givre, des recettes Do It Yourself

Pour créer votre propre liquide dégivrant, voici un recette simple à faire chez soi avec uniquement 2 ingrédients :

Mélangez eau et vinaigre, eau et alcool ou eau et sel.

Puis vaporiser le produit fini sur votre pare-brise gelé et vous n’aurez plus qu’à attendre le résultat.

Ne versez pas d’eau chaude sur le pare-brise !

L’utilisation de l’eau chaude pour dégivrer le pare-brise est une solution rapide, mais à éviter. En effet, ce geste peut causer un choc thermique et, par conséquent, endommager la vitre. Il existe des méthodes plus sécuritaires pour se débarrasser de la glace, qui sont à privilégier.

4 solutions pour éviter le givre

Il est préférable de ne pas avoir à dégivrer. Heureusement, il existe plusieurs moyens de prévenir ce problème :

  • Laisser votre voiture dans un endroit couvert.
  • Mettre un carton ou une bâche sur votre pare-brise.
  • Pulvériser une fois par mois de l’eau et du vinaigre blanc sur le pare-brise.
  • Passer tous les jours un chiffon avec de l’alcool à 90 °C

En hiver, le givre peut être un problème majeur pour les conducteurs. Il est important de prendre des mesures pour se protéger contre le givre, notamment en nettoyant et en dégivrant régulièrement votre voiture. De plus, en veillant à maintenir une bonne visibilité et en respectant les règles de sécurité routière, vous pouvez éviter les accidents et les dommages causés par le givre.

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Anecdote Automobile

Avec Waze, laissez-vous guider par le père Noël sur la route des fêtes

Les vacances de fin d’année étant presque là, Waze se prépare à fêter Noël ! L’application a dévoilé une mise à jour avec plusieurs nouveautés, dont la voix du Père Noël. Oui, lui-même !

Sur Waze, c’est le Père Noël qui vous guide !

Pour célébrer la fin d’année de la meilleure des manières, la célèbre application de navigation Waze s’est mise aux couleurs de Noël ! Avec cette application d’aide à la conduite, vous pourrez profiter d’une voix joviale et décalée pendant vos vacances : celle du père Noël. Alors si vous avez besoin d’un GPS pour votre voyage, Waze est fait pour vous !

Ainsi, vous avez plusieurs possibilités. Vous pouvez personnaliser votre application avec des icônes représentant un traîneau du Père Noël afin de donner un air festif avant de fêter Noël. De plus, vous pouvez modifier l’humeur de votre profil selon votre choix entre « Père Noël », « Vilain(e) » ou « Gentil (le) ».

Le Père Noël sur la route pense à tout !

Le Père Noël est là pour vous guider par des indications sonores. Vous pourrez entendre, par exemple, « Prochain arrêt : le pôle nord » ou « un rêne égaré, peut-être » lorsque vous serez confrontés à un danger. Il peut également vous suggérer, sûrement un peu agaçant à la longue, de chanter des chants de Noël lors des bouchons.

Avant de commencer le voyage, l’application vous fera une liste de contrôle : ceinture de sécurité, clochettes, bonne humeur et chants de Noël. Une fois tout ceci vérifié, vous pourrez partir.

Comment activer la fonctionnalité ?

Pour accéder à cette fonction, il suffit de suivre quelques étapes simples. Commencez par ouvrir l’application, puis cliquez sur « Mon Waze » situé en bas à gauche de l’écran d’accueil.

Un menu défilant apparaît. Il contient le menu « Conduisez avec le Père Noël ». En cliquant sur ce menu, une porte s’ouvrira vers un autre menu.

Une fois la page ouverte, il suffit de choisir les humeurs, de mettre en marche le traîneau de Père Noël et d’entendre sa voix. Joyeuses fêtes !

N’oubliez pas pendant cette période que les routes sont plus souvent fréquentées et que vous devez rester prudents, la voix du père Noël vous permettra de vous détendre durant vos voyages. Et en attendant, nous vous souhaitons de belles fêtes de fin d’année.

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Innovation & Technologie Automobile

Batterie de véhicule électrique et recyclage, où en sommes-nous ?

Les batteries jouant un rôle de plus en plus important dans nos vies quotidiennes (téléphones portables, ordinateurs, voitures électriques, etc.). Le Conseil et le Parlement européen ont donc établi une feuille de route commune pour encadrer leur utilisation tout au long de leur cycle de vie. Ce projet de règlement, validé en 2020, impose des normes à tous les fabricants, européens ou non, concernant la production et le recyclage. Une adoption formelle de ces règles est encore à venir.

