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Quelles voitures seront interdites en 2025 ?

À partir de 2025, la transition écologique s’accélère et les règles de circulation pour les véhicules se durcissent dans de nombreuses zones urbaines en France. Cette évolution s’inscrit dans les dispositifs des Zones à Faibles Émissions (ZFE) et de la classification Crit’Air, visant à réduire drastiquement la pollution de l’air. Mais quelles sont les voitures concernées par ces interdictions imminentes ? Quels modèles devront dire adieu à nos routes ? Et surtout, comment s’y préparer ?

Comprendre les restrictions Crit’Air et les Zones à Faibles Émissions :

Le fonctionnement des vignettes Crit’Air

Depuis plusieurs années, la France a instauré le système de vignettes Crit’Air, qui classe les véhicules en fonction de leur impact environnemental. Ce classement va de Crit’Air 0 (véhicules électriques et hydrogènes) à Crit’Air 5 (les véhicules les plus polluants). Chaque catégorie correspond à un niveau d’émission de polluants, comme les particules fines et les oxydes d’azote.

Les restrictions de circulation sont basées sur cette classification. Ainsi, plus votre vignette est élevée (Crit’Air 3, 4 ou 5), plus les chances de voir votre véhicule interdit de circulation dans certaines zones sont grandes.

Les Zones à Faibles Émissions (ZFE)

Depuis 2019, les ZFE ont été instaurées dans plusieurs grandes agglomérations françaises, notamment Paris, Lyon, Marseille, et Strasbourg. Ces zones imposent des restrictions permanentes ou temporaires aux véhicules les plus polluants.

En 2025, le plan s’intensifie. Les voitures classées Crit’Air 3 seront progressivement bannies des ZFE, ce qui concerne une part significative du parc automobile actuel. De plus, les villes pourraient élargir leurs zones restreintes pour inclure davantage de périphéries et d’axes routiers stratégiques.

Quelles voitures ne pourront plus rouler en 2025 ?

Les véhicules Crit’Air 4 et 5 : déjà exclus

Depuis plusieurs années, les voitures classées Crit’Air 4 et 5 ont vu leur accès restreint, notamment dans les grandes métropoles. Ces catégories regroupent :

  • Crit’Air 5 : Les véhicules diesel immatriculés avant 2001.
  • Crit’Air 4 : Les véhicules diesel immatriculés entre 2001 et 2005.

En 2025, ces modèles, déjà interdits dans certaines zones, seront totalement bannis de la plupart des ZFE françaises.

Crit’Air 3 : la nouvelle cible

La grande nouveauté pour 2025, c’est l’interdiction progressive des véhicules classés Crit’Air 3 dans les ZFE. Cela concerne :

  • Les voitures essence immatriculées avant 2006.
  • Les voitures diesel immatriculées avant 2011.

Cette catégorie inclut de nombreux modèles populaires, comme certaines générations de Renault Clio, Peugeot 207, Citroën C3, et bien d’autres. L’impact risque donc d’être considérable pour les automobilistes qui possèdent encore ces véhicules.

Un impact sur les deux-roues et utilitaires légers

Les restrictions ne s’arrêtent pas aux voitures particulières. Les deux-roues immatriculés avant 2007 et certains utilitaires légers (diesel notamment) seront également touchés par ces nouvelles réglementations. Pour les professionnels, cette évolution représente un défi supplémentaire, les obligeant à adapter leur flotte à des modèles plus récents et moins polluants.

Quelles solutions pour les automobilistes concernés ?

1. Changer de véhicule

La solution la plus évidente consiste à remplacer votre voiture par un modèle plus récent, mieux classé en Crit’Air. Voici quelques options :

  • Optez pour des véhicules Crit’Air 1 ou Crit’Air 0 : les modèles essence récents, hybrides, ou électriques sont les plus adaptés pour circuler sans restrictions.
  • Investissez dans une voiture d’occasion récente : certaines villes proposent des aides financières pour encourager l’achat de véhicules Crit’Air 1 ou 2.

2. Profiter des aides et primes à la conversion

Pour accompagner cette transition, le gouvernement et les collectivités locales mettent en place des dispositifs d’aide. Par exemple :

  • La prime à la conversion : pour remplacer un ancien véhicule par un modèle électrique ou hybride.
  • Le bonus écologique : pour l’achat d’un véhicule électrique.
  • Les subventions locales : certaines villes offrent des aides supplémentaires pour encourager les habitants à changer de voiture.

3. Adapter vos habitudes de déplacement

Si changer de voiture n’est pas envisageable immédiatement, vous pouvez également revoir vos habitudes de déplacement :

  • Optez pour le covoiturage : une solution économique et écologique.
  • Utilisez les transports en commun dans les zones urbaines.
  • Envisagez la location de voiture pour vos besoins ponctuels.

4. Anticiper les évolutions futures

Les restrictions ne s’arrêteront pas à 2025. Les villes pourraient aller encore plus loin dans les années à venir, en excluant progressivement les Crit’Air 2. Il est donc judicieux d’investir dès maintenant dans un véhicule compatible avec les normes environnementales de demain.

L’année 2025 marque un tournant majeur dans la politique de transition écologique en France. Avec l’interdiction des voitures Crit’Air 3 dans les ZFE, de nombreux automobilistes devront revoir leurs choix de mobilité. Si ces mesures peuvent sembler contraignantes, elles visent à améliorer la qualité de l’air et à réduire l’impact environnemental de nos déplacements.

Pour faire face à ces évolutions, il est essentiel d’anticiper dès aujourd’hui. Que vous envisagiez de changer de véhicule, de modifier vos habitudes, ou de profiter des aides disponibles, chaque geste compte pour s’adapter à cette nouvelle ère de mobilité durable. Alors, prêt à relever le défi ?

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Quel est le meilleur moment pour acheter une voiture d’occasion ?

L’art de trouver la bonne voiture… au bon moment !

Vous envisagez d’acheter un véhicule d’occasion ? Félicitations, c’est une excellente manière de concilier budget, performance et diversité de choix. Mais saviez-vous que le timing peut considérablement influencer le prix et les opportunités disponibles ? Acheter au bon moment pourrait vous faire économiser plusieurs centaines d’euros et vous permettre de dénicher la perle rare.

Dans cet article, nous allons explorer les meilleures périodes pour acheter un véhicule d’occasion, les astuces pour repérer les opportunités et les moments où la négociation est à votre avantage. Si vous êtes prêt(e) à optimiser votre achat, suivez nos conseils pour devenir un expert du timing automobile !

1 : Les périodes idéales pour acheter un véhicule d’occasion

Les mois creux : une aubaine pour les acheteurs

Les mois où la demande est faible sont souvent les plus propices pour acheter un véhicule d’occasion. En général, janvier et février sont particulièrement intéressants. Après les fêtes de fin d’année, les dépenses importantes comme l’achat d’un véhicule ne sont pas prioritaires pour la majorité des ménages. Cela pousse les concessionnaires et les vendeurs particuliers à ajuster leurs prix pour séduire les rares acheteurs.

De plus, à cette période, de nombreux propriétaires mettent en vente leur voiture pour financer un nouveau modèle acheté durant les promotions de fin d’année. Résultat : un large choix de véhicules à des prix attractifs.

Les périodes de renouvellement des gammes

Deux fois par an, les concessionnaires se préparent à accueillir les nouveaux modèles. Cela se produit souvent en mars et en septembre, après les salons automobiles. Pour libérer de la place, ils cherchent à écouler rapidement leur stock, ce qui peut inclure des véhicules d’occasion récents ou des reprises clients. C’est une excellente opportunité pour trouver des voitures bien entretenues à des tarifs compétitifs.

Astuce : Surveillez également les périodes de fin de trimestre. Les concessionnaires peuvent proposer des remises pour atteindre leurs objectifs de vente.

Avant les vacances estivales ou hivernales

Les mois d’avril-mai et d’octobre-novembre sont stratégiques. Juste avant les vacances, de nombreux automobilistes souhaitent changer de voiture pour partir l’esprit tranquille. Si vous êtes prêt(e) à négocier, ces périodes sont idéales : les vendeurs, qu’ils soient professionnels ou particuliers, cherchent à conclure rapidement les transactions.

2 : Faut-il privilégier un jour ou une période spécifique pour acheter ?

Les jours de semaine : moins de concurrence

Les samedis sont souvent très animés chez les concessionnaires. En revanche, en semaine, l’affluence est bien moindre. Un vendeur aura plus de temps à vous consacrer et sera parfois plus disposé à discuter du prix ou des avantages. Les mardis et mercredis, en particulier, sont des journées calmes idéales pour prendre votre temps et poser toutes vos questions.

Fin de mois ou fin d’année : une période propice à la négociation

Les objectifs de vente influencent fortement le comportement des concessionnaires. En fin de mois, ils peuvent être prêts à accorder des remises supplémentaires pour atteindre leurs quotas. Cette stratégie est encore plus marquée en décembre, lorsque la fin d’année approche.

Pour maximiser vos chances, visitez les concessions quelques jours avant la fin de mois ou avant les fêtes de Noël. Vous pourriez repartir avec une belle réduction, surtout si vous avez déjà une idée précise du modèle qui vous intéresse.

3 : Comment tirer le meilleur parti de ces périodes ?

Planifiez votre achat à l’avance

Anticiper est la clé pour profiter des meilleures périodes. Commencez par identifier le modèle ou le type de véhicule qui correspond à vos besoins et votre budget. Ensuite, surveillez les annonces en ligne et contactez les concessionnaires pour être informé des promotions.

Soyez flexible et prêt à agir rapidement

Si vous repérez une bonne affaire, ne tardez pas. Les véhicules d’occasion attractifs partent souvent rapidement, surtout durant les périodes où les prix sont compétitifs. Ayez vos documents et votre financement prêts pour conclure la transaction rapidement.

À ne pas oublier : Même si le prix est intéressant, prenez le temps de vérifier l’historique du véhicule, son entretien et son état général.

Profitez des conseils des experts

Si vous n’êtes pas sûr(e) du bon moment ou du bon véhicule, faites appel à un conseiller ou un expert en automobile. Chez les concessionnaires, des professionnels peuvent vous orienter vers des modèles correspondant à vos besoins tout en respectant votre budget.

Découvrez notre large sélection de véhicules d’occasion sur notre site et contactez nos conseillers pour un accompagnement personnalisé !

Le timing, un allié précieux pour votre achat

Acheter un véhicule d’occasion au bon moment peut faire toute la différence. En ciblant les périodes de faible demande ou de renouvellement de stock, vous augmenterez vos chances de trouver une voiture adaptée à vos besoins à un prix compétitif. En revanche, ne laissez pas les bonnes affaires vous faire perdre de vue l’essentiel : un véhicule bien entretenu et en parfait état est toujours une priorité.

Prêt(e) à passer à l’action ? Profitez de nos conseils et jetez un œil à nos offres disponibles dès maintenant. Avec un peu de préparation et de patience, la voiture idéale n’est qu’à quelques clics ou quelques visites de vous. Alors, pourquoi ne pas commencer dès aujourd’hui ?

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Comment bénéficier de la prime à la conversion ?

Passez au vert, sans casser votre tirelire !

Vous souhaitez changer de véhicule pour un modèle plus écologique, mais le coût vous freine ? Bonne nouvelle : la prime à la conversion est là pour alléger la facture et encourager une mobilité plus respectueuse de l’environnement. Ce dispositif gouvernemental permet de bénéficier d’une aide financière conséquente lorsque vous remplacez votre ancienne voiture par un modèle plus vertueux, qu’il s’agisse d’un hybride, d’un électrique ou d’un véhicule thermique récent.

Dans cet article, nous allons vous guider pas à pas pour comprendre les conditions, les démarches et les avantages de la prime à la conversion. L’objectif ? Vous aider à franchir le cap, sereinement et en toute transparence. Prêt(e) à découvrir les secrets pour rouler plus proprement tout en économisant ? Suivez le guide !

1 : Qu’est-ce que la prime à la conversion et qui peut en bénéficier ?

Une aide pour accélérer la transition écologique

La prime à la conversion est un dispositif d’aide financière mis en place par l’État français pour encourager les automobilistes à remplacer leur ancien véhicule polluant par un modèle moins émetteur de CO2. Cette initiative s’inscrit dans un plan plus large de lutte contre la pollution et de transition vers une mobilité durable. En d’autres termes, c’est un coup de pouce pour allier écologie et économie.

Quels sont les véhicules concernés ?

Pour bénéficier de la prime à la conversion, deux conditions principales doivent être remplies :

  1. Le véhicule remplacé : Il doit s’agir d’un modèle ancien et polluant, souvent classé Crit’Air 4 ou 5. L’âge du véhicule et son type de motorisation (essence ou diesel) jouent également un rôle.
  2. Le véhicule acheté : Il peut s’agir d’un véhicule neuf ou d’occasion, à condition qu’il soit moins polluant. Les voitures électriques et hybrides rechargeables sont les grandes gagnantes, mais les véhicules thermiques récents, répondant aux dernières normes environnementales, sont également éligibles.

Qui peut demander la prime ?

La prime à la conversion s’adresse à une large catégorie de personnes : salariés, indépendants, retraités ou même étudiants, à condition de remplir certains critères de revenus. En effet, le montant de la prime varie en fonction des ressources du foyer, offrant ainsi une aide plus généreuse aux ménages modestes.

Bon à savoir : Les entreprises et associations peuvent également en bénéficier sous certaines conditions.

2 : Les étapes pour bénéficier de la prime à la conversion

Étape 1 : Vérifiez votre éligibilité

Avant toute chose, assurez-vous que votre ancien véhicule entre bien dans les critères fixés par l’État. Vous pouvez consulter votre certificat d’immatriculation (carte grise) pour vérifier la date de mise en circulation, le type de carburant et le niveau de pollution (Crit’Air).

De même, renseignez-vous sur le véhicule que vous souhaitez acquérir. Nos collaborateurs en concession, souvent bien informés, peuvent vous aider à identifier les modèles éligibles.

Étape 2 : Préparez les documents nécessaires

Pour éviter tout retard dans le traitement de votre demande, rassemblez dès le départ les pièces justificatives indispensables :

  • Carte grise de votre ancien véhicule.
  • Justificatif de revenu fiscal (avis d’imposition).
  • Devis ou bon de commande du nouveau véhicule.

Étape 3 : Faites détruire votre ancien véhicule

Pour bénéficier de la prime, votre ancien véhicule doit être mis à la casse. Notre concession ou un centre agréé se chargera de cette étape. Vous recevrez un certificat de destruction, indispensable pour valider votre demande.

Étape 4 : Recevez votre prime

Une fois toutes les démarches effectuées, votre prime à la conversion sera versée directement par l’Agence de Services et de Paiement (ASP) ou déduite du prix d’achat. Le montant peut atteindre jusqu’à 5 000 €, selon votre situation.

Astuce : Consultez les simulateurs en ligne pour estimer le montant de votre prime et vérifier votre éligibilité en quelques clics !

