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Citroën et les maires de France : Ensemble pour une mobilité inclusive des jeunes

Dans une France où les défis de la mobilité sont bien différents selon que l’on vive en ville ou à la campagne, les jeunes des zones rurales font face à une double contrainte : l’éloignement géographique et le manque d’infrastructures de transport. Pour répondre à cet enjeu fondamental d’égalité des chances, Citroën et l’Association des Maires Ruraux de France (AMRF) ont décidé d’unir leurs forces autour d’un objectif commun : permettre aux jeunes ruraux de se déplacer plus facilement pour accéder à l’emploi, à la formation ou à d’autres activités essentielles à leur insertion sociale et professionnelle.

C’est dans ce contexte qu’est né le programme “Pass Mobilité”, une initiative concrète et innovante, expérimentée pour la première fois dans la commune de Chenevelles (Vienne). Portée par un partenariat public-privé, cette solution place l’inclusion, la solidarité locale et l’écoresponsabilité au cœur de sa démarche. Explorons ensemble les fondements, le fonctionnement et les perspectives de cette initiative.

1: La mobilité des jeunes ruraux : un enjeu social majeur

En France, plus de 22 millions de citoyens vivent en zone rurale, soit un tiers de la population. Parmi eux, des milliers de jeunes peinent chaque jour à se rendre sur leur lieu de travail, à un rendez-vous de formation, voire à un simple entretien d’embauche. Contrairement aux centres urbains bien desservis, les territoires ruraux souffrent d’un manque structurel de transports en commun.

Le frein de la distance et de l’isolement

Les communes rurales sont souvent éloignées des bassins d’emploi et des établissements scolaires ou universitaires. Les arrêts de bus, quand ils existent, sont rares, peu fréquents, et desservent difficilement des horaires compatibles avec les emplois précaires ou en horaires décalés. Résultat : l’absence de solution de mobilité devient un véritable facteur d’exclusion.

Pour les jeunes de 18 à 25 ans, souvent en début de parcours professionnel, sans permis ou sans véhicule, cette situation crée un cercle vicieux : pas de mobilité, pas d’emploi ; pas d’emploi, pas de revenus pour acquérir un véhicule ou financer le permis. Dans les faits, la ruralité est l’un des premiers freins à l’insertion socioprofessionnelle des jeunes.

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Les élus locaux en première ligne

Face à cette réalité, de nombreux élus ruraux tirent la sonnette d’alarme depuis des années. Pour Cyril Cibert, maire de Chenevelles et président de l’Association des maires ruraux de la Vienne, « à la campagne, c’est la double peine : pas de transport, et des employeurs qui peinent à recruter car les jeunes ne peuvent pas se déplacer. » Les communes se retrouvent alors à devoir chercher des solutions locales, souvent avec peu de moyens et dans un cadre juridique ou financier contraint.

C’est pour répondre à cette urgence sociale que l’AMRF et Citroën ont imaginé une solution concrète, économique et duplicable : mettre à disposition des véhicules adaptés et accessibles pour les jeunes, tout en mobilisant les ressources locales.

2 : Le “Pass Mobilité” : une solution citoyenne, locale et innovante

Une expérimentation à taille humaine : Chenevelles, village pionnier

C’est dans la petite commune de Chenevelles, située dans la Vienne, que le programme “Pass Mobilité” a été lancé en mars 2025, en présence de la ministre de la Ruralité Françoise Gatel. Ce projet repose sur un dispositif original : les jeunes peuvent bénéficier d’un véhicule Citroën Ami, à condition de s’engager en retour à réaliser des heures de bénévolat pour leur commune.

Ce principe d’échange citoyen (“un service rendu pour un service offert”) replace la solidarité au cœur de la démarche. Le jeune, en contrepartie de la mise à disposition gratuite d’un véhicule pour se rendre à un rendez-vous professionnel, consacre quelques heures à aider la commune : entretien d’espaces verts, aide aux personnes âgées, soutien logistique lors d’un événement… L’idée est simple, mais puissante : recréer du lien entre les jeunes et leur territoire.

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Un outil technologique au service du projet

Pour gérer la disponibilité des véhicules et suivre les engagements de chacun, une application mobile a été conçue par une start-up locale. Les jeunes peuvent y réserver un créneau d’utilisation, préciser leur besoin (entretien, formation, rendez-vous d’embauche), et suivre le nombre d’heures qu’ils doivent en retour à la collectivité.

La mairie valide ensuite chaque demande, assurant un usage responsable et équitable du dispositif. Cette plateforme numérique permet également de mesurer l’impact du programme en temps réel : nombre de trajets réalisés, types d’activités concernées, satisfaction des utilisateurs…

Le rôle central de la Citroën Ami

Au cœur du programme, on retrouve un véhicule pas comme les autres : la Citroën Ami, petite voiture 100 % électrique, accessible dès 14 ans avec un simple permis AM. Silencieuse, économique, sans émission de CO₂, compacte et rechargeable sur une simple prise domestique, elle représente la solution idéale pour les petits trajets quotidiens en zone rurale.

Son autonomie (jusqu’à 75 km) est largement suffisante pour les déplacements professionnels de courte ou moyenne distance. De plus, son coût d’achat abordable et ses frais d’entretien réduits en font un véhicule particulièrement attractif pour les collectivités locales. Plusieurs exemplaires ont ainsi été financés par les fonds verts de l’État, dans le cadre du soutien à la mobilité inclusive en territoire rural.

3 : Une ambition nationale pour une mobilité solidaire

Une volonté de déploiement à l’échelle nationale

Fort du succès de l’expérimentation de Chenevelles, le partenariat entre Citroën et l’AMRF vise désormais à s’étendre à d’autres communes rurales françaises. Cette ambition sera formalisée lors du congrès national des maires ruraux, prévu à Villefranche-sur-Saône du 26 au 28 septembre 2025, avec la signature officielle d’un accord-cadre entre les deux partenaires.

Cet accord prévoit de mettre à disposition un kit clé en main pour les communes volontaires : guide pratique, aide à la recherche de financements publics, accompagnement technique, formation des élus et outils numériques. L’objectif est de développer un maillage national d’initiatives locales, adaptées à chaque territoire.

Le soutien de l’État et des institutions

Le ministère de la Transition écologique, à travers les fonds verts, soutient activement ce type d’initiative. Ces subventions permettent aux mairies rurales d’acquérir plusieurs Citroën Ami à un coût réduit, en intégrant le dispositif dans une démarche globale de transition écologique et sociale.

Par ailleurs, certaines régions et départements ont déjà manifesté leur intérêt pour financer ou cofinancer des projets similaires, notamment dans les zones classées “zones blanches de mobilité”, identifiées comme prioritaires dans les politiques d’égalité territoriale.

Vers un modèle reproductible et durable

Le “Pass Mobilité” repose sur un triptyque vertueux : mobilité, insertion, citoyenneté. Il répond à un besoin immédiat tout en s’inscrivant dans une logique de cohésion territoriale, en redonnant de l’autonomie aux jeunes et en recréant du lien intergénérationnel.

C’est aussi un modèle durable, tant sur le plan environnemental (grâce à la mobilité électrique) que social (grâce à l’engagement réciproque entre jeunes et collectivités). Le projet pourrait même s’ouvrir à d’autres publics fragiles à terme : seniors isolés, demandeurs d’emploi, apprentis…

Face à l’urgence de la fracture territoriale et de l’inégalité d’accès à la mobilité, le programme “Pass Mobilité” incarne une réponse concrète, locale et innovante. En associant une entreprise engagée comme Citroën, des élus de terrain conscients des réalités quotidiennes, et des jeunes désireux de s’investir dans leur territoire, cette initiative crée une dynamique vertueuse qui profite à tous.

Ce partenariat ouvre une voie vers une mobilité plus solidaire, plus verte et plus inclusive, en phase avec les défis sociaux et environnementaux de notre époque. Il prouve qu’avec un peu d’ingéniosité, de bonne volonté et d’engagement collectif, il est possible de réinventer la mobilité pour tous, même loin des grandes villes.

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Kia : Une pluie de nouveautés pour 2025

Kia s’apprête à marquer l’année 2025 avec une série d’annonces majeures qui confirment sa volonté de renforcer sa présence sur le marché automobile. Le constructeur sud-coréen mise sur l’innovation, l’électrification et le renouvellement de ses modèles phares pour séduire un public toujours plus exigeant.

L’année 2024 a été marquée par une croissance mitigée, mais Kia ne compte pas en rester là. Au programme pour 2025 : l’arrivée de la berline électrique EV4, le restylage des SUV Sportage et Stonic, l’introduction du PV5, un premier utilitaire signé Kia, ainsi qu’un concept annonçant un futur SUV électrique urbain, l’EV2.

I. Kia EV4 : une berline électrique ambitieuse

Une réponse à la demande croissante de berlines électriques

Le segment des berlines électriques compactes connaît un essor considérable en Europe. Kia, déjà bien implanté sur le marché de l’électromobilité avec des modèles comme l’EV6 et l’EV9, entend bien élargir son offre en lançant l’EV4, une berline électrique du segment C qui viendra concurrencer la Renault Mégane E-Tech et la Volkswagen ID.3.

Avec 4,43 mètres de long, l’EV4 proposera une alternative séduisante à ces modèles, combinant design moderne, technologie avancée et autonomie optimisée.

Deux versions de batteries pour s’adapter aux besoins

L’EV4 sera disponible avec deux configurations de batteries :

  • 58,3 kWh, offrant une autonomie homologuée de 410 km.
  • 81,4 kWh, permettant d’atteindre 590 km d’autonomie.

À noter qu’une version quatre places, légèrement plus longue (4,73 mètres), offrira une meilleure efficacité aérodynamique et donc une autonomie améliorée (430 km et 630 km selon la batterie). Toutefois, cette déclinaison ne sera pas éligible au bonus écologique en France, car elle sera produite en Corée du Sud, contrairement à la version standard assemblée en Slovaquie.

Une plateforme E-GMP optimisée pour l’efficacité

L’EV4 reposera sur la plateforme E-GMP, déjà utilisée par les EV6 et EV9, garantissant une excellente gestion de l’énergie et des performances dynamiques.

Elle disposera d’un moteur électrique de 150 kW (204 ch) et d’une architecture 400 V, permettant une recharge rapide de 10 à 80 % en seulement 30 minutes.

En matière de connectivité, l’EV4 bénéficiera d’un écran panoramique 30 pouces, intégrant un système d’infodivertissement dernière génération. L’intérieur sera pensé pour offrir un maximum d’espace et de confort, avec un plancher plat et un volume de coffre de 435 litres.

Kia ambitionne d’immatriculer entre 3 000 et 4 000 exemplaires de l’EV4 en France dès son lancement au second semestre 2025.

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II. Restylage des modèles phares : Sportage et Stonic

Kia Sportage : une mise à jour attendue

Le Kia Sportage, SUV compact populaire en Europe, bénéficiera d’un restylage en 2025. L’objectif est de moderniser son design et d’intégrer des équipements technologiques améliorés afin de rester compétitif face aux nouveaux entrants sur le marché.

Parmi les améliorations attendues :

  • Nouveau design de calandre et phares LED affinés.
  • Mise à jour du système d’infodivertissement.
  • Amélioration des aides à la conduite et des motorisations électrifiées.

Kia Stonic : un lifting inspiré de la Picanto

Le Kia Stonic, SUV urbain compact, profitera également d’un restylage plus profond. Inspiré du nouveau design de la Kia Picanto, il affichera des lignes plus modernes et dynamiques.

Ce modèle, prisé pour son agilité et sa consommation réduite, devrait continuer à séduire une clientèle urbaine cherchant un SUV compact abordable et efficace.

III. PV5 : l’entrée de Kia sur le marché des utilitaires électriques

Une ambition nouvelle pour Kia

Jusqu’ici peu présent sur le segment des utilitaires, Kia se lance dans ce marché en pleine mutation avec le PV5, un utilitaire 100 % électrique conçu pour rivaliser avec des modèles comme le Renault Kangoo E-Tech ou le Volkswagen ID. Buzz Cargo.

Un positionnement stratégique entre le segment C et D

Le PV5 se positionnera entre le segment C et D, offrant une alternative modulable aux professionnels et aux entreprises ayant besoin d’un véhicule de transport électrique polyvalent.

Son lancement est prévu pour novembre 2025, marquant une étape importante pour Kia dans le secteur des véhicules professionnels.

IV. Concept EV2 : un futur SUV urbain électrique en préparation

Un nouveau venu dans la gamme électrique Kia

Lors de la présentation de ses nouveautés, Kia a dévoilé un concept inédit : l’EV2. Ce modèle préfigure un futur SUV urbain électrique, qui viendra compléter la gamme aux côtés des EV3 et EV4.

Avec une longueur de 4,00 mètres, il se positionnera sur le segment B, offrant une alternative électrique accessible et pensée pour les trajets urbains.

Une arrivée prévue début 2026

L’EV2 devrait voir le jour au premier semestre 2026 et pourrait séduire une clientèle cherchant une voiture électrique compacte mais spacieuse, capable d’offrir une bonne autonomie sans exploser les budgets.

L’année 2025 sera une année charnière pour Kia, avec de nombreuses annonces qui reflètent l’ambition du constructeur sur le marché européen et international. L’introduction de l’EV4, le restylage des modèles phares Sportage et Stonic, ainsi que l’arrivée du PV5 et du futur EV2, illustrent une volonté claire : se diversifier, innover et proposer des solutions adaptées aux nouveaux besoins des consommateurs.

Avec ces nouveautés, Kia entend renforcer sa position sur le marché de l’électrification et du SUV, tout en explorant de nouveaux segments, comme celui des utilitaires électriques.

Si la concurrence reste féroce, le constructeur sud-coréen peut compter sur une gamme de plus en plus cohérente et diversifiée pour séduire une clientèle toujours plus soucieuse de modernité, d’efficacité énergétique et de connectivité avancée.

D’ici son lancement, Kia devra affiner son positionnement tarifaire et son offre pour s’assurer que ces nouveautés trouvent leur public. Une chose est sûre : 2025 s’annonce comme une année clé pour l’avenir du constructeur. Affaire à suivre !

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Mitsubishi Grandis : le retour de l’emblématique SUV

Mitsubishi Motors poursuit sa stratégie de reconquête en Europe avec l’annonce d’un nouveau SUV compact, dont le nom a récemment été dévoilé : le Grandis. Ce choix n’est pas anodin, puisqu’il renvoie à un modèle bien connu de la marque japonaise, le monospace Mitsubishi Grandis commercialisé entre 2003 et 2011. Toutefois, loin d’être une simple réédition, ce nouveau Grandis se positionne sur un marché dynamique et concurrentiel, celui des SUV compacts.

Prévu pour être commercialisé en automne 2025, ce modèle bénéficiera des synergies de l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, notamment en partageant sa base technique avec le Renault Symbioz. Un positionnement stratégique qui pourrait permettre à Mitsubishi de renforcer sa présence sur le marché européen, après le succès mitigé de l’ASX et du Colt. Mais quelles seront les spécificités du Grandis ? Comment s’intègre-t-il dans la stratégie de Mitsubishi ? Et surtout, peut-il séduire face à une concurrence féroce ?

I. Le Mitsubishi Grandis : un héritage revisité

Un nom qui évoque le passé

Le nom Grandis ne sera pas inconnu aux amateurs de la marque japonaise. Mitsubishi l’avait utilisé pour désigner un monospace familial produit entre 2003 et 2011. Connu pour son espace généreux, son confort et sa modularité, il s’inscrivait dans une époque où les monospaces dominaient encore le marché des voitures familiales.

En ressuscitant ce nom pour un SUV compact, Mitsubishi cherche à capitaliser sur son héritage tout en l’adaptant aux tendances du marché actuel. Les SUV ont largement remplacé les monospaces, séduisant les familles et les professionnels grâce à leur polyvalence, leur design moderne et leur position de conduite surélevée.

Une mutation vers un SUV compact

Contrairement à son prédécesseur, qui était conçu pour maximiser l’espace intérieur, le nouveau Grandis adoptera un format plus en phase avec les attentes contemporaines : un SUV compact, positionné entre le Mitsubishi ASX et le futur SUV 100 % électrique basé sur le Renault Scénic E-Tech. L’objectif est d’offrir un compromis idéal entre habitabilité, performances et efficacité énergétique.

Ce choix de segment permet à Mitsubishi de répondre aux besoins d’un large public, allant des jeunes couples actifs aux familles urbaines, en passant par les conducteurs à la recherche d’un SUV polyvalent et efficient.

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II. Une collaboration stratégique avec Renault

Un SUV issu de l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi

Le nouveau Grandis est l’un des fruits de l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi. Dans le cadre de cette collaboration, Mitsubishi bénéficie du savoir-faire technologique de Renault pour concevoir des modèles adaptés aux attentes du marché européen.

Le Grandis partagera ainsi de nombreux éléments avec le Renault Symbioz, notamment sa plateforme et ses motorisations. Cependant, Mitsubishi apportera sa propre touche esthétique et des ajustements spécifiques pour différencier son SUV de son cousin français.

Un design inspiré du langage stylistique Mitsubishi

Bien que basé sur le Symbioz, le Grandis adoptera une identité visuelle distincte, en phase avec le Dynamic Shield, la signature stylistique actuelle de Mitsubishi. On peut s’attendre à une face avant affirmée, avec des lignes tendues, une calandre expressive et des phares LED effilés, rappelant les récents modèles de la marque.

À l’intérieur, le Grandis devrait proposer un habitacle spacieux et technologique, mettant l’accent sur le confort et la connectivité. Mitsubishi pourrait se démarquer par un choix de matériaux plus robustes et des équipements adaptés aux attentes des clients de la marque.

III. Motorisations et technologies embarquées

Des motorisations hybrides et essence

Mitsubishi n’a pas encore révélé les détails techniques du Grandis, mais il est très probable que le SUV soit proposé avec des motorisations hybrides, en accord avec les normes environnementales européennes.

Parmi les options possibles :

  • Une motorisation hybride simple, combinant un moteur essence et un moteur électrique, permettant de réduire la consommation sans nécessiter de recharge externe.
  • Une motorisation hybride rechargeable (PHEV), offrant la possibilité de rouler en mode 100 % électrique sur plusieurs dizaines de kilomètres.

Mitsubishi pourrait ainsi reprendre le système hybride E-Tech de Renault, déjà éprouvé sur plusieurs modèles du groupe.

Une dotation technologique moderne

Le Grandis sera conçu pour répondre aux exigences des conducteurs modernes, avec un éventail de technologies avancées :

  • Système d’infodivertissement avec écran tactile (Apple CarPlay, Android Auto)
  • Instrumentation numérique pour un affichage clair et personnalisable
  • Aides à la conduite avancées (freinage d’urgence, régulateur adaptatif, assistance au maintien de voie)
  • Services connectés avec Google embarqué, pour une interaction fluide avec les applications du quotidien

Ces équipements permettront au Grandis de rivaliser avec ses concurrents et de séduire une clientèle exigeante en matière de connectivité et de sécurité.

IV. Un positionnement stratégique en Europe

Une gamme Mitsubishi en pleine expansion

Avec le Grandis, Mitsubishi poursuit sa stratégie d’expansion sur le marché européen, après la relance de l’ASX et du Colt. Ce modèle viendra s’intercaler entre ces derniers et le futur SUV électrique que la marque prépare en collaboration avec Renault.

Ce positionnement permet à Mitsubishi de couvrir une large palette de besoins :

  • Le Colt pour ceux qui recherchent une citadine polyvalente.
  • L’ASX, un SUV compact accessible.
  • Le Grandis, un SUV compact plus spacieux et hybride.
  • Un SUV électrique, prévu pour 2026, pour séduire les amateurs de zéro émission.

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Une concurrence intense

Le segment des SUV compacts est l’un des plus concurrentiels en Europe, avec des modèles phares comme :

  • Renault Austral
  • Peugeot 3008
  • Toyota Corolla Cross
  • Volkswagen Tiguan
  • Hyundai Tucson

Pour se différencier, Mitsubishi devra miser sur un rapport qualité-prix attractif, des motorisations efficientes et une image de robustesse et de fiabilité, qui a toujours été l’une des forces de la marque.

Avec le Grandis, Mitsubishi réaffirme son ambition sur le marché européen des SUV compacts. En s’appuyant sur l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, la marque japonaise bénéficie d’une base technologique éprouvée tout en conservant son identité propre.

Si le défi est de taille face à une concurrence bien installée, le Grandis pourrait séduire par son design distinctif, ses motorisations hybrides et son positionnement stratégique entre l’ASX et le futur SUV électrique.

D’ici son lancement prévu en automne 2025, Mitsubishi devra peaufiner son offre pour convaincre une clientèle en quête de SUV performants, technologiques et adaptés aux nouvelles exigences environnementales. Affaire à suivre !

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Le retour du roadster Suzuki Cappuccino : une icône renaît-elle ?

L’univers automobile est fait de cycles, avec des modèles qui marquent leur époque avant de disparaître… puis parfois de renaître. Parmi ces véhicules cultes, la Suzuki Cappuccino occupe une place particulière. Ce petit roadster, produit entre 1991 et 1998, est resté gravé dans la mémoire des passionnés de conduite. Compact, léger et taillé pour le plaisir de conduite, il représentait à la perfection l’esprit des Kei cars japonaises, ces micro-voitures soumises à des réglementations strictes en matière de taille et de motorisation.

Aujourd’hui, les rumeurs se font de plus en plus insistantes : Suzuki pourrait relancer la Cappuccino avec une version modernisée, s’inscrivant dans une nouvelle vague de petits roadsters. Entre nostalgie et innovation, ce retour soulève des questions. La marque japonaise peut-elle réellement réintroduire ce modèle sur un marché automobile dominé par les SUV et les motorisations électriques ? Quels seraient les défis et opportunités d’un tel projet ? Plongeons dans cette hypothèse excitante.

I. La Suzuki Cappuccino : un héritage indélébile

Un petit roadster conçu pour le plaisir

Lancée en 1991, la Suzuki Cappuccino a été pensée pour répondre aux normes des Kei cars japonaises. Cela signifie qu’elle devait respecter des dimensions réduites et une cylindrée inférieure à 660 cm³. Son design évoquait les roadsters britanniques classiques, mais dans un format ultra-compact. Grâce à son poids plume d’environ 725 kg, elle affichait une agilité exceptionnelle sur route.

Son moteur trois cylindres 657 cm³ turbo développait 64 chevaux, la puissance maximale autorisée pour une Kei car. Mais ne vous y trompez pas : grâce à sa transmission arrière et à une répartition des masses quasi parfaite (50/50), la Cappuccino offrait des sensations de conduite proches de celles de voitures bien plus puissantes.

Autre atout : son toit modulable. Contrairement à d’autres roadsters, elle pouvait se transformer en coupé, targa ou cabriolet, offrant ainsi une flexibilité unique pour les amateurs de conduite en plein air.

Une popularité grandissante, bien au-delà du Japon

D’abord destinée exclusivement au marché japonais, la Cappuccino a rapidement conquis d’autres marchés, notamment le Royaume-Uni, où quelques milliers d’exemplaires ont été importés. Sa bouille attachante et son comportement dynamique en ont fait une voiture culte pour les amateurs de sensations fortes à petit budget.

Aujourd’hui encore, elle jouit d’un statut d’icône du JDM (Japanese Domestic Market). Les collectionneurs s’arrachent les modèles bien entretenus, et certaines préparations en font même de redoutables petits bolides sur circuit.

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II. Pourquoi un retour du Cappuccino est-il plausible ?

Un regain d’intérêt pour les petits roadsters

Ces dernières années, le marché automobile a largement été dominé par les SUV et les crossovers, mais une niche de passionnés continue de réclamer des voitures plaisir, accessibles et légères. Si la Mazda MX-5 reste la reine incontestée du segment, d’autres marques comme Toyota (avec la GR86) montrent qu’il existe encore un intérêt pour les voitures compactes et sportives.

Le retour de la Cappuccino pourrait s’inscrire dans cette tendance. En proposant une alternative plus légère et plus abordable que ses concurrentes, Suzuki aurait une carte à jouer sur un marché en manque de diversité.

Une technologie plus avancée et adaptée aux nouvelles normes

L’un des défis majeurs pour une renaissance du Cappuccino serait l’adaptation aux normes environnementales actuelles. À l’époque de sa sortie, les émissions de CO2 et la consommation d’essence n’étaient pas des sujets aussi sensibles qu’aujourd’hui.

Pour être viable en 2025 ou 2026, une nouvelle Cappuccino devrait sans doute adopter une motorisation hybride ou 100 % électrique. Cela ne signifierait pas forcément la fin du plaisir de conduite : les avancées dans le domaine des batteries et des moteurs électriques permettraient de conserver une voiture légère, agile et dynamique, tout en réduisant son empreinte écologique.

Un potentiel succès sur le marché des Kei cars

Au Japon, les Kei cars restent extrêmement populaires, notamment pour leur coût d’usage réduit et les avantages fiscaux qui leur sont accordés. Une Suzuki Cappuccino moderne pourrait donc être bien accueillie sur son marché d’origine, avant d’envisager une éventuelle exportation vers d’autres régions du monde.

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III. Quels défis Suzuki devra-t-il relever pour concrétiser ce projet ?

L’adaptation aux attentes des conducteurs modernes

Les voitures d’aujourd’hui doivent intégrer une série de technologies de confort et de sécurité qui n’existaient pas dans les années 1990. Un éventuel Cappuccino de nouvelle génération devrait proposer des équipements tels que :

  • Un système d’infodivertissement moderne (Apple CarPlay, Android Auto)
  • Des assistances à la conduite (freinage d’urgence, maintien de voie)
  • Une sécurité renforcée tout en conservant un poids réduit

Conserver l’esprit minimaliste du Cappuccino tout en intégrant ces innovations constituerait un véritable défi d’ingénierie.

Un positionnement tarifaire délicat

L’un des atouts du Cappuccino original était son prix abordable. En 2025, proposer un roadster à la fois économique, bien équipé et performant nécessitera des compromis. Suzuki devra trouver un équilibre entre coût de production et prix de vente attractif, tout en tenant compte des contraintes liées aux nouvelles motorisations.

Une concurrence accrue

Si la niche des petits roadsters est limitée, elle est dominée par des références solides : Mazda MX-5, Toyota GR86, Alpine A110… Suzuki devra donc proposer une offre claire et différenciante pour séduire les acheteurs potentiels.

IV. À quoi ressemblerait une Suzuki Cappuccino 2.0 ?

Si Suzuki décide de relancer le Cappuccino, plusieurs scénarios sont envisageables :

  1. Un modèle thermique modernisé, avec un moteur trois cylindres turbo optimisé pour répondre aux normes actuelles, tout en conservant un poids ultra-léger.
  2. Une version hybride légère, combinant un petit moteur essence avec un système électrique d’appoint pour améliorer l’efficacité énergétique.
  3. Un roadster 100 % électrique, tirant parti des nouvelles technologies pour offrir des performances inédites dans un format compact.

Quel que soit le choix de Suzuki, le design pourrait s’inspirer des lignes de l’original, tout en intégrant des éléments modernes comme des phares LED, une carrosserie plus aérodynamique et des finitions plus premium.

L’idée d’un retour du Suzuki Cappuccino séduit les passionnés d’automobile. Ce petit roadster a marqué son époque et pourrait revenir sous une forme modernisée pour répondre aux attentes des conducteurs d’aujourd’hui. Suzuki, fort de son savoir-faire en matière de voitures compactes, a les moyens de réussir ce pari.

Toutefois, plusieurs défis restent à relever : conformité aux normes actuelles, adoption des nouvelles technologies et maintien d’un tarif attractif. Si la marque japonaise parvient à trouver la bonne formule, le Cappuccino pourrait bien faire son grand retour et redonner ses lettres de noblesse au plaisir de conduire léger et accessible.

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La batterie de rêve : l’innovation de Hyundai

L’essor des voitures électriques a révolutionné l’industrie automobile, apportant une réponse aux enjeux environnementaux et énergétiques. Pourtant, une limite majeure freine encore leur adoption massive : la performance des batteries. L’autonomie insuffisante, les temps de recharge prolongés et les problèmes de sécurité des batteries lithium-ion actuelles sont autant d’obstacles à lever. C’est dans ce contexte que la batterie à électrolyte solide apparaît comme une solution révolutionnaire. Plus sûre, plus durable et plus performante, elle attire de plus en plus l’intérêt des constructeurs automobiles, dont Hyundai, qui pourrait bientôt intégrer cette technologie à ses futurs modèles. Cette avancée pourrait non seulement améliorer l’expérience utilisateur, mais aussi réduire l’empreinte écologique des véhicules électriques. Mais en quoi la batterie solide est-elle une véritable révolution ? Quels sont ses avantages concrets et quels défis reste-t-il à relever pour une commercialisation à grande échelle ?

La batterie solide : une révolution technologique attendue

Une conception qui change tout

La batterie solide se distingue des batteries lithium-ion actuelles par un changement majeur : son électrolyte. Dans une batterie classique, l’électrolyte liquide permet aux ions de circuler entre l’anode et la cathode. Cette conception présente des inconvénients, notamment des risques de surchauffe et d’incendie en cas de fuite d’électrolyte ou de court-circuit.

Avec une batterie solide, l’électrolyte liquide est remplacé par un matériau solide (polymère, céramique ou autre composé innovant). Cette modification offre plusieurs avantages décisifs :

  • Une sécurité accrue : les risques d’explosion et d’incendie sont réduits, rendant la voiture plus fiable et moins sujette à des incidents graves.
  • Une densité énergétique améliorée : les batteries solides permettent de stocker plus d’énergie dans un volume identique, ce qui allonge l’autonomie des véhicules.
  • Une durée de vie prolongée : elles supportent davantage de cycles de charge et de décharge, réduisant ainsi le besoin de remplacement.
  • Une recharge plus rapide : en améliorant la conductivité ionique, les batteries solides pourraient diviser par deux, voire plus, le temps de recharge.

Un atout environnemental non négligeable

Au-delà des performances techniques, les batteries solides pourraient réduire l’impact écologique des véhicules électriques. Leur fabrication nécessite potentiellement moins de métaux rares et leur longévité permet de limiter la production de déchets. De plus, la fin de l’électrolyte liquide toxique améliore la recyclabilité des batteries, un enjeu crucial pour un avenir plus durable.

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Hyundai et la course à la batterie solide

Un projet ambitieux et stratégique

Hyundai, conscient des avantages de cette technologie, a annoncé la mise en place d’une ligne de production pilote pour ses batteries solides. Selon les informations du média coréen ETNews, cette unité de production devrait être opérationnelle dès mars 2025. L’objectif est clair : tester la qualité et les performances de ces batteries avant une production à grande échelle.

Les premiers tests devraient être effectués sur des modèles emblématiques de la marque, comme les Hyundai Ioniq 5 et Ioniq 6, afin d’évaluer leur comportement en conditions réelles. Une fois validés, ces tests pourraient ouvrir la voie à une commercialisation dans les années suivantes, renforçant ainsi la compétitivité de Hyundai sur le marché des véhicules électriques.

Une concurrence féroce sur le marché

Hyundai n’est pas le seul constructeur à investir dans la batterie solide. D’autres acteurs majeurs, comme Toyota, Volkswagen et BMW, travaillent également sur cette technologie, chacun avec sa propre stratégie. Toyota, par exemple, prévoit d’introduire des batteries solides sur certains modèles hybrides avant de les déployer à grande échelle sur des véhicules 100 % électriques.

Ce contexte concurrentiel pousse Hyundai à accélérer son développement et à perfectionner sa technologie. En cas de succès, la marque pourrait se positionner comme l’un des pionniers de cette innovation et prendre une longueur d’avance sur ses rivaux.

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Quels défis pour une adoption massive ?

Des coûts de production encore élevés

Malgré ses nombreux avantages, la batterie solide n’est pas encore prête à être commercialisée à grande échelle. L’un des principaux obstacles reste son coût de production. Les matériaux utilisés et les processus de fabrication sont encore onéreux, ce qui pourrait rendre les premiers modèles équipés de ces batteries nettement plus chers que les véhicules électriques actuels.

L’industrialisation de la production

Produire des batteries solides en grande quantité représente un véritable défi industriel. Les constructeurs doivent mettre en place de nouvelles chaînes de production et adapter leurs infrastructures. Hyundai, avec sa ligne pilote, espère surmonter ces obstacles techniques avant de démarrer une production à grande échelle.

L’acceptation du public

Enfin, l’adoption massive de cette technologie passera par une communication efficace pour convaincre les consommateurs. Les utilisateurs devront être sensibilisés aux bénéfices des batteries solides, notamment en termes de sécurité et de durée de vie.

Les batteries solides représentent une avancée majeure pour l’industrie automobile et pourraient révolutionner le marché des véhicules électriques. Plus sûres, plus performantes et plus durables, elles répondent à de nombreuses limites des batteries actuelles. Hyundai, en investissant dans cette technologie, espère prendre une place de choix dans cette course à l’innovation. Toutefois, avant une adoption massive, plusieurs défis restent à relever, notamment la réduction des coûts et l’industrialisation de la production. Si ces obstacles sont franchis, la batterie solide pourrait bien être la clé d’une mobilité électrique encore plus performante et accessible.

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DS Automobiles à Djeddah : une victoire électrisante en Formule E

Le 14 février 2025, le Championnat du Monde ABB FIA de Formule E a marqué une étape majeure en se rendant pour la première fois à Djeddah, en Arabie saoudite. Cette troisième manche de la saison a été le théâtre d’une performance exceptionnelle de DS Automobiles et de son pilote allemand, Maximilian Günther. Parti en pole position, Günther a su maîtriser la pression et les défis du circuit pour offrir à son équipe une victoire mémorable, consolidant ainsi la position de DS PENSKE dans le championnat.

1. Une qualification sous le signe de la compétitivité

Dès les essais qualificatifs, l’intensité de la compétition était palpable. Huit équipes différentes ont réussi à se hisser en phase finale, témoignant de la compétitivité accrue du championnat cette saison. Jean-Éric Vergne, pilote français de DS Automobiles, a terminé au 5e rang de son groupe, manquant de peu une place en phase finale, à moins d’un dixième de seconde près. De son côté, Maximilian Günther a réalisé un parcours sans faute, décrochant ainsi sa première pole position sous les couleurs de DS Automobiles, la 25e pour le constructeur français. Cette performance en qualification a été déterminante, plaçant Günther dans une position idéale pour aborder la course avec confiance.

2. Une course stratégique et riche en rebondissements

Le départ de la course a été marqué par une lutte acharnée en tête de peloton. Maximilian Günther, fort de sa pole position, a su conserver son avantage lors des premiers tours. Cependant, une neutralisation de la course a rapidement réduit l’écart qu’il avait creusé, redistribuant les cartes parmi les leaders. À la relance, Günther a maintenu son sang-froid, mais a choisi de céder temporairement la première place à Oliver Rowland de l’équipe Nissan, dans une stratégie visant à gérer au mieux l’énergie de sa monoplace.

L’une des nouveautés de cette saison était l’introduction du « PIT BOOST », une recharge ultra-rapide de 600 kW pendant 30 secondes, permettant aux monoplaces de stocker 3,85 kWh supplémentaires, soit un complément de 10% d’énergie. Cette innovation a ajouté une dimension stratégique supplémentaire à la course. Alors que certains pilotes ont opté pour un PIT BOOST anticipé, Günther a choisi de retarder son arrêt, misant sur une fin de course offensive. Cette décision s’est avérée payante. Dans les derniers tours, bénéficiant d’une gestion optimale de son énergie, il a réduit l’écart avec Rowland. À l’approche de la dernière chicane, dans un mouvement audacieux, Günther a repris la tête, franchissant la ligne d’arrivée en vainqueur. Cette victoire, combinée au meilleur tour en course, lui a permis de récolter le maximum de points possibles lors de cette manche.

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3. Réactions et perspectives pour DS Automobiles

Cette victoire à Djeddah a été accueillie avec enthousiasme au sein de l’équipe DS PENSKE. Eugenio Franzetti, directeur de DS Performance, a exprimé sa satisfaction : « C’était vraiment une course parfaite. Quand vous parvenez à obtenir la pole position, la victoire et le tour le plus rapide, vous ne pouvez vraiment pas demander plus ! Je félicite Max et toute l’équipe pour le merveilleux travail effectué en amont de cette course. » De son côté, Maximilian Günther a partagé sa joie : « Je suis très fier et très heureux de remporter cette victoire, ma première pour l’équipe. Les hommes et les femmes qui travaillent en coulisses la méritent tellement ! »

Grâce à cette performance, DS PENSKE se hisse à la deuxième place du classement des équipes, réduisant l’écart avec le leader. Maximilian Günther occupe désormais la troisième place au classement des pilotes, tandis que Jean-Éric Vergne, auteur d’une solide remontée lors de la course, se positionne en sixième position. La prochaine étape du championnat se déroulera à Miami, aux États-Unis, le 12 avril 2025. L’équipe DS Automobiles abordera cette course avec une confiance renouvelée, déterminée à poursuivre sur cette dynamique positive et à viser de nouveaux succès.

En conclusion, cette victoire à Djeddah marque un tournant dans la saison pour DS Automobiles. Elle témoigne de l’engagement, de la stratégie et du talent combiné de l’équipe et de ses pilotes. Alors que le championnat se poursuit, tous les regards seront tournés vers Miami, où DS PENSKE cherchera à confirmer sa position de prétendant sérieux au titre mondial.

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Que vaut le nouveau CUPRA Terramar ?

Le 22 août 2024, à l’occasion du lancement de la 37e America’s Cup Barcelona Louis Vuitton, CUPRA a levé le voile sur son dernier modèle : le CUPRA Terramar. Ce SUV compact et électrifié incarne le nouveau langage stylistique de la marque, alliant design audacieux et performances de pointe. Rendant hommage au circuit historique de Terramar à Sitges, ce véhicule marque une étape significative dans l’évolution de CUPRA.

1. Un design audacieux inspiré par l’héritage de Terramar

Le CUPRA Terramar se distingue par des proportions dynamiques et un design affirmé qui reflètent l’ADN sportif de la marque. Avec une longueur de 4,52 mètres, une largeur de 1,87 mètre et une hauteur de 1,59 mètre, ce SUV affiche une présence imposante sur la route. La face avant, caractérisée par un capot allongé et une calandre distinctive, évoque la détermination et la puissance. Les lignes sculptées de la carrosserie, associées à des éléments aérodynamiques, renforcent son allure sportive.

Les détails esthétiques, tels que les jantes en alliage de 20 pouces disponibles en différentes finitions, ajoutent une touche d’élégance et de performance. Les options de personnalisation incluent des couleurs métallisées comme le Gris Timanfaya, le Blanc Nevada et le Bleu Cosmos, permettant aux conducteurs de choisir une teinte qui reflète leur personnalité. À l’arrière, les feux arborent une signature lumineuse distinctive en forme de triangle, un clin d’œil aux modèles emblématiques de la marque.

À l’intérieur, le Terramar offre un habitacle centré sur le conducteur, mêlant technologie avancée et matériaux de haute qualité. Le tableau de bord est orné de moulures paramétriques en 3D avec des détails cuivrés, créant une ambiance à la fois moderne et chaleureuse. Les sièges baquets, disponibles en différentes finitions, offrent un soutien optimal lors de la conduite dynamique. Les options incluent des revêtements en cuir Rouge Bordeaux avec surpiqûres cuivrées ou en suédine Noir Asphalte, alliant confort et style. De plus, l’éclairage d’ambiance personnalisable permet de créer une atmosphère intérieure en harmonie avec les préférences du conducteur.

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2. Des motorisations électrifiées pour une performance optimale

Le CUPRA Terramar propose une gamme de motorisations conçues pour offrir des performances élevées tout en répondant aux exigences environnementales actuelles. Les options incluent des moteurs essence micro-hybrides et des hybrides rechargeables, chacun offrant une combinaison unique de puissance et d’efficacité.

  • 1.5 eTSI Hybrid 150 DSG : Cette version est équipée d’un moteur essence de 1,5 litre développant 150 chevaux, couplé à une transmission automatique DSG à 7 rapports. Elle offre une accélération de 0 à 100 km/h en 9,3 secondes et atteint une vitesse maximale de 205 km/h. Cette motorisation est idéale pour ceux qui recherchent un équilibre entre performance et économie de carburant.
  • 2.0 TSI 265 4Drive DSG : Pour les amateurs de performances accrues, cette version dispose d’un moteur essence de 2,0 litres délivrant 265 chevaux, associé à la transmission intégrale 4Drive et à une boîte DSG à 7 rapports. Elle réalise le 0 à 100 km/h en 5,9 secondes et peut atteindre une vitesse de pointe de 243 km/h. Cette configuration assure une conduite dynamique et une adhérence optimale, même dans des conditions exigeantes.
  • 1.5 e-HYBRID 272 DSG : Cette version hybride rechargeable combine un moteur essence de 1,5 litre avec un moteur électrique, offrant une puissance totale de 272 chevaux. Elle permet une accélération de 0 à 100 km/h en 7,3 secondes et une vitesse maximale de 215 km/h. Grâce à une batterie de 25,8 kWh, elle offre une autonomie électrique pouvant atteindre 121 km, idéale pour les trajets urbains quotidiens sans émissions.

Toutes les versions du Terramar sont équipées de la technologie de châssis adaptatif (DCC), qui ajuste en temps réel les paramètres de suspension pour optimiser le confort et la tenue de route. Les conducteurs peuvent sélectionner parmi 15 réglages de conduite via le système d’infodivertissement de 12,9 pouces, adaptant ainsi le comportement du véhicule à leurs préférences et aux conditions de conduite.

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3. Technologies avancées et connectivité intégrée

Le CUPRA Terramar intègre une suite de technologies conçues pour améliorer l’expérience de conduite, la sécurité et la connectivité. Le système d’infodivertissement de 12,9 pouces offre une interface intuitive pour accéder aux fonctions du véhicule, à la navigation et aux services en ligne. Compatible avec l’application My CUPRA, il permet aux utilisateurs de contrôler à distance diverses fonctionnalités, telles que la climatisation, la planification de la recharge ou la localisation du véhicule.

Parmi les équipements de pointe, le Terramar propose le système audio Immersive by Sennheiser™, doté de 12 haut-parleurs et d’un amplificateur de 390 watts, offrant une expérience sonore immersive de haute fidélité. Le volant Supersports CUPRA en cuir, équipé de boutons satellites et de palettes de changement de rapport, assure une prise en main ergonomique et un contrôle précis des fonctions essentielles.

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Audi A3 Hybride rechargeable : une autonomie record et des performances revisitées

Audi a récemment introduit les versions hybrides rechargeables de sa compacte A3, offrant désormais une autonomie électrique notable, comparable à celle des premiers véhicules électriques. Une autre nouveauté est la possibilité de recharger la voiture en courant continu.

Un an après le restylage de l’Audi A3, les variantes hybrides rechargeables font leur apparition. Disponibles en version berline (Sportback, représentant environ 90 % des ventes) et en version crossover (Allstreet), ces modèles sont stratégiques pour le constructeur, l’hybride rechargeable constituant actuellement un tiers des ventes d’Audi A3 en France, cette dernière étant le deuxième modèle Audi le plus vendu dans l’Hexagone.

Design intérieur

À l’intérieur, les modifications sont subtiles par rapport aux versions thermiques présentées l’année précédente. La qualité perçue reste excellente, avec des matériaux bien rembourrés et un assemblage soigné. Les spécificités des versions hybrides rechargeables se manifestent par une réduction du volume du coffre, passant de 380 à 280 litres, et une diminution de la capacité du réservoir de carburant de 5 litres (40 litres au lieu de 45).

Performances et motorisation

Sous le capot, des changements significatifs sont à noter. Le moteur thermique 1.4 est remplacé par un 1.5 TFSI evo2 décliné en deux puissances : 150 ch et 177 ch. La capacité de la batterie double pour atteindre 25,7 kW bruts. La propulsion électrique est assurée par un moteur synchrone à aimants permanents intégré à la boîte de vitesses S tronic à 6 rapports, offrant désormais 85 kW (115 ch) et 330 Nm de couple. La puissance combinée atteint ainsi 204 ch ou 272 ch, avec une autonomie électrique annoncée de 142 km, bien que lors de nos essais avec l’Audi A3 40 TFSIe (204 ch), nous ayons parcouru un peu plus de 100 km en mode électrique.

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Recharge et consommation

Deux options de recharge sont proposées : en courant alternatif jusqu’à 11 kW, nécessitant 2 h 30 pour une charge complète de 10 à 100 %, ou en courant continu jusqu’à 50 kW, permettant une recharge en 26 minutes. Sur une prise domestique classique, le temps de charge est d’environ 12 heures. Une fois la batterie déchargée, la consommation annoncée est de 5 l/100 km, bien que nos tests aient relevé une consommation de 6 l/100 km sur des trajets mêlant routes de campagne et autoroutes urbaines.

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Conseils d’utilisation

Pour les trajets quotidiens, il est recommandé d’utiliser le mode électrique et de recharger la batterie chaque soir afin de disposer d’une autonomie complète le lendemain. Pour les longs trajets, le mode automatique est conseillé, le système gérant alors de manière optimale l’utilisation des moteurs thermique et électrique, avec une consommation pouvant descendre en dessous de 5 l/100 km sur de longues distances. L’utilisation du système de navigation embarqué peut également optimiser les phases de fonctionnement en fonction du type de route emprunté.

En résumé, l’Audi A3 hybride rechargeable se distingue par son autonomie électrique améliorée, sa finition soignée et son agrément de conduite. Malgré un coffre réduit et des suspensions légèrement fermes, elle surpasse ses concurrentes en termes d’autonomie, notamment la Volkswagen Golf partageant la même motorisation. De plus, elle est proposée à un tarif compétitif, débutant à 47 900 € pour la version 40 TFSIe en finition Design.

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Alfa Romeo : entre passion et performance

Alfa Romeo est une marque automobile qui incarne l’émotion, le design et la sportivité depuis plus d’un siècle. Née en 1910 en Italie, la firme milanaise a su imposer son style et son savoir-faire, mêlant performances mécaniques et esthétique raffinée. Aujourd’hui, Alfa Romeo propose une gamme réduite mais caractéristique, orientée vers la passion automobile. Tour d’horizon des modèles actuels de la marque.

Alfa Romeo Giulia : la berline sportive par excellence

L’Alfa Romeo Giulia est une berline premium qui se distingue par son design racé et son comportement dynamique. Disponible en plusieurs motorisations, dont une version V6 biturbo de 510 chevaux signée Quadrifoglio, la Giulia offre une expérience de conduite exaltante. Son châssis agile et sa répartition des masses idéale (50/50) en font une véritable référence en termes de plaisir de conduite.

Les points forts de la Giulia :

  • Design italien élégant et agressif
  • Performances dynamiques avec propulsion ou transmission intégrale
  • Version Quadrifoglio avec moteur Ferrari de 510 ch
  • Technologie avancée et intérieur haut de gamme

Alfa Romeo Stelvio : le SUV sportif et raffiné

L’Alfa Romeo Stelvio est le premier SUV de l’histoire de la marque. Inspiré par la Giulia, il en reprend le dynamisme et le style tout en offrant une habitabilité supérieure. Disponible en plusieurs motorisations essence et diesel, il se décline également en version Quadrifoglio, équipée d’un moteur V6 biturbo de 510 chevaux.

Pourquoi choisir le Stelvio ?

  • Un SUV dynamique et sportif
  • Un design distinctif avec la calandre emblématique « trilobo »
  • Un intérieur soigné avec des matériaux de qualité
  • Une version Quadrifoglio très performante

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Alfa Romeo Tonale : le SUV compact hybride rechargeable

Le Tonale marque l’entrée d’Alfa Romeo dans l’électrification. Ce SUV compact propose une motorisation hybride rechargeable combinant un moteur essence 1.3 turbo et un moteur électrique pour une puissance combinée de 280 chevaux et une autonomie en mode 100 % électrique d’environ 60 km. Fidèle à l’ADN de la marque, le Tonale offre un comportement routier dynamique et un intérieur technologique.

Les points forts du Tonale :

  • Premier SUV hybride rechargeable de la marque
  • Design inspiré de l’héritage Alfa Romeo
  • Technologie embarquée avec connectivité avancée
  • Agrément de conduite typique Alfa Romeo

Les futurs modèles : vers l’innovation et l’électrification

Alfa Romeo prévoit d’accélérer sa transition vers l’électrification avec l’arrivée de nouveaux modèles 100 % électriques. En 2024, un SUV urbain nommé Alfa Romeo Milano devrait voir le jour, suivi par un renouvellement de la Giulia et du Stelvio avec des versions électrifiées.

L’avenir d’Alfa Romeo en quelques points :

  • Une gamme entièrement électrique à l’horizon 2027
  • Un positionnement premium et sportif
  • Des innovations technologiques pour rivaliser avec la concurrence allemande

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Alfa Romeo continue de cultiver son image de marque passionnelle et sportive, en associant performances et élégance. Avec des modèles comme la Giulia, le Stelvio et le Tonale, la firme italienne propose des véhicules caractérisés par un design audacieux et un plaisir de conduite unique. L’avenir s’annonce électrique, mais Alfa Romeo promet de rester fidèle à son ADN, pour le plus grand bonheur des amateurs d’automobiles.

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L’histoire du logo d’Alfa Romeo

Le logo d’Alfa Romeo est l’un des emblèmes les plus reconnaissables et chargés d’histoire dans le monde de l’automobile. Depuis sa création en 1910, il incarne l’essence de la marque italienne, mêlant héritage milanais et symbolisme puissant.

Les Origines du Logo

Tout commence en 1910 à Milan, lorsque la société Anonima Lombarda Fabbrica Automobili (A.L.F.A.) est fondée. Pour représenter cette nouvelle entreprise, l’ingénieur en chef Giuseppe Merosi et le jeune dessinateur Romano Cattaneo sont chargés de concevoir un emblème distinctif. L’inspiration leur vient alors que Cattaneo attend le tramway sur la Piazza Castello. Son regard est attiré par le « Biscione Visconteo », un serpent mythique dévorant un homme, sculpté sur la tour du Castello Sforzesco. Ce symbole, associé à la puissante famille Visconti qui régna sur Milan au Moyen Âge, est choisi pour figurer sur le logo. À côté du Biscione, une croix rouge sur fond blanc est ajoutée, représentant l’emblème de la ville de Milan. Ces deux éléments sont entourés d’un cercle bleu portant les inscriptions « ALFA » en haut et « MILANO » en bas, séparées par deux nœuds de Savoie en hommage à la maison royale italienne.

Évolution à travers le Temps

En 1915, l’entrepreneur napolitain Nicola Romeo prend la direction de l’entreprise. Son nom est alors intégré au logo, qui devient « ALFA-ROMEO ». En 1925, pour célébrer la victoire de l’Alfa Romeo P2 au premier championnat du monde automobile, une couronne de laurier est ajoutée autour de l’emblème. Après la Seconde Guerre mondiale, avec la proclamation de la République italienne en 1946, les nœuds de Savoie sont remplacés par des lignes ondulées.

En 1972, suite à l’ouverture de l’usine Alfasud près de Naples, la mention « MILANO » est supprimée pour refléter l’expansion géographique de la marque. Le logo subit ensuite des ajustements mineurs jusqu’en 2015, où une refonte modernise son apparence tout en conservant les éléments emblématiques : la croix rouge, le Biscione et le cercle bleu.

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Signification des Symboles

  • La Croix Rouge sur Fond Blanc : Symbole de la ville de Milan, elle trouve son origine au XIIᵉ siècle lors de la première croisade, représentant le courage et la foi des Milanais.
  • Le Biscione : Ce serpent dévorant un homme est l’emblème de la famille Visconti. Selon la légende, Ottone Visconti aurait tué un serpent géant qui terrorisait la région, faisant de cette créature le symbole de leur puissance et de leur protection sur la ville.

Un Héritage Vivant

Aujourd’hui, le logo d’Alfa Romeo reste fidèle à ses origines, symbolisant l’union entre l’histoire milanaise et l’innovation automobile. Chaque véhicule arborant cet emblème perpétue une tradition centenaire, alliant performance, design et passion.

Le logo d’Alfa Romeo est bien plus qu’un simple emblème apposé sur une calandre : c’est un concentré d’histoire, de légendes et d’identité italienne. Depuis plus d’un siècle, il a traversé les époques en restant fidèle à ses origines tout en évoluant avec le temps. À travers la croix rouge de Milan et le Biscione des Visconti, il incarne à la fois l’héritage et l’innovation, la tradition et la modernité. Aujourd’hui encore, chaque Alfa Romeo porte fièrement ce symbole chargé de sens, rappelant que derrière chaque courbe racée et chaque moteur rugissant, il y a un siècle de passion et d’excellence.