Des informations plus claires sur les batteries

À compter du 1er janvier 2024, les fabricants devront faire état de l’empreinte carbone des batteries qu’ils commercialisent sur le sol européen. Cette déclaration tiendra compte de l’ensemble du processus, depuis l’extraction minière jusqu’au recyclage. Ces données serviront d’abord à informer les consommateurs, avant d’être utilisées en 2027 pour établir un plafond carbone et exclure du marché européen les batteries les plus polluantes. Un système d’étiquetage par QR-Code détaillant leur capacité, leur performance, leur durabilité et leur composition chimique sera également mis en place afin d’accroître l’information des acheteurs.

Le recyclage des batteries de véhicule électrique sera facilité

Les taux de collecte seront augmentés, passant de 45 % pour les appareils portables à 63 % en 2027 et 73 % en 2030. De nouvelles exigences en matière de recyclage sont par ailleurs prévues, avec des seuils minimaux de 90 % pour le cobalt et le nickel et de 50 % pour le lithium, à atteindre respectivement en 2027 et en 2031. Enfin, afin de construire de nouvelles batteries, un pourcentage minimum de cobalt (16 %), plomb (85 %), lithium (6 %) et nickel (6 %) devra être réutilisé.

Une seconde vie pour les batteries de véhicule

Le règlement européen prévoit l’adoption de règles spécifiques afin de stimuler la réutilisation des batteries embarquées à bord des voitures électriques dans des domaines tels que le stockage stationnaire avant leur recyclage final.

Le député Européen, Achille VARIATI le déclare : « Pour la première fois, nous avons une législation sur l’économie circulaire qui couvre l’ensemble du cycle de vie d’un produit – cette approche est bonne à la fois pour l’environnement et l’économie. Nous nous sommes mis d’accord sur des mesures qui profitent grandement aux consommateurs : les batteries seront plus performantes, plus sûres et plus faciles à retirer. Notre objectif global est de construire une industrie européenne du recyclage plus forte, notamment pour le lithium, et un secteur industriel compétitif dans son ensemble, ce qui est crucial dans les décennies à venir pour la transition énergétique et l’autonomie stratégique de notre continent. Ces mesures pourraient devenir une référence pour l’ensemble du marché mondial des batteries. »

L’avenir du recyclage des batteries des véhicules électriques est prometteur. Les technologies actuelles et à venir permettront d’améliorer le recyclage de manière durable et efficace, tout en réduisant les déchets et en protégeant nos ressources naturelles. De plus, les avancées technologiques et le développement des solutions de recyclage permettront à l’industrie automobile de passer à des batteries plus durable et plus respectueuses de l’environnement. Avec l’augmentation de la demande pour des véhicules électriques, le recyclage des batteries deviendra un élément essentiel de la transition vers une société alliant automobile et durabilité.

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Le futur de l’automobile

Un plan d’aide au covoiturage lancé par le gouvernement

Le gouvernement a annoncé un plan “ambitieux” pour encourager un nouveau type de mobilité en France : le covoiturage. Ce plan d’aide inclut une prime de 100 € offerts aux nouveaux conducteurs. Son objectif est de dynamiser la pratique du covoiturage notamment sur les trajets courts.

Le plan devrait prendre effet le 1er janvier 2023 et s’étendre sur 5 ans, jusqu’en 2027. Des membres du gouvernement ont expliqué en détail les aides destinées au covoiturage.

Quels sont les objectifs du gouvernement français pour le covoiturage ?

Le gouvernement souhaite tripler le nombre de trajets quotidiens en covoiturage à 3 millions d’ici à 2027, ce qui contribuera à réduire de 4,5 millions de tonnes les émissions de CO2 et offrira une économie de 2 000 euros par an aux personnes qui l’utilisent. Pour atteindre cet objectif, 14 mesures ont été mises en place et un financement de 150 millions d’euros est attendu.

Une prime de 100€ pour les covoitureurs les plus assidus

L’État s’engage à soutenir le covoiturage en contribuant à hauteur de 1 euro pour chaque euro versé par une collectivité à un covoitureur. Par ailleurs, des infrastructures adaptées seront construites pour faciliter cette pratique. Par exemple, des aires de covoiturage ou encore des voies de circulation dédiées à cette mobilité, comme à Paris pour les jeux olympiques.

Un bonus de 1000€ sera offert aux nouveaux conducteurs qui partageront leurs véhicules sur une plateforme de covoiturage et auront effectué leur 10ᵉ trajet. Pour en savoir plus sur cette prime, nous vous invitons à vous rendre sur le site du gouvernement ici.

D’autres mesures pour encourager le covoiturage sont envisagées

D’autres mesures pour soutenir le covoiturage, pour le moment pas encore détaillées, vont bientôt voir le jour. Elles comprendront la création d’un site web national (covoiturage.ecologie.gouv.fr) qui fournirait aux utilisateurs les politiques tarifaires des collectivités et des autorités organisa­trices de la mobilité. De plus, une instance sera mise en place pour structurer l’écosystème du covoiturage.


Le covoiturage est une pratique de plus en plus courante qui présente de nombreux avantages pour les utilisateurs. Il est non seulement pratique et économique, mais il est également plus respectueux de l’environnement. Le covoiturage est une solution pratique, bonne pour la planète et économique. Avec ce plan d’aide développé par le gouvernement français, cette pratique a encore de beaux jours devant elle.

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Innovation & Technologie Automobile

A quoi sert une pompe à chaleur sur une voiture électrique ?

Les pompes à chaleur sur les véhicules sont courantes et elles sont reconnues comme étant essentielles pour les saisons froides. Cependant, elles ne sont pas toujours installées d’origine. Mais quelle est leur fonction exacte ? Explications.

Le chauffage, un indispensable quel que soit le type de véhicule

À partir du mois d’octobre jusqu’à mars, l’utilisation du chauffage dans une voiture thermique est une réaction instinctive. Néanmoins, une voiture électrique ne peut pas obtenir la même quantité de chaleur naturellement et a donc besoin d’une source supplémentaire de calories. Deux technologies sont alors disponibles : une moins chère, qui fonctionne comme un sèche-cheveux avec une résistance. Elle est rapide pour chauffer l’habitacle, mais gourmande en énergie. Un autre et une plus coûteuse, mais moins gourmande en énergie : la pompe à chaleur.

Qu’est-ce que la pompe à chaleur ?

Une pompe à chaleur au sein d’une automobile est similaire à celles qui chauffent nos maisons et sont appelées « clim réversible ». Son fonctionnement est semblable à celui d’une climatisation, mais elle offre en plus la possibilité de récupérer la chaleur produite pendant une des phases de fonctionnement. Un compresseur comprime un gaz, ce qui provoque une hausse de température, comme quand on gonfle les pneus d’un vélo. L’échangeur de température récupère cette chaleur et la diffuse dans l’habitacle.

Chaud ou froid, comment la pompe à chaleur fonctionne-t-elle ?

En été, une pompe à chaleur permet de refroidir l’habitacle en dissipant la chaleur à l’extérieur par l’intermédiaire d’un détendeur. Le gaz qui en résulte est refroidi fortement grâce à un échangeur de température avant d’être envoyé aux aérateurs. En cas de forte sollicitation ou de recharge rapide, cette même pompe à chaleur peut produire du chaud et du froid, ce qui permet de chauffer l’habitacle et de refroidir la batterie simultanément.

Quelles sont les limites de la pompe à chaleur ?

L’efficacité d’une pompe à chaleur est liée à la température extérieure et elle n’est pas aussi performante quand il fait très froid. De plus, elle met un peu plus de temps à chauffer qu’une résistance, ce qui explique pourquoi certains véhicules la combinent à une résistance pour permettre aux passagers de se sentir confortables rapidement par grand froid.

Pompe à chaleur VS résistance, quel est le gain en terme d’autonomie ?

Une pompe à chaleur est bien plus économique en énergie que la résistance. Elle peut produire la même quantité de chaleur en consommant seulement 1 kW environ, ce qui est bien plus avantageux pour l’autonomie d’une voiture électrique l’hiver. L’utilisation d’une telle pompe à chaleur peut vous faire gagner jusqu’à 40 km supplémentaires d’autonomie par rapport à l’utilisation sans. Sans cette pompe à chaleur, la perte d’autonomie peut atteindre les 30 à 40 %.

La pompe à chaleur, un agrément proposé sur tous les modèles de véhicule ?

Une pompe à chaleur est un atout important pour votre voiture électrique en hiver. Malheureusement, elle n’est pas disponible de série sur tous les modèles. Les Françaises, telles que Renault, Zoé, Mégane E-Tech, Peugeot e-208 et e-2008 et Citroën e-C4, en proposent par contre, mais pas toujours pour les marques allemandes, où elle peut coûter plus de 1000 €. Il est donc nécessaire de réfléchir à l’investissement selon la région où vous habitez et le type de trajet que vous faites. Si l’hiver est rude et que vous êtes régulièrement sûr des routes secondaires, alors cette technologie est un plus pour préserver votre autonomie.

Chauffage de votre véhicule, des réflexes à l’impact négatif sur la batterie

Pour un confort thermique optimal sans trop affecter la batterie, activez les chauffages du volant et des sièges. Ces appareils consomment très peu d’énergie (environ 100 watts). Programmez le chauffage d’habitacle pendant que votre véhicule se recharge sur une prise pour alléger la charge sur la batterie.

Les pompes à chaleur sont un excellent moyen de chauffer et de rafraîchir les véhicules électriques. Non seulement elles sont écologiques, mais elles offrent également une meilleure efficacité et une plus grande autonomie de la batterie. Les pompes à chaleur sont donc une excellente solution pour chauffer efficacement les électromobilistes.