3 : Pourquoi choisir un véhicule écologique grâce à la prime à la conversion ?

Un geste pour la planète

Opter pour un véhicule écologique, c’est réduire son empreinte carbone tout en contribuant à la lutte contre le réchauffement climatique. Les voitures électriques, par exemple, émettent zéro CO2 à l’échappement, tandis que les modèles hybrides consomment moins de carburant. Grâce à la prime, ce choix devient non seulement responsable, mais aussi abordable.

Des économies sur le long terme

En plus de réduire vos émissions de CO2, les véhicules écologiques permettent de faire des économies significatives sur le long terme :

  • Carburant : Les voitures électriques sont bien moins coûteuses à « recharger » que les modèles thermiques à faire rouler.
  • Entretien : Un moteur électrique comporte moins de pièces mécaniques, ce qui limite les pannes et les frais de maintenance.
  • Fiscalité : Certaines régions offrent des exonérations de taxes pour les véhicules propres.

Avec la prime à la conversion, vous réalisez un double gain : un prix d’achat réduit et des économies à l’usage.

Un large choix de véhicules éligibles

Que vous rêviez d’une citadine électrique pour vos trajets quotidiens ou d’un SUV hybride pour des aventures familiales, les options ne manquent pas. Les constructeurs rivalisent d’innovation pour proposer des modèles performants, pratiques et design. La prime à la conversion est une opportunité idéale pour accéder à des véhicules récents et technologiques.

La prime à la conversion est une opportunité à ne pas manquer pour tous ceux qui souhaitent changer de véhicule tout en participant activement à la transition écologique. Accessible, flexible et généreuse, elle permet de réduire l’impact environnemental de vos trajets, tout en réalisant des économies.

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ZFE : quelles sanctions en cas de non-respect des règles de circulation ?

Les Zones à Faibles Émissions (ZFE) se multiplient en France, imposant des restrictions de circulation pour réduire la pollution atmosphérique dans les grandes agglomérations. Ces zones ont pour but d’encourager l’abandon des véhicules les plus polluants en interdisant leur circulation dans certaines zones urbaines. Cependant, beaucoup de conducteurs s’interrogent : que risque-t-on réellement en cas de non-respect des règles des ZFE ? Cet article explore les réglementations en vigueur, le montant des amendes prévues, et les implications pour les automobilistes qui choisissent de ne pas se conformer aux restrictions de circulation.

Calendrier et zones concernées : comprendre les règles des ZFE

Les étapes de mise en place des restrictions ZFE
Les ZFE sont mises en place progressivement en France, avec des restrictions évolutives qui interdisent les véhicules les plus polluants selon un calendrier précis. Les agglomérations françaises sont classées en deux catégories : les zones ZFE (celles qui dépassent fréquemment les seuils de pollution européens) et les zones de vigilance. Les premières, qui incluent les grandes métropoles telles que Paris, Lyon, Marseille, Rouen et Strasbourg, sont les plus strictement réglementées. Par exemple, dans ces zones, les véhicules portant une vignette Crit’Air 4 sont interdits de circulation depuis janvier 2024, et les Crit’Air 3 seront à leur tour bannis dès janvier 2025.

Les zones de vigilance, en revanche, ne présentent pour l’instant pas de restrictions aussi rigoureuses. Cependant, les véhicules non classés, c’est-à-dire les plus polluants, ne seront plus autorisés dans ces zones à partir de janvier 2025. Ces mesures visent à limiter les émissions de polluants comme le dioxyde d’azote, nocif pour la santé publique, en réduisant le nombre de véhicules polluants dans les grandes villes.

Les implications de ces règles pour les automobilistes
Les restrictions imposées par les ZFE sont une réponse directe aux préoccupations croissantes en matière de qualité de l’air. Elles visent à encourager les automobilistes à passer à des véhicules moins polluants, voire électriques. Toutefois, ces nouvelles règles peuvent poser des défis pour de nombreux conducteurs, en particulier ceux qui dépendent de leur véhicule pour des déplacements quotidiens. Les automobilistes doivent s’assurer que leur voiture est équipée de la vignette Crit’Air appropriée pour continuer à circuler dans les zones réglementées, faute de quoi ils risquent de se voir infliger des amendes.

Les sanctions pour non-respect des restrictions ZFE

Montant de l’amende et modalités de sanction
Le non-respect des règles des ZFE entraîne des sanctions sous la forme d’amendes. Un conducteur surpris en train de rouler dans une zone ZFE avec un véhicule non autorisé reçoit une contravention de classe 3. Concrètement, cela signifie une amende de 68 euros pour les véhicules légers, tels que les voitures de tourisme, et de 135 euros pour les véhicules lourds, comme les camions et les bus.

Il est important de noter que cette amende peut varier selon les circonstances. Si l’amende est réglée rapidement, son montant peut être réduit ; à l’inverse, un retard de paiement entraîne une augmentation. En plus de l’amende, les forces de l’ordre ont le pouvoir d’immobiliser le véhicule sur place si celui-ci est en infraction, bien que cette mesure reste exceptionnelle et vise principalement les récidivistes.

Cependant, aucune perte de points sur le permis de conduire n’est prévue pour les infractions liées aux ZFE, car ces règles visent avant tout à limiter la pollution atmosphérique plutôt qu’à sanctionner directement les conducteurs. Le but est d’encourager un changement de comportement, en incitant les automobilistes à opter pour des véhicules moins polluants et en renforçant les contrôles pour les inciter à respecter les règles des ZFE.

Les enjeux de la conformité et des contrôles renforcés
Pour assurer le respect des ZFE, les autorités locales et les forces de l’ordre ont augmenté la fréquence des contrôles dans les zones concernées. Les agglomérations mettent en place des dispositifs de surveillance, notamment des caméras de lecture de plaques, pour détecter les véhicules en infraction. À terme, ces caméras permettront de repérer automatiquement les voitures qui circulent sans la vignette Crit’Air appropriée.

Pour les automobilistes, cela signifie une vigilance accrue quant aux restrictions locales et au respect des réglementations en matière de vignette Crit’Air. En cas de récidive, les sanctions peuvent être alourdies, avec des amendes répétées et un risque accru d’immobilisation du véhicule. Ces mesures strictes visent à dissuader les conducteurs de contourner les règles et à renforcer l’impact des ZFE sur la qualité de l’air urbain.

Les Zones à Faibles Émissions incarnent un effort majeur de la part des pouvoirs publics pour réduire la pollution dans les zones urbaines. En imposant des restrictions aux véhicules les plus polluants, ces zones cherchent à encourager une mobilité plus respectueuse de l’environnement. Cependant, les automobilistes doivent être conscients des sanctions prévues en cas de non-respect des règles : des amendes significatives, un risque d’immobilisation de leur véhicule et des contrôles de plus en plus fréquents.

Pour les conducteurs, l’installation de la vignette Crit’Air et la prise en compte des restrictions de circulation dans les ZFE sont désormais des éléments incontournables. En se conformant aux règles des ZFE, ils participent à un effort collectif pour améliorer la qualité de l’air et rendre les villes plus respirables. La transition vers des véhicules propres est en marche, et les ZFE jouent un rôle clé pour encourager ce changement.

#OccasionCrit’air

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Le leasing social de retour en 2025

Avec l’essor de la mobilité électrique et les objectifs de décarbonation, le gouvernement français réintroduit en 2025 le dispositif de « leasing social » pour faciliter l’accès aux véhicules électriques. Cette solution, qui avait connu un franc succès lors de son lancement en 2024, permet aux ménages modestes de louer une voiture électrique pour environ 100 euros par mois. Ce programme s’inscrit dans la volonté de démocratiser l’usage des véhicules propres et de soutenir la transition écologique en France. Comment fonctionne le leasing social ? Quels sont les enjeux et les perspectives pour cette initiative ? Cet article explore en profondeur le retour de ce dispositif et ses impacts potentiels pour les automobilistes français.

Le leasing social renouvelé pour 2025 : un levier pour l’accès à l’électrique

Les objectifs et bénéfices du leasing social
Le leasing social est une solution de location longue durée accessible aux ménages modestes, permettant l’accès à un véhicule électrique pour un coût mensuel réduit, fixé autour de 100 euros. Cette initiative vise à soutenir les familles les plus vulnérables en les aidant à adopter des modes de transport plus propres. François Durovray, ministre délégué aux Transports, a confirmé cette reconduction, en précisant que l’objectif reste de cibler les ménages modestes pour leur permettre d’accéder à une mobilité durable.

Depuis son introduction, le leasing social a déjà bénéficié à plus de 50 000 foyers, marquant un tournant dans les ventes de véhicules électriques en France. Les véhicules électriques, autrefois considérés comme un luxe, sont désormais à la portée de ménages aux revenus modestes. En réduisant le coût de la location, le gouvernement souhaite encourager l’abandon des véhicules polluants au profit de modèles électriques, contribuant ainsi à la réduction des émissions de CO2.

Un succès initial, mais des défis à surmonter
Malgré le succès rencontré, le leasing social doit faire face à des défis pour répondre aux besoins croissants. En 2024, le programme a été suspendu temporairement en raison d’une forte demande, mettant en lumière la popularité et l’efficacité du dispositif, mais aussi ses limites en termes de budget. Pour cette nouvelle édition, l’État a prévu un financement revu à la baisse, passant de 1,5 milliard d’euros à 1 milliard d’euros. Ce réajustement pourrait affecter le nombre de bénéficiaires ou les conditions d’accès, même si le gouvernement affirme que le soutien sera priorisé pour les ménages les plus modestes.

Avec cette initiative, le gouvernement espère aussi encourager les conducteurs à opter pour des véhicules respectueux de l’environnement, en ciblant des régions où les zones à faibles émissions se multiplient. La reconduction de ce programme représente donc un enjeu clé pour l’avenir de la mobilité électrique en France, notamment dans les zones urbaines denses où les restrictions de circulation se durcissent.

Les perspectives du leasing social : vers une démocratisation accrue des véhicules électriques

L’extension du leasing social aux flottes d’entreprises : un axe stratégique
Outre les ménages, le gouvernement explore aussi la possibilité d’étendre le dispositif aux flottes d’entreprises. Les entreprises achètent près de 50 % des véhicules neufs en France, et leur transition vers des flottes décarbonées pourrait avoir un impact significatif sur le marché de l’occasion. Cependant, peu d’entre elles respectent encore l’obligation d’achat de véhicules à faibles émissions, posant un frein à la croissance du parc de voitures électriques en France.

En incitant les entreprises à adopter le leasing social, le gouvernement espère dynamiser les ventes de véhicules électriques tout en renforçant le marché des véhicules d’occasion électriques, facilitant leur acquisition par des particuliers. Les responsables politiques soulignent que l’adoption de véhicules électriques par les entreprises est cruciale pour atteindre les objectifs de décarbonation. Cette stratégie pourrait ainsi accélérer la transition vers une économie verte tout en permettant aux ménages d’accéder à des véhicules électriques d’occasion plus abordables.

Vers une adoption généralisée du leasing social : quels défis pour l’avenir ?
Le retour du leasing social pose aussi des questions pour l’avenir. Avec un budget plus restreint, il sera essentiel pour le gouvernement de maintenir les conditions d’un leasing à 100 euros par mois tout en respectant les exigences budgétaires. L’accessibilité aux véhicules électriques pour les ménages modestes est primordiale pour une transition écologique inclusive, mais elle nécessite des moyens financiers conséquents.

Par ailleurs, la gestion des stocks de véhicules électriques pourrait également poser problème. Le programme doit répondre à une demande croissante sans provoquer de ruptures de stocks, comme ce fut le cas en 2024. De plus, l’offre devra inclure des modèles adaptés à des besoins variés, notamment des familles nombreuses ou des conducteurs de longue distance. Le défi sera donc d’offrir une gamme de véhicules suffisamment diversifiée pour répondre aux exigences d’une population aux profils différents.

Le leasing social, avec son retour en 2025, constitue un levier puissant pour rendre la mobilité électrique accessible au plus grand nombre. En ciblant les ménages modestes, le gouvernement souhaite démocratiser l’accès aux véhicules électriques et renforcer les efforts de décarbonation des transports. Bien que le succès de cette initiative soit indéniable, des défis restent à surmonter, notamment en termes de financement, de gestion des stocks et d’extension aux entreprises. Le leasing social incarne toutefois une avancée significative vers une mobilité plus propre et durable en France, permettant aux familles de participer activement à la transition écologique tout en bénéficiant d’un mode de transport moderne et respectueux de l’environnement. Si le dispositif se développe comme prévu, il pourrait transformer durablement le paysage automobile français, en faisant de la voiture électrique un choix accessible pour tous, et non plus seulement une option pour les privilégiés.

#Financement

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Nouvelles restrictions Crit’Air : les changements à venir

2025 approche à grands pas et, avec elle, une nouvelle ère pour les automobilistes en France. Ceux qui s’accrochent encore à leur fidèle diesel de 2009 ou à leur vaillante essence de 2005 risquent de devoir dire adieu à leurs vieux compagnons de route. Oui, votre voiture, celle qui vous a fidèlement accompagné pendant des milliers de kilomètres, pourrait bien finir au garage pour de bon. Pourquoi ? À cause des Zones à Faibles Émissions (ZFE) et de la fameuse vignette Crit’Air, qui gagnent en importance.

Depuis 2021, ces ZFE fleurissent dans les villes de plus de 150 000 habitants, et les règles se durcissent. Dès janvier 2025, des millions de véhicules seront interdits de circulation dans ces zones si elles ne répondent pas aux critères imposés par le gouvernement. Un véritable tournant pour les conducteurs concernés.

Mais que signifient réellement ces nouvelles lois ? Quels sont les véhicules concernés ? Et surtout, comment anticiper ces changements ? Ne vous inquiétez pas, nous allons tout vous expliquer pour que vous soyez prêt à affronter ces nouvelles restrictions… sans devoir changer votre voiture toutes les cinq minutes (ou presque).

Comprendre la vignette Crit’Air et les Zones à Faibles Émissions (ZFE)

Depuis 2021, les Zones à Faibles Émissions (ZFE) et la vignette Crit’Air sont devenues des outils incontournables dans la lutte contre la pollution de l’air. Le principe est simple : limiter la circulation des véhicules les plus polluants dans les grandes agglomérations pour améliorer la qualité de l’air. Ces zones sont désormais implantées dans toutes les villes de plus de 150 000 habitants, avec des restrictions qui vont croissant.

Les catégories Crit’Air :
Pour déterminer quels véhicules peuvent rouler et lesquels seront bientôt bannis, le gouvernement a mis en place le système de vignette Crit’Air. Il existe six catégories de vignettes, allant de Crit’Air 0 (les véhicules électriques et hydrogène) à Crit’Air 5 (les véhicules les plus polluants). Voici un bref aperçu des différentes vignettes :

  • Crit’Air 0 : Les véhicules électriques et à hydrogène.
  • Crit’Air 1 : Les véhicules essence immatriculés après 2011 ou hybrides rechargeables.
  • Crit’Air 2 : Les diesels immatriculés après 2011 et les essences après 2006.
  • Crit’Air 3 : Les diesels entre 2001 et 2011 et les essences entre 1997 et 2006.
  • Crit’Air 4 : Les diesels immatriculés entre 1997 et 2001.
  • Crit’Air 5 : Les diesels d’avant 1997.

À partir de 2025, les véhicules classés Crit’Air 3 et au-delà seront progressivement interdits dans certaines zones, en particulier dans des villes comme Paris et Lyon, où la lutte contre la pollution s’intensifie.

Focus sur Crit’Air 3 :
Les véhicules Crit’Air 3 sont en ligne de mire pour 2025. Il s’agit majoritairement des voitures diesel immatriculées avant 2011 et des essences avant 2006. Et ces catégories représentent une part importante des voitures en circulation aujourd’hui : plus de 8 millions de véhicules seront affectés par ces restrictions renforcées. En d’autres termes, si vous possédez une voiture diesel de 2010, vous feriez mieux de vous préparer à une retraite anticipée pour elle.

Un exemple concret :
Prenons Jean, un père de famille de 45 ans vivant en périphérie de Paris. Il possède une vieille Renault Clio diesel de 2009. Jean l’adore, elle est fiable et ne lui a jamais fait défaut. Mais voilà, dès janvier 2025, Jean ne pourra plus entrer dans Paris avec sa Clio. Et comme il doit régulièrement s’y rendre pour son travail, il doit réfléchir à une solution… et vite.

L’impact des nouvelles restrictions Crit’Air dès 2025

Les nouvelles lois Crit’Air ne sont pas seulement des décisions bureaucratiques, elles vont profondément impacter le quotidien de millions d’automobilistes en France. Dès 2025, les villes qui ont déjà mis en place des ZFE vont accentuer les restrictions sur les véhicules les plus polluants.

Les villes concernées :
Certaines métropoles ont déjà confirmé qu’elles renforceront leurs restrictions dès janvier 2025. Paris et Lyon, par exemple, ont annoncé que les véhicules Crit’Air 3, majoritairement des diesels, seront définitivement bannis de leurs ZFE. D’autres villes comme Marseille, Strasbourg, et Rouen pourraient adopter une approche plus souple en fonction des résultats des négociations locales. Cependant, cela reste un sujet de débat, et les automobilistes devront rester informés des règles spécifiques de leur ville.

Les véhicules les plus touchés :
Si vous possédez une voiture diesel immatriculée avant 2011 ou une essence d’avant 2006, vous êtes directement concerné par ces restrictions. Cela représente environ 8 millions de véhicules en France, soit un nombre colossal. Les petites citadines, comme la Peugeot 206, ou des voitures populaires comme la Renault Mégane ou encore les Volkswagen Golf de cette époque, risquent de se retrouver sur la liste noire des ZFE.

L’impact social et économique :
L’un des aspects les plus préoccupants de cette mesure est son impact sur les conducteurs les plus modestes. En effet, les propriétaires de voitures plus anciennes, souvent des ménages aux revenus modestes, se retrouvent confrontés à un dilemme. Remplacer un véhicule coûte cher, et les aides gouvernementales, bien que présentes, ne suffisent pas toujours à combler l’écart financier.

Pour certains, le coût d’un nouveau véhicule hybride ou électrique, même avec la prime à la conversion, reste un investissement impossible. De plus, ces restrictions pourraient entraîner une baisse significative de la valeur des voitures Crit’Air 3 et 4 sur le marché de l’occasion, rendant encore plus difficile la transition pour de nombreux foyers.

Solutions potentielles :
Heureusement, il existe des solutions. Si vous êtes concerné, voici quelques options :

  • Changer de véhicule : Oui, c’est évident, mais nécessaire. Se tourner vers des véhicules Crit’Air 1 ou 2 est une bonne option pour éviter les restrictions à venir. Des modèles hybrides ou électriques pourraient même vous permettre de rouler sans encombre dans toutes les ZFE.
  • Conversion en électrique : Certaines entreprises proposent de convertir votre voiture essence ou diesel en véhicule électrique. Cela peut être coûteux, mais avec les aides à la conversion, cela devient plus accessible.

Comment anticiper ces nouvelles restrictions ?

Face à ces bouleversements, la meilleure solution est d’anticiper. Voici quelques conseils pour rester dans les clous et ne pas vous retrouver bloqué aux portes des ZFE.

Quelles alternatives ?
De nombreuses options sont disponibles pour les automobilistes qui souhaitent continuer à rouler sans restrictions. Les véhicules Crit’Air 1 et 2, notamment les hybrides et les électriques, restent la meilleure solution. Ces modèles peuvent encore circuler librement dans toutes les villes, et ils représentent une excellente alternative pour ceux qui veulent être à l’abri des futures interdictions.

Si vous envisagez de changer de véhicule, c’est le moment idéal pour consulter les offres de véhicules Crit’Air 1 et 2 disponibles sur notre site. Vous y trouverez des modèles adaptés à vos besoins et prêts à vous accompagner dans cette transition écologique.

Aides financières :
Pour faciliter ce changement, des aides financières sont à votre disposition. La prime à la conversion permet de bénéficier d’une aide substantielle lors de l’achat d’un véhicule plus écologique. Le bonus écologique, lui, est une incitation pour ceux qui optent pour une voiture électrique ou hybride rechargeable. Ces aides peuvent faire une réelle différence, surtout pour les ménages modestes.

Suivre les évolutions :
Enfin, il est crucial de suivre les évolutions des réglementations. Les lois en matière de ZFE et Crit’Air évoluent régulièrement, et certaines villes peuvent ajuster leurs règles en fonction des besoins locaux. Restez à l’affût des nouvelles pour éviter toute mauvaise surprise.

Quelques bonnes pratiques :
Si vous habitez dans une ZFE, prenez l’habitude de consulter les restrictions en vigueur dans votre ville avant de partir. Si vous ne pouvez pas remplacer votre véhicule immédiatement, pensez aux alternatives comme les transports en commun, le covoiturage, ou encore le vélo.

En 2025, la circulation dans les grandes villes françaises ne sera plus la même. Les lois Crit’Air, qui visaient à réduire la pollution, vont affecter des millions d’automobilistes. Si vous possédez une voiture Crit’Air 3 ou plus, il est temps de penser à la suite.

La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des solutions. Entre les aides à la conversion, les véhicules hybrides ou électriques, vous pouvez anticiper ces changements et continuer à rouler sans souci.

#OccasionCritAir1

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Où acheter sa voiture au meilleur prix ?

Trouver la perle rare

Acheter une voiture, c’est un peu comme chercher la perle rare. Ce choix peut vite devenir un casse-tête. Faut-il passer par un particulier pour économiser quelques euros ? Ou bien opter pour une concession pour être sûr de ce que l’on achète ?

Le marché de l’automobile regorge d’options : annonces en ligne, petites annonces dans les journaux, concessions… Les automobilistes hésitent souvent entre ces différentes alternatives. Pourtant, il existe un lieu qui réunit tous les avantages sans les inconvénients : la concession automobile. Pourquoi ? Parce qu’elle offre des garanties, des prix ajustés, et surtout, une tranquillité d’esprit.

Dans cet article, nous allons comparer les principales solutions d’achat, pour vous démontrer pourquoi la concession reste l’option la plus fiable pour acheter votre véhicule au meilleur prix. Spoiler alert : à la fin de cet article, vous serez peut-être prêts à passer voir ce que les concessions proposent !

Chapitre 1 : Les différents lieux d’achat possibles

Lorsque l’on cherche à acheter une voiture, trois options principales s’offrent à nous : l’achat auprès d’un particulier, l’achat en ligne, et l’achat en concession. Voyons ensemble les avantages et inconvénients de chacune.

1. Achat auprès de particuliers

L’achat directement auprès d’un particulier, via des plateformes de petites annonces comme LeBonCoin ou des groupes Facebook, est une option très populaire. C’est souvent là que vous trouverez les prix les plus bas. Les vendeurs particuliers n’ont pas les mêmes charges qu’une concession (pas de locaux, pas de personnel à rémunérer, etc.), ce qui leur permet de proposer des tarifs plus attractifs.

Cependant, cette solution présente plusieurs inconvénients de taille. Le premier, et non des moindres : les risques. Acheter une voiture à un particulier, c’est un peu comme jouer au poker. Vous n’avez aucune garantie que la voiture est en bon état, que le kilométrage est réel, ou même que le véhicule n’a pas été accidenté. Et en cas de problème, bon courage pour obtenir un quelconque dédommagement. Sans parler des arnaques, malheureusement courantes dans les transactions entre particuliers.

2. Achat en ligne (e-commerce automobile)

Avec l’essor du digital, il est aujourd’hui possible d’acheter sa voiture directement en ligne, sans jamais mettre les pieds dans une concession. Certaines plateformes proposent une large sélection de véhicules neufs ou d’occasion. L’avantage principal ? La simplicité. En quelques clics, vous pouvez comparer les prix, consulter les avis clients, et même faire livrer votre véhicule chez vous.

Mais l’achat en ligne présente aussi quelques désavantages. D’abord, vous n’avez pas la possibilité de voir ou essayer le véhicule avant l’achat. Cela peut être problématique pour un investissement aussi important qu’une voiture. De plus, bien que les plateformes en ligne offrent parfois des garanties, elles sont souvent moins robustes que celles proposées en concession.

3. Achat en concession automobile

Ah, la concession… Souvent perçue comme l’option la plus chère, elle est pourtant celle qui offre le plus de sécurité et de services. Que vous cherchiez un véhicule neuf ou d’occasion, la concession vous propose un large choix, avec la garantie que chaque voiture a été inspectée, révisée et, bien souvent, garantie. Les prix en concession incluent souvent des services que vous ne trouverez nulle part ailleurs : révision, contrôle technique, et souvent une garantie prolongée.

Sans oublier que l’achat en concession vous permet de bénéficier d’un service personnalisé. Un conseiller sera là pour vous aider à choisir le modèle qui correspond parfaitement à vos besoins et à votre budget. Et ça, c’est un luxe que l’on ne trouve pas partout !

Chapitre 2 : Pourquoi acheter en concession est avantageux ?

Vous l’aurez compris, acheter en concession automobile présente de nombreux avantages. Mais rentrons un peu plus dans les détails pour bien comprendre pourquoi cette option est la meilleure pour vous.

1. Un large choix de véhicules contrôlés et garantis

Quand vous achetez en concession, vous avez accès à deux types de véhicules : les voitures neuves et les véhicules d’occasion certifiés.

Véhicules neufs :

Les concessionnaires proposent les derniers modèles de voitures, avec toutes les options possibles et imaginables. Acheter un véhicule neuf en concession, c’est s’assurer d’obtenir la dernière technologie, un kilométrage vierge et une garantie constructeur. Pas de mauvaises surprises ici : vous savez exactement ce que vous achetez, et vous êtes protégé en cas de problème mécanique.

Véhicules d’occasion certifiés :

Si vous avez un budget un peu plus restreint, l’achat d’une voiture d’occasion en concession est une excellente alternative. Contrairement à un achat auprès d’un particulier, les véhicules d’occasion en concession sont systématiquement contrôlés, révisés et souvent garantis pendant plusieurs mois, voire plusieurs années. De plus, les voitures vendues en concession proviennent souvent de reprises ou de contrats de leasing, ce qui signifie qu’elles ont été bien entretenues.

Dans tous les cas, vous pouvez partir l’esprit tranquille, car la concession s’engage sur la qualité du véhicule. Et ce n’est pas un détail à prendre à la légère !

2. Des offres financières adaptées et transparentes

L’un des principaux atouts d’une concession est la flexibilité financière qu’elle offre. Contrairement aux achats entre particuliers, où vous devez souvent payer en une seule fois, les concessions proposent des solutions de financement adaptées à votre budget.

Crédit, leasing, LOA/LLD :

Les concessionnaires travaillent avec des institutions financières pour vous proposer des offres de crédit, de leasing ou de location longue durée (LLD). Ces solutions permettent de mensualiser votre achat, ce qui est souvent plus confortable que de sortir une grosse somme d’argent d’un coup. De plus, les taux proposés sont souvent compétitifs, surtout si vous achetez lors de promotions spéciales.

Transparence des prix :

Un autre avantage de l’achat en concession est la transparence des prix. Contrairement à un particulier qui peut parfois « oublier » de vous signaler certains frais ou réparations à prévoir, le prix en concession est clair et tout est pris en charge. Pas de mauvaise surprise au moment de signer le contrat !

3. Le service après-vente

Le service après-vente est sans doute l’un des plus grands atouts des concessions automobiles. En achetant votre voiture en concession, vous bénéficiez d’une assistance en cas de problème, d’une garantie qui peut couvrir les réparations pendant plusieurs années, et d’un accès privilégié à des services d’entretien et de révision.

Assistance et garanties :

Les concessions offrent souvent des garanties supplémentaires sur les véhicules qu’elles vendent, qu’ils soient neufs ou d’occasion. Ces garanties peuvent couvrir les pannes mécaniques ou électroniques pendant plusieurs années, vous épargnant ainsi de gros frais de réparation.

Programmes de fidélité et avantages client :

Enfin, acheter en concession vous permet d’accéder à des programmes de fidélité, des remises sur l’entretien et parfois même des services comme la prise en charge à domicile pour les révisions. Autant d’avantages qui font toute la différence sur le long terme.

Chapitre 3 : Comment tirer le meilleur prix en concession ?

Maintenant que vous êtes convaincu que la concession est la meilleure option pour acheter votre voiture, voici quelques astuces pour obtenir le meilleur prix possible.

1. Comparer les offres

N’hésitez pas à visiter plusieurs concessions pour comparer les prix et obtenir plusieurs devis. Même si les concessions d’une même marque proposent souvent des prix similaires, il peut y avoir des différences selon les promotions en cours ou les offres spéciales.

2. Profiter des promotions et événements

Les concessions organisent régulièrement des événements spéciaux, comme les journées portes ouvertes, où elles proposent des offres promotionnelles très intéressantes. Les périodes de soldes ou de fin d’année sont aussi propices à obtenir des réductions importantes.

3. Négocier le prix et les services

En concession, il est tout à fait possible de négocier, non seulement le prix du véhicule, mais aussi les services qui l’accompagnent. Par exemple, vous pouvez essayer de faire inclure l’entretien gratuit pendant un an ou encore obtenir une extension de garantie sans surcoût.

Conclusion : Et si on passait à l’action ?

En résumé, acheter sa voiture au meilleur prix, c’est avant tout une question de sécurité, de transparence et de services. Si l’achat auprès d’un particulier ou en ligne peut sembler plus économique à première vue, la concession automobile reste de loin l’option la plus fiable et la plus avantageuse à long terme.

Alors, prêt à sauter le pas ? Ou préférez-vous continuer à scruter les annonces en ligne comme un détective privé ? Si vous êtes convaincus, découvrez sans plus attendre notre large sélection de véhicules disponibles sur notre site. Qui sait, votre future voiture vous attend peut-être déjà !

#Concession

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Véhicules utilitaires électriques : et si la révolution passait à la vitesse supérieure ?

Imaginez un instant. Les routes françaises, autrefois bruyantes avec le ronronnement des moteurs diesel et essence, deviennent soudainement aussi calmes qu’une promenade matinale en pleine campagne. Comment ? Avec une multiplication par 30 des véhicules utilitaires électriques (VUE). C’est un potentiel réaliste, encouragé par les tendances actuelles du marché et la volonté de l’État français. Mais qu’est-ce que cela impliquerait exactement, et surtout, est-ce réalisable ?

À l’heure où l’État français vise à sextupler le nombre de véhicules utilitaires légers électriques (VULe) d’ici 2027, et où les ventes de ces véhicules augmentent de manière exponentielle (+20 % au premier trimestre), la question n’est plus si cette révolution est en marche, mais à quelle vitesse elle se produira. Alors, voyons de plus près ce que ce boom signifierait pour la France et, surtout, pour vous, automobilistes et professionnels.

Chapitre 1 : L’état actuel du marché des véhicules utilitaires électriques en France

Pour comprendre ce que pourrait signifier une multiplication par 30 des véhicules utilitaires électriques, il est essentiel de faire d’abord le point sur l’état actuel de ce marché.

Des chiffres en pleine croissance

Aujourd’hui, le marché des véhicules utilitaires légers (VUL) électriques en France connaît une belle croissance. En 2023, les ventes de VUL ont globalement augmenté de 8,84 %, et les utilitaires électriques affichent une progression encore plus impressionnante de 20 % sur la même période. Ce sont de bonnes nouvelles, car cette augmentation reflète une prise de conscience de plus en plus forte des entreprises et des particuliers quant à l’importance de réduire leur empreinte carbone.

Le gouvernement ne cache pas son ambition. Il veut sextupler le nombre de ces véhicules d’ici 2027. Ce n’est pas anodin : il s’agit d’une démarche en phase avec les objectifs environnementaux de la France, qui vise la neutralité carbone d’ici 2050. Cette ambition est appuyée par des accords stratégiques avec l’industrie automobile, avec certains constructeurs prêts à tout pour se positionner comme des leaders du changement et prêts à accélérer l’électrification de leurs flottes et à proposer une gamme toujours plus variée de modèles électriques.

Une offre de plus en plus diversifiée

En effet, l’offre des VUL électriques s’étoffe rapidement. De nombreux modèles sont désormais disponibles sur le marché, adaptés à divers usages professionnels. Renault, par exemple, propose son Kangoo Z.E., un classique réinventé pour l’électrique, tandis que Stellantis, avec ses marques Citroën, Peugeot et Opel, rivalise avec des utilitaires comme le Citroën ë-Jumpy ou le Peugeot e-Expert. De même pour la marque MAXUS qui en est elle spécialisée ! Ces véhicules sont conçus pour répondre aux besoins spécifiques des professionnels : autonomie suffisante pour les trajets urbains ou périurbains, capacités de charge comparables aux versions thermiques, et des coûts d’entretien plus faibles.

Les avantages pour les utilisateurs

Le choix de passer à l’électrique est motivé par plusieurs avantages. Tout d’abord, le coût d’utilisation est nettement inférieur : pas de carburant à acheter, un entretien réduit (pas d’huile moteur à changer, moins de pièces mécaniques à entretenir), et des incitations fiscales attrayantes. Sans oublier l’impact écologique : en optant pour un utilitaire électrique, les entreprises affichent un engagement écoresponsable qui peut aussi séduire leurs clients.

Cependant, tout n’est pas encore parfait. L’autonomie des batteries, bien que meilleure qu’il y a quelques années, reste un point de vigilance pour certains utilisateurs. De plus, le coût initial à l’achat est encore plus élevé que pour les modèles thermiques, même si les subventions peuvent en compenser une partie.

Chapitre 2 : Que se passerait-il si on multipliait par 30 le nombre de VEU ?

Imaginons maintenant que le nombre de véhicules utilitaires électriques en France soit multiplié par 30. Quelles seraient les conséquences pour l’environnement, l’économie, les infrastructures et, plus globalement, notre quotidien ?

Un impact environnemental majeur

La première et la plus évidente conséquence serait une réduction drastique des émissions de CO2. Les véhicules utilitaires thermiques, souvent utilisés en zones urbaines pour des livraisons ou des services, contribuent significativement à la pollution de l’air. Avec 30 fois plus de VEU, cette pollution serait considérablement réduite, entraînant une amélioration tangible de la qualité de l’air dans les grandes villes. Imaginez un Paris où les pics de pollution ne seraient plus qu’un lointain souvenir !

En outre, les VUE ne produisent pas de bruit de moteur. Leurs utilisateurs apprécieront donc non seulement une réduction des émissions polluantes, mais également une baisse significative de la pollution sonore, particulièrement en milieu urbain.

Un levier économique puissant

Pour les entreprises, multiplier par 30 le nombre de VUE aurait aussi des répercussions économiques importantes. En optant pour ces véhicules, les entreprises verraient leur coût d’exploitation baisser considérablement. Les économies sur le carburant et les réductions fiscales se traduiraient directement en bénéfices supplémentaires. À plus grande échelle, cela pourrait encourager davantage de PME à investir dans des flottes électriques et à moderniser leurs opérations.

Par ailleurs, l’industrie automobile, grâce à son partenariat stratégique avec l’État, bénéficierait d’un coup de fouet. Renault et Stellantis, déjà en première ligne de cette révolution, continueraient de développer de nouvelles technologies de batteries et d’innover pour améliorer encore l’autonomie et réduire les coûts de production.

Des infrastructures à renforcer

Évidemment, cette multiplication des VUE nécessiterait une adaptation majeure des infrastructures. Le réseau de bornes de recharge, bien qu’en pleine expansion, devrait suivre le rythme. Actuellement, la France compte environ 80 000 points de recharge pour les véhicules électriques. Si nous visons une multiplication par 30 du nombre de VUE, il faudrait également multiplier les infrastructures de recharge, non seulement en milieu urbain, mais aussi en zones rurales. Les autoroutes devraient être équipées de stations de recharge rapide, et les entreprises pourraient même installer leurs propres bornes pour optimiser la logistique.

Une évolution des mentalités

Ce boom du véhicule utilitaire électrique changerait également la manière dont les entreprises et les particuliers perçoivent ces véhicules. Aujourd’hui, certains hésitent encore à franchir le pas de l’électrique en raison de préjugés sur l’autonomie ou les performances. Avec une adoption massive, ces idées préconçues disparaîtraient. Les VUE deviendraient la norme, et leur popularité contribuerait à accélérer l’acceptation par l’ensemble du marché.

Chapitre 3 : Ce qui doit être fait pour que cela devienne une réalité

Pour que cette multiplication par 30 devienne réalité, plusieurs actions doivent être entreprises, aussi bien du côté des pouvoirs publics que des constructeurs et des consommateurs.

Un soutien politique accru

L’État français a déjà montré qu’il est prêt à soutenir l’électrification du parc automobile. Mais pour aller plus loin, il est essentiel de continuer à offrir des incitations fiscales et financières, comme des primes à l’achat ou des avantages fiscaux pour les entreprises équipant leur flotte en véhicules électriques. Une politique encore plus ambitieuse pourrait inclure des sanctions pour les véhicules thermiques les plus polluants, comme cela se fait dans d’autres pays européens.

Le rôle des constructeurs

Les constructeurs, quant à eux, doivent poursuivre leurs efforts d’innovation. Ils devront non seulement produire des véhicules toujours plus performants, mais aussi s’assurer que leur production est durable, en utilisant des matériaux plus écologiques et en optimisant leurs processus de fabrication.

Sensibiliser et informer

Enfin, pour que ce changement devienne réalité, il est crucial de sensibiliser le public, notamment les professionnels, sur les bénéfices réels de l’électrique. De nombreuses entreprises hésitent encore, souvent par méconnaissance ou par crainte des coûts initiaux. Il est donc essentiel de leur fournir des informations précises sur les économies à long terme et sur les avantages écologiques.

30 fois plus d’utilitaires électriques ? On signe où ?

Avec des ventes en hausse, des engagements clairs de l’État et des constructeurs, ainsi que des avantages indéniables pour les entreprises et l’environnement, il est tout à fait envisageable que la France voie son parc de véhicules utilitaires électriques se multiplier par 30 dans un futur proche. Si cela devient réalité, nos routes seront plus silencieuses, notre air plus pur et nos entreprises plus compétitives. Alors, qu’attendons-nous ? Il ne vous reste plus qu’à découvrir les modèles disponibles dès maintenant. D’ailleurs, pourquoi ne pas jeter un œil à nos utilitaires électriques disponibles sur notre site ? Parce que l’avenir, c’est aujourd’hui !

#OccasionUtilitaires

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Mondial de l’Auto 2024 : Tout ce qu’il faut savoir pour ne rien manquer

L’année 2024 marque une nouvelle édition du Mondial de l’Auto, un événement incontournable pour les amateurs et professionnels de l’industrie automobile. Organisé tous les ans à Paris, ce salon attire des milliers de visiteurs venant découvrir les dernières innovations technologiques et tendances en matière de véhicules. Dans cet article, nous vous présenterons le salon ainsi que les informations pratiques. Que vous soyez un passionné de voitures ou un professionnel à la recherche d’opportunités d’affaires, ce guide est fait pour vous.

1. Dates et lieu : le rendez-vous des passionnés

La 90ème édition du Mondial de l’Auto 2024 se tiendra du 14 au 20 octobre 2024 à Paris Expo Porte de Versailles, l’un des plus grands centres d’exposition en Europe. Cette édition promet d’être marquée par des nouveautés qui mettront en avant les technologies innovantes, telles que les véhicules électriques, hybrides et autonomes. Les visiteurs auront une semaine pour explorer les différentes expositions et profiter des conférences, démonstrations et lancements de nouveaux modèles.

2. Informations pratiques : tout ce qu’il faut savoir pour bien préparer sa visite

Pour faciliter l’accès à cet événement majeur, le salon sera ouvert du mardi 15 au dimanche 20 octobre de 09h30 à 20h00 (dernier accès à 19h00) sauf les vendredi et samedi où le salon fermera ses portes à 22h00 (dernier accès 21h00) et le dimanche de 09h00 à 18h30.

Les billets peuvent être achetés en ligne sur le site officiel du Mondial de l’Auto 2024, avec des tarifs réduits pour les enfants et les groupes. Voici les tarifs :

  • Plein tarif Adulte : 18,00€
  • Tarif enfant : 10,00€
  • Tarif nocturne : 16,00€

D’autres offres de groupes ou spécifiques (PMR et PSH) sont disponibles sur la billetterie en ligne.

De plus votre billet ne vous est pas envoyé au moment de la commande mais quelques jours à l’approche du Mondial de l’auto 2024. Le billet n’aura pas l’obligation d’être imprimé et une version digitale pourra être utilisée.

Côté transport, le lieu est facilement accessible via les transports en commun parisiens, notamment la ligne de métro 12, la ligne de tramway T2 et plusieurs lignes de bus. Des parkings sont également disponibles pour les visiteurs venant en voiture, bien que l’utilisation des transports en commun soit encouragée afin de limiter l’empreinte écologique de l’événement.

3. Les temps forts du salon : entre innovation et démonstration

Le Mondial de l’Auto 2024 mettra particulièrement l’accent sur la mobilité durable et l’innovation technologique. Les véhicules électriques et hybrides seront au cœur des présentations, avec plusieurs marques qui profiteront de l’occasion pour dévoiler leurs nouveaux modèles « verts ». De plus, les visiteurs pourront tester certains véhicules sur des pistes aménagées spécialement pour des démonstrations en conditions réelles.

Des conférences thématiques seront également organisées pour aborder des sujets variés tels que la voiture autonome, l’intelligence artificielle appliquée à l’automobile, ainsi que l’avenir de la mobilité urbaine. Enfin, un espace dédié aux start-ups permettra de découvrir des innovations prometteuses qui pourraient révolutionner l’industrie dans les années à venir.

Le Mondial de l’Auto 2024 s’annonce comme un événement majeur, où l’innovation technologique et les solutions de mobilité durable seront à l’honneur. Que vous soyez simple visiteur ou professionnel de l’industrie, ce salon est une occasion unique de découvrir les tendances qui façonneront l’automobile de demain. N’oubliez pas de réserver vos billets à l’avance et de préparer votre visite pour profiter pleinement des sept jours d’exposition et d’événements.

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Des nouveaux radars de covoiturage se multiplient en France

Face aux enjeux environnementaux et à la nécessité de fluidifier le trafic routier, la France intensifie ses efforts pour encourager le covoiturage. Une des mesures phares de cette stratégie est l’installation de radars de covoiturage. Ces dispositifs, encore méconnus du grand public, jouent un rôle crucial dans le respect des voies réservées aux covoitureurs. Dans cet article, nous allons découvrir ces nouveaux radars, leurs emplacements récents et leur impact global sur le territoire français.

Les nouveaux radars de covoiturage : une innovation au service de la mobilité

Les radars de covoiturage sont des dispositifs technologiques innovants conçus pour contrôler l’utilisation des voies réservées aux véhicules pratiquant le covoiturage. Leur objectif principal est de vérifier que les véhicules empruntant ces voies spéciales transportent bien le nombre minimum de passagers requis. Grâce à des capteurs et des caméras intelligentes, ces radars peuvent détecter le nombre d’occupants à bord d’un véhicule, garantissant ainsi que les règles de covoiturage sont respectées.

Ces radars sont généralement installés sur les axes routiers les plus fréquentés, où des voies dédiées au covoiturage ont été aménagées. En cas d’infraction, les conducteurs peuvent être automatiquement verbalisés, incitant ainsi davantage de personnes à adopter le covoiturage pour éviter les amendes et bénéficier d’une circulation plus fluide.

Les nouveaux radars installés en France

Trois nouveaux radars de covoiturage ont récemment été installés en France, témoignant de la volonté des autorités de renforcer le contrôle et l’efficacité de ces dispositifs. Voici les emplacements de ces nouveaux radars :

  1. Strasbourg : sur la M35 à Schiltigheim, près de Strasbourg. Celui-ci surveille une voie réservée active uniquement durant les périodes de pointe, c’est-à-dire du lundi au vendredi de 6:00 à 10:00 et de 16:00 à 19:00.
  2. Marseille : Le deuxième radar a été mis en place sur l’A520 à Aubagne, près de Marseille. Contrairement à celui de Schiltigheim, cette voie réservée est active en permanence, avec une limitation de vitesse stricte fixée à 50 km/h.
  3. Bordeaux : Enfin, le dernier a quant à lui été installé sur l’A10 à Saint-Vincent-de-Paul, près de Bordeaux.

Un réseau en expansion

Avec l’ajout de ces trois nouveaux radars, la France compte désormais un total de 14 radars de covoiturage répartis sur l’ensemble du territoire. Ces dispositifs sