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Voyager avec son animal

Rouler avec un animal de compagnie peut être une expérience agréable, mais cela nécessite une certaine préparation et une attention particulière. Que vous envisagiez un court trajet avec votre chien ou un long voyage en voiture avec votre chat, il est important de prendre quelques précautions pour assurer la sécurité et le confort de votre animal pendant le trajet. Cet article vous donnera quelques conseils utiles pour rouler avec votre animal afin de rendre votre voyage aussi agréable que possible pour vous et votre compagnon à quatre pattes.

Les animaux en voiture et la loi :

Bien qu’aucune loi française n’évoque spécifiquement le transport d’animaux en voiture, l’article R412-6 du Code de la route impose certaines obligations aux conducteurs, à savoir : être prêt à effectuer toutes les manœuvres requises immédiatement, jouir d’une liberté de mouvement complète et disposer d’une vision dégagée.

Enfreindre cette règle peut entraîner pour le conducteur :

  • une contravention de deuxième classe
  • une éventuelle immobilisation du véhicule.

En d’autres termes, il est important de comprendre que voyager avec un animal en liberté à l’intérieur de la voiture peut être une source de distraction ou de désagrément en cas de situation d’urgence. En fin de compte, tout comme les humains, nos compagnons à quatre pattes doivent être attachés pendant les trajets en voiture.

Assurer la sécurité de son animal en voiture

Lorsqu’ils sont libres, les animaux peuvent présenter des comportements dangereux en voiture. Par manque de patience, par peur ou par inconfort, ils pourraient mettre le conducteur en danger en essayant de grimper sur ses genoux, de se cacher entre ses jambes ou en sautant d’un siège à l’autre.

De plus, en cas de freinage d’urgence, ils risquent d’être gravement blessés, voir de se transformer en véritables projectiles, ce qui représente un danger considérable pour eux-mêmes ainsi que pour les passagers. Lors d’un choc à une vitesse de 50 km/h, leur poids peut être multiplié par 30.

Pour résumer, un chat pesant 5 kg peut devenir un projectile potentiel de 150 kg, tandis qu’un chien pesant 35 kg peut atteindre une tonne.

Afin d’assurer la sécurité de son animal pendant les déplacements en voiture, il est essentiel de l’attacher.

Attacher son animal, les différentes méthodes :

Attacher son chat : Attacher un chat avec un harnais peut être difficile, donc la meilleure option est de le mettre dans une cage de transport en plastique ou en osier, ou dans un sac de transport en nylon. Par mesure de sécurité, il est important de fermer fermement la cage ou le sac de transport et de les attacher au siège avec la ceinture de sécurité. Pour se sentir en sécurité, il est préférable que la cage soit adaptée à la taille du chat, ni trop grande ni trop petite. Des jouets parfumés à l’herbe à chat ou aux phéromones peuvent l’aider à se relaxer.

Attacher son chien : Il est préférable de placer son chien sur la banquette arrière d’une berline et de l’attacher solidement à l’aide d’un harnais qui peut se fixer aux laisses et aux ceintures de sécurité. Les systèmes d’attache munis d’un embout de fixation pour la ceinture de sécurité et d’un mousqueton à attacher au collier du chien peuvent également représenter une option intéressante.

Pour éviter que le chien ne se promène à l’intérieur du véhicule lorsqu’il voyage dans le coffre d’un break, deux solutions peuvent être envisagées : installer une grille ou un filet de sécurité entre le coffre et la banquette arrière (de taille universelle ou sur mesure), ou opter pour une cage de transport adaptée au coffre.

Faire des pauses :

Lorsque le voyage est de longue durée, il est conseillé de faire une pause toutes les deux heures afin de nourrir et d’hydrater son chien ou son chat. Heureusement, il existe de nombreux types de gamelles nomades spécialement conçues pour les animaux, ce qui permet de les ravitailler pendant le trajet. Certains modèles 2 en 1 peuvent être utilisés à la fois comme bouteille d’eau et comme abreuvoir.

La pause est un moment propice pour permettre à votre chien de faire ses besoins. Assurez-vous de le tenir en laisse ou en harnais et n’oubliez pas d’emporter un ramasse crottes et un sac pour les déjections.

Il est fortement déconseillé de laisser un animal seul dans une voiture pendant l’été, même si celle-ci est équipée de pare-soleil et même pour une brève période. En seulement dix minutes au soleil, la température à l’intérieur du véhicule peut augmenter considérablement. Par exemple, lorsque la température extérieure est de 25 °C, elle peut rapidement atteindre 40 °C dans l’habitacle. Cette chaleur est beaucoup trop élevée pour un chien ou un chat.

Il est possible de choisir un collier de sécurité à LED pour rendre son animal de compagnie visible de loin pendant la nuit. Ce collier peut être réglé en mode continu ou en mode clignotant et fonctionne avec des piles. Il peut être ajusté pour s’adapter au cou des chiens et des chats.

Les indispensables en cas d’imprévus

Il est possible qu’un événement imprévu se produise, même si l’on a tout planifié. Afin de se préparer à toutes les éventualités, il est conseillé de posséder une trousse de secours spécialement conçue pour les animaux de compagnie en cas de voyage en voiture. Pour constituer cette trousse de santé, il est recommandé de prioriser les éléments suivants : une couverture de survie, une paire de gants en latex, un sac pour les déjections, un jeu de compresses stériles de différentes tailles ou des bandes de gaze, un coussin hémostatique, un rouleau de ruban adhésif cutané, une poche de froid instantanée, une pipette de sérum physiologique, d’antiseptique et d’eau oxygénée, une seringue, un rasoir, une paire de ciseaux, un thermomètre et un tire tique. Il est également recommandé d’inclure le carnet de santé de l’animal.

Rester au propre

Il est préférable de prendre des mesures préventives en installant une housse de protection auto pour chien ou chat sur le siège avant ou la banquette arrière afin de gérer les petits incidents et minimiser les risques de salissures.

Dans le but de rafraîchir l’intérieur de la voiture, il est possible d’utiliser un destructeur ou un neutralisateur d’odeurs pour traiter l’habitacle. Ensuite, il suffit de passer un gant ou un rouleau adhésif conçu spécialement pour éliminer les poils d’animaux de compagnie sur les sièges et les moquettes.

En conclusion, lorsque l’on prend la décision de voyager avec son animal de compagnie, il est important de prendre certaines précautions pour assurer le bien-être et la sécurité de tous. De la préparation du voyage, en passant par l’organisation de la cage de transport adaptée et enfin en s’assurant du confort de l’animal tout au long du trajet, il existe de nombreux conseils pratiques à suivre pour une expérience de voyage réussie. En respectant ces conseils, il est possible de profiter pleinement de la compagnie de son animal tout en garantissant son bien-être et en évitant tout danger potentiel sur la route.

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Automobile : une éolienne qui recharge la voiture pour faire baisser le prix du plein d’électricité

La société Kallista Energy a inauguré, le 22 septembre, une borne de recharge pour voiture électrique en Normandie, le long de l’autoroute A13, reliée à une éolienne.

Associer une station de recharge pour véhicules électriques à une éolienne ? Le concept est pour le moins controversé. La plupart des opérateurs spécialisés dans l’installation de bornes jugent l’idée habile sur le plan du marketing, mais irréaliste. « Techniquement problématique et économiquement hors des clous », pour reprendre l’expression de l’un d’entre eux.

Kallista Energy (84 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2021), énergéticien spécialisé dans la production d’électricité renouvelable avec trente-six parcs éoliens et solaires installés en Europe, a choisi cette voie. D’ici cinq ans, la société, détenue par le fonds d’investissement Ardian et le fonds de pension néerlandais APG, compte installer à travers la France quatre-vingt-dix stations de recharge ultrarapides dont « la majorité » seront directement reliées à une éolienne installée à proximité. Selon ses dirigeants, un modèle de 5 mégawatts est suffisant.

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https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/10/23/automobile-une-eolienne-qui-recharge-la-voiture-pour-faire-baisser-le-prix-du-plein-d-electricite_6146980_3234.html

« Un chemin de croix »

Le 22 septembre, Kallista Energy a inauguré une station pilote à Vernon-Douains (Eure), le long de l’autoroute A13 reliant Paris à la Normandie. A défaut d’éolienne ici – la proximité de la base aérienne 105 d’Evreux interdit d’en installer – l’énergéticien se flatte de mettre en service « les bornes les plus puissantes de France ». Celles-ci sont capables de délivrer 360 kilowatts, une puissance qui permet en théorie d’acquérir 100 kilomètres d’autonomie en trois minutes mais qu’aucun modèle électrique en circulation n’est en mesure d’absorber.

« Avec l’envol des tarifs, produire de l’électricité renouvelable en circuit court prend tout son sens » Frédéric Roche, président de Kallista

Elles peuvent aussi et surtout accueillir simultanément quatre véhicules, mais avec une puissance unitaire de 90 kilowatts. Chaque borne, d’une valeur unitaire de quelque 70 000 euros, a obtenu une subvention de 18 000 euros de la part du programme public Advenir. A terme, les stations pourront compter jusqu’à quarante-huit bornes et, lorsque le vent fait une pause – environ 20 % du temps, mais pas davantage, selon Kallista – elles seront raccordées au réseau ou à une batterie de stockage installée sur le site.

« Avec l’envol des tarifs de l’électricité, produire de l’énergie renouvelable en circuit court prend tout son sens. Cela permet de tabler sur un coût fixe : aujourd’hui, le mégawattheure atteint les 1 000 euros, mais nos éoliennes sont rentables à 70 euros, un prix qui permettrait de recharger la batterie de sa voiture pour 15 à 20 euros », plaide Frédéric Roche, président de Kallista. Au total, l’investissement correspondant à ce projet représente 1 milliard d’euros « avec un calcul de rentabilité sur trente ans ».

Reste désormais à boucler la procédure administrative d’installation de la première dizaine d’éoliennes qui desserviront les futures stations – « un chemin de croix », admet Frédéric Roche. Dotées dans un premier temps de douze points de recharge, celles-ci ne seront pas implantées sur le réseau autoroutier mais à juste à l’extérieur, à proximité d’une sortie, comme c’est le cas à Vernon-Douains. Chez Kallista, on juge les appels d’offres des sociétés d’autoroutes « trop contraignants, trop chers et inscrits sur une durée trop courte ».

source : www.lemonde.fr

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Quel est vraiment l’impact des ralentisseurs illégaux ?

Nos confrères de l’Automobile Magazine ont étudié le vrai coût des ralentisseurs illégaux, en se basant sur plusieurs critères.

Vous en avez tous déjà croisé au moins un. Et pour cause, selon une étude menée par Auto Plus en 2018, pas moins de 40 % des 450 000 ralentisseurs présents sur nos routes seraient illégaux, en raison de leur hauteur excessive. Si les normes varient en fonction du type d’infrastructure – coussin berlinois ou dos d’âne – celles-ci ne doivent quoi qu’il en soit pas dépasser les 10 centimètres de hauteur. Pourtant, nombre d’entre eux ne prennent pas en compte cette réglementation, causant alors de nombreux désagréments pour les automobilistes. Freinage plus prononcé, secousses, risques d’abimer les boucliers, entre autres. Si de nombreuses associations militent pour faire retirer l’ensemble des ralentisseurs illégaux, les procédèrent trainent en longueur et les choses avancent en réalité assez peu. Pourtant, l’installation de ce type de dispositif a de nombreuses conséquences, qu’on souhaité étudier nos confrères de l’Automobile Magazine. En ressort donc une étude passionnante sur l’impact et le vrai coût des ralentisseurs illégaux, avec des résultats obtenus grâce à des tests grandeur nature, en utilisant un dos d’âne légale et un second de 24 centimètres, dépassant ainsi la taille réglementaire.

Bruits, secousses, consommation de carburant, tout a été analysé, sous contrôle d’un huissier de justice. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les résultats sont tout simplement édifiants. Deux véhicules ont été utilisés : une Peugeot 3008 PureTech 130 EAT8 et une Renault Clio TCe 100 X-Tronic, passant le ralentisseur légal à 25 km/h et le second à 15 km/h. L’occasion de démontrer les effets négatifs de ce type d’infrastructure, tant sur la consommation de carburant que sur le confort des occupants. Pour étudier ce point, les journalistes ayant mené cette enquête ont placé des capteurs sous les fesses du conducteur, chargés de relever la force des secousses. Si celles-ci ne dépassent pas les 0,3 g sur le ralentisseur légal passé à 25 km/h, elles atteignent alors les 0,4 (montée) et 0,5 g (descente) sur le dos d’âne illégal, malgré une vitesse de 15 km/h. Sans parler des répliques, de quoi donner un sacré mal de dos aux occupants, sans parler de l’impact sur les suspensions du véhicule !

Consommation et pollution sonore

Mais le confort des passagers ainsi que la dégradation de l’état de la voiture n’est pas le seul souci mis en lumière par cette étude. Sans surprise, nos confrères ont également constaté une hausse des nuisances sonores causées par les ralentisseurs illégaux. Pour cela, ils ont tout simplement placé un sonomètre à 7 mètres des dos d’ânes et ont comparé les mesures. Si le bruit est à peine plus fort sur le ralentisseur légal par rapport à la circulation normale, le passage d’une installation illégale à 15 km/h émet 2 à 3 dBA de plus. C’est pire encore si l’on passe le ralentisseur à 18 km/h, alors que le niveau sonore peut être jusqu’à huit fois plus important. Une différence qui s’explique entre autre par la plus forte réaccélération due à la hauteur du dispositif, sans parler du bruit causé par les suspensions et l’éventuel frottement des bas de caisse. D’ailleurs, nos confrères soulignent que « ces valeurs seraient encore bien plus élevées avec des camions, tracteurs, remorques ».

Enfin, et c’est sans doute le point le plus évident : les ralentisseurs illégaux font considérablement augmenter la consommation de carburant. Comme le précise l’Automobile Magazine, le passage d’un dos d’âne légal entraine une hausse comprise entre 10 et 15 %, contre 26 à 28 % pour un dispositif illégal. Une sacrée différence qui s’explique là encore par le fait que la hauteur plus importante entraine un freinage plus fort et donc une réaccélération plus importante. A titre d’exemple, la Renault Clio affiche une consommation moyenne de 7,94 l/100 km-, qui passe à 8,77 l sur un ralentisseur légal et 10 l sur un cassis illégal.

Source : www.auto-moto.com

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Voiture à hydrogène : bientôt le plein à domicile ?

Centre de recherche basé en Allemagne, l’Institut Fraunhofer expérimente de nouvelles technologies pour permettre la production d’hydrogène dans de petites unités domestiques.

Imaginez un système de production d’hydrogène suffisamment compact pour équiper des habitations et alimenter une pile à combustible (qui produirait simultanément de la chaleur et de l’électricité) ou permettre le ravitaillement d’une voiture à pile à combustible. C’est le projet de l’Institut Fraunhofer.

Pour atteindre l’objectif, l’installation doit être capable de produire sa propre énergie, pour réaliser l’électrolyse de l’eau, mais aussi de stocker l’hydrogène obtenu. Ce sont les deux axes de recherche de l’équipe engagée dans le projet.

De l’hydrogène vert produit par le vent

Si en parallèle Fraunhofer explore également la voie photovoltaïque, un travail important est en cours pour le développement de rotors éoliens sur la partie production d’énergie.  Une première étape vient d’être franchie avec la création d’un matériau composite. Celui-ci permet de réduire le poids des pales du rotor mais aussi de leur offrir une meilleure résistance aux vents violents. Conçues de manière à pouvoir se plier élastiquement en cas de tempête et à pouvoir tourner face au vent, elles seront testées sur le terrain au cours des prochains mois.

Coté stockage, c’est la légèreté et la compacité des réservoirs qui est au centre des recherches. Les réservoirs d’hydrogène classiques, principalement utilisés dans les applications industrielles, sont de grands conteneurs en acier résistant à la pression. Pour être utilisés dans des milliers de foyers, leur taille doit donc être réduite. Les premières études démontrent que des composites de fibres de carbone pourraient être employés : une résine synthétique durcie formerait un conteneur capable de résister à la pression et permettrait d’intégrer des capteurs facilitant l’utilisation par des particuliers en toute sécurité.

Source : h2-mobile.fr

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Astuces pour faire briller son véhicule sans polish

Afin d’avoir une voiture propre et brillante, il est important de l’entretenir régulièrement. Pour ce faire, il existe de nombreuses techniques afin de redonner de l’éclat à sa voiture, sans forcément utiliser un polish. Voici comment s’y prendre.

Une voiture est exposée à différents polluants tout au long de son existence. De la poussière, de la boue, des insectes et de nombreuses autres traces de pollution peuvent s’accumuler sur la carrosserie et ternir sa couleur. Il est donc important de retirer cette couche de saleté avant qu’elle ne s’incruste davantage et endommage le revêtement et la peinture du véhicule.

Par ailleurs, laver son auto présente de nombreux avantages. En effet, outre le fait de l’embellir, un entretien régulier permet de préserver la carrosserie dans la perspective d’une revente. Une voiture en bon état est toujours plus facile à vendre.

Il faut aussi noter qu’une voiture est une grande source de pollution. Tous les dépôts de saleté sur les jantes et la carrosserie vont se disséminer dans la nature. En effet, des polluants organiques ou chimiques comme le manganèse, le fer, le nickel et des résidus d’hydrocarbure vont voyager en fonction du trajet de la voiture et peuvent finir par polluer les nappes phréatiques. Par conséquent, bien que le lavage d’une voiture consomme jusqu’à 400 litres d’eau, ce geste est tout de même essentiel pour préserver l’environnement.

Astuce pour faire briller sa voiture sans polish

Le polish est très utile pour faire briller sa voiture. Toutefois, il existe de nombreuses autres techniques pour réussir le nettoyage de son véhicule sans avoir à recourir à ce produit. Il est par exemple possible d’utiliser de la gelée royale. Cette substance est très utile pour déloger les saletés de la peinture, même les plus résistantes. Il suffit de l’appliquer sur la carrosserie après le rinçage. Dans la même catégorie, le dépoussiérant pour meubles s’avère également très efficace. À utiliser également après le rinçage, il faut le vaporiser sur un chiffon et le frotter délicatement sur la carrosserie pour lui redonner de l’éclat. Toutefois, il est conseillé de tester la méthode sur une petite surface et d’observer d’abord la réaction de la peinture. Du vinaigre blanc mélangé à de l’eau tiède peut aussi être vaporisé sur les vitres pour les rendre impeccables.

Par ailleurs, pour laver sa voiture à la main, il faut utiliser un chiffon doux afin d’éviter d’égratigner la peinture. À cet effet, les chiffons en microfibres sont parfaits en raison de leur texture gaufrée qui permet de dégraisser rapidement les surfaces tout en absorbant les saletés. Afin d’obtenir un résultat uniforme sur toute la carrosserie, il faut effectuer des mouvements circulaires.

Comment garder sa voiture brillante ?

Afin de conserver l’éclat de sa voiture, il faut entretenir régulièrement sa carrosserie. Pour ce faire, il est recommandé de la laver chaque semaine. En effet, la pollution atmosphérique, les insectes, les excréments d’oiseaux ou encore les feuilles et la sève d’arbres peuvent nuire à la peinture du véhicule.

Il faut aussi noter que la chaleur peut faire fondre la cire de la voiture, et par conséquent, réduire la protection de la peinture. La pluie quant à elle favorise le développement de la rouille. Un lavage hebdomadaire permet alors d’éviter ces dommages. Néanmoins, si la voiture n’est pas exposée à ces facteurs de risque, un lavage bimensuel est suffisant. À noter, lors du lavage, il ne faut pas négliger de nettoyer les jantes de la voiture. En effet, en étant en contact direct avec le sol, elles se salissent plus rapidement.

Source : www.autoplus.fr/pratique/nettoyage-automobile-faire-briller-sa-voiture-sans-polish

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Pourquoi et comment recycler ses pneus ?

Les obligations de recyclage

Depuis la publication du décret du 24 décembre 2002  le Code de l’environnement est clair sur le sujet : “Il est strictement interdit d’abandonner, de mettre en décharge ou de brûler à l’air libre des pneus usagés. Afin d’éviter les nuisances créées par les dépôts et les risques d’incendie”.  

La fin de vie d’un pneumatique est donc avec une obligation de recyclage !

Bon à savoir: Dans un pneu, on trouve quantité de matériaux : des élastomères naturels ou synthétiques, du noir de carbone, des plastiques, de la silice, du soufre, de l’acier ou encore divers textiles.

Savez vous auprès de qui doit on se débarrasser de ses pneus usagés ?

On ne se débarrasse pas d’un pneu comme ça ! Les pneus ne sont plus acceptés dans les décharges, ils sont soumis à une obligation de reprise par tous les professionnels de la filière, les détenteurs et consommateurs de pneus usagés doivent donc faire appel aux professionnels agréés.

Les professionnels soumis à cette obligation de reprise sont :

  • Les producteurs /importateurs de pneumatiques
  • Les distributeurs (garages, centres autos…)
  • Les collecteurs, tels que la société Aliapur, doivent se charger du ramassage, du regroupement, du tri ou du transport des déchets
  • Les exploitants d’installation de traitement

Une seconde vie ?

Il y a des façons ingénieuses pour réutiliser les pneus usagés, pour les plus créatifs et bricoleurs voici quelques idées  qui permettent de recycler les pneus et ainsi éviter qu’ils polluent les sols.

Pot de Fleur
Garage à velo
Coussin d’animaux de compagnie
Pouf Déco
Balançoires

Source Photos : https://www.demotivateur.fr

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Pénurie de carburants : peut-on être verbalisé en cas de panne sèche sur la route ?

La pénurie d’essence continue de faire rage en France.

De nombreux automobilistes prennent donc des risques en prenant le volant avec des réserves basses de carburant.

En cas de panne sèche, ils s’exposent à une amende sur certaines voies, surtout les autoroutes.

C’est la hantise de nombreux automobilistes, à l’heure où des pénuries d’essence touchent plusieurs régions. Tomber en panne en pleine route, un scénario du pire qu’Audrey a expérimenté pour la première fois ce lundi matin. « Je pensais avoir le temps de faire la queue à une station pour mettre de l’essence, mais non… Je suis tombée en panne 500 mètres plus loin », regrette la conductrice, à côté de sa voiture à l’arrêt, au début du reportage du JT de TF1 ci-dessous.

D’autres flirtent avec le danger en roulant sur la réserve« Je viens de changer de voiture, je ne sais pas jusqu’à combien de kilomètres je peux aller, je suis en train de tester », s’inquiète une automobiliste de Clermont-Ferrand dans cette autre vidéo du JT de TF1. Un réflexe risqué, quand on sait que la panne sèche peut vous valoir une amende sur certaines voies.

La panne sèche pas considérée comme cas de force majeure

« Sur une route classique, comme les voies secondaires, nationales, départementales ou en ville, on va en règle générale trouver une zone où s’arrêter sans gêner la circulation, souvent sur le bas-côté. On ne représente donc pas un danger », explique auprès de TF1info l’avocat Me Jean-Baptiste le Dall, spécialiste de droit automobile.

Ce qui n’est pas le cas de l’autoroute. « Les zones sur lesquelles on s’expose le plus à la verbalisation, ce sont les bandes d’arrêt d’urgence : elles servent à s’arrêter en cas de force majeure, ce qui ne vaut pas lorsque la panne est prévisible, par exemple lorsqu’on s’y engage avec 10km d’autonomie seulement », signale l’avocat. La panne sèche est alors considérée comme un arrêt gênant, susceptible d’être sanctionné selon l’article r 417-10 du Code de la route d’une contravention de seconde classe, à savoir une amende de 35 euros, majorée 75 euros.

« L’arrêt sur la bande d’arrêt d’urgence est gênant s’il n’est pas justifié par une nécessité absolue, or la panne sèche n’est en effet pas un cas de force majeure », confirme Me Matthieu Lesage, également avocat spécialiste du droit routier. Une règle appuyée par un arrêt de la cour de Cassation du 12 février 1957, selon lequel « la panne sèche ne justifie pas l’arrêt sur la bande d’arrêt d’urgence car tout automobiliste peut anticiper cette circonstance », relate le juriste.

Vous risquez aussi une amende sur tous les ouvrages autoroutiers, comme les ponts ou les tunnels, dès lors que la panne est anticipable, précisent les spécialistes. D’autant que sur ces voies sans bande d’arrêt d’urgence, vous encourez le risque de vous stationner dangereusement, ou même de vous arrêter en pleine voie, ce qui peut vous mettre en péril, tout comme les autres conducteurs. Le stationnement dangereux vous vaudra 135 euros d’amende, majorée 375 euros, selon l’article r 417-9 du Code de la route.

Une « certaine forme de tolérance » face aux pénuries

Toutefois, il est possible que dans ce contexte de fortes pénuries de carburants dans certaines régions, les forces de l’ordre fassent preuve d’une « certaine forme de tolérance » en ce moment. « L’automobiliste peut essayer de prouver qu’il s’agit tout de même d’un cas de force majeure, parce qu’il s’était engagé sur l’autoroute pour atteindre une nouvelle station, espérant y trouver de l’essence. Il faut réussir à prouver que de précédentes stations ne délivraient plus de carburant », conseille Me Jean-Baptiste le Dall.

Si obtenir une attestation auprès de ces stations peut s’avérer délicat, il peut être utile en revanche de montrer aux policiers l’état de la situation sur l’une des nombreuses applications qui renseignent les pompes vides, pour apporter la preuve de la pénurie qui vous a forcé à prendre l’autoroute, ajoute l’avocat.

Les cas de verbalisation sur ces bandes d’arrêt d’urgence sont en règle générale peu nombreux, relève-t-il. Mais la vigilance est tout de même de mise, sachant qu’il vous faudra également verser 138 euros pour le dépannage en cas de panne sur l’autoroute, des prix majorés de 50% entre 18 heures et 8 heures du matin, et le week-end et jours fériés.

Source : https://www.tf1info.fr

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La fin des retraits de points pour les petits excès de vitesse approche

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a confirmé que le retrait de points pour de petits excès de vitesse, spécificité français en Europe, n’était pas logique. Cette politique devrait prendre fin en 2023.

Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, l’a rappelé très justement à nos confrères du Progrès dans une longue interview abordant de nombreux thèmes : la France est le seul pays d’Europe qui retire un point sur le permis de conduire au moindre excès de vitesse, aussi mineur soit-il. Mais jusqu’ici, le gouvernement est resté figé, refusant de modifier la loi en ce sens. Ce qui, ces derniers temps, eut le don d’agacer de nombreuses associations, à commencer par la Ligue de défense des conducteurs. « Sur les 12,5 millions d’infractions constatées par des radars automatiques en 2020, 58 % concernent des « excès » de 1 à 5 km/h (sachant que dans 95 % des cas, ceux-ci sont inférieurs à 20 km/h« , précisait-elle en avril. En fait, la très large majorité des excès de vitesse relevés en France sont de moins de 20 km/h. Mais pour les gens qui roulent beaucoup, souvent par obligation, l’accumulation des petits excès met en péril même la validité du permis de conduire. Et cela devrait changer.

La fin des retraits de points en 2023 ?

Gérald Darmanin s’est montré plutôt clair sur le sujet : « ils (les petits excès de moins de 5 km/h) sont certes dangereux mais souvent involontaires et représentent plus de 50 % des points perdus. La France est le seul pays d’Europe à retirer un point dès le premier km/h. La réflexion se poursuit donc pour ne plus retirer ces points tout en maintenant l’amende ».

Et au ministre de citer « ceux qui prennent la route, les ouvriers, les employés, pour aller travailler ont proportionnellement plus de risques de perdre des points à cause de petits excès de vitesse« . L’intéressé rappelle que pour bon nombre de Français, l’automobile n’est pas un choix mais une obligation face à l’absence de transports en commun. Il termine par confirmer que ces « dispositions pourraient entrer en vigueur en 2023« , non sans un travail commun avec les associations de Sécurité Routière. Ceci confirmerait alors les informations de l’AFP à la fin du printemps. La perte de points « bêtes » pour de petits excès de vitesse pourrait donc bel et bien prendre fin en France.

Mais puisqu’il est bon de recevoir après avoir donné, le ministre explique que l’amende pour fraude au points sur le permis serait « portée à 3750 €, contre une amende moyenne de 339 € aujourd’hui. Rappelons qu’il existe effectivement un véritable trafic de points avec des personnes vendant les points d’automobilistes ayant un permis valide, mais ne conduisant plus du tout.

Source : www.automobile-magazine.fr

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Les « sept engagements pour une route plus sûre »

Auprès de la Délégation interministérielle à la sécurité routière, les entreprises signataires de la charte des « Sept engagements pour une route plus sûre » s’engagent.

Auprès de la Délégation interministérielle à la sécurité routière, les entreprises signataires de la charte des « Sept engagements pour une route plus sûre » s’engagent à :

  • limiter aux cas d’urgence les conversations téléphoniques au volant. Le smartphone au volant constituant un réel danger, les chefs d’entreprise recommandent l’application « mode conduite » proposée par la Sécurité Routière ou une application similaire. Celle-ci met le smartphone en veille et envoie automatiquement un message d’indisponibilité au correspondant ;
  • prescrire la sobriété sur la route. Il s’agit de promouvoir la sobriété comme « bonne pratique professionnelle » et d’inciter les collaborateurs à dissuader un collègue qui a bu de prendre la route. Des jeux comme Addicto’Quiz peuvent être proposés pour sensibiliser les collaborateurs ;
  • exiger le port de la ceinture de sécurité. Des formations ou des simulateurs sensibilisent au danger lié au non-port de la ceinture ;
  • ne pas accepter les dépassements des limitations de vitesse. Les employeurs s’engagent à ne jamais imposer un excès de vitesse à leurs collègues dans le but d’accomplir une mission ;
  • intégrer des moments de repos dans le calcul des temps de trajet. Les employeurs font en sorte que les déplacements routiers soient aménagés pour respecter la règle d’or : une pause toutes les deux heures ;
  • favoriser une culture de la sécurité routière. Il s’agit d’un engagement à former et/ou à sensibiliser les collaborateurs aux risques routiers ;
  • encourager les usagers de deux-roues à mieux s’équiper en leur fournissant casques, gilets rétro-réfléchissants, gants de sécurité, etc.

Source : www.flotauto.com

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Des radars pour vérifier que vous n’accélérez ou ne freinez pas autour d’un radar automatique ?

En Espagne, un nouveau type de radar voit le jour sur les routes. Il permet notamment de surprendre ceux qui mettent un gros coup de frein juste avant un radar automatique pour éviter de se faire prendre. Certaines associations dénoncent déjà ce dispositif, craignant qu’il ne franchisse les Pyrénées.

Le radar automatique a un gros inconvénient par rapport à un contrôle mobile de vitesse : il est fixe, et donc rapidement connu des habitués de la route et même des personnes en transit, puisqu’il est annoncé par un panneau de signalisation. Les personnes coutumières du tronçon savent donc très bien où se situe précisément l’appareil de contrôle automatique, ce qui incite certains à ralentir au dernier moment devant le radar avant de réaccélérer par la suite. Un comportement évidemment à risque, qui a conduit les autorités espagnoles à développer un nouvel appareil : le radar anti freinage.

Un radar pour surveiller ceux qui évitent le radar…

En Espagne, le gouvernement déploie ses radars anti freinage pour une nouvelle phase de tests grandeur nature. Ces appareils, mobiles, sont placés dans des zones proches d’un radar automatique classique de contrôle et analysent les changements brusques de vitesse à l’approche du système automatisé fixe. Evidemment, étant mobiles, ces radars d’un nouveau genre peuvent être déplacés un peu n’importe où, mais toujours dans une zone proche du radar principal. Les PV sont ensuite automatisés et envoyés aux usagers de la route qui auraient trop tendance à « piler » à l’approche du point de contrôle avant de réaccélerer. Ce nouvel outil pose question : que se passe-t-il si un automobiliste freine brusquement, mais pour une toute autre raison (évitement, perte de contrôle…) ? D’autant plus que ces radars anti freinage seront installé non pas sur autoroute, mais sur des voies secondaires où l’accidentologie est plus élevée. Et bien entendu, certaines associations d’automobilistes craignent déjà que l’initiative espagnole ne donne des idées aux autorités françaises qui ont déjà lancé les nouveaux radars anti bruit.

…. et un autre radar « cascade » !

Mais attendez avant de partir, vous n’avez pas tout vu. Le radar anti freinage sera accompagné d’un autre dispositif appelé le radar en cascade. Ce troisième module sera placé après celui contrôlant la vitesse : « alors que le radar anti-freinage est placé avant le radar fixe, les radars à cascade sera placé un kilomètre après le radar fixe…. de cette manière, on saura si le conducteur accélère après avoir traversé le radar fixe, et pourra être verbalisé par l’appareil mobile s’il dépasse les limitations de vitesse », précise nos confrères de la presse espagnole. Trois radars pour le prix d’un, donc !

Source : www.automobile-magazine.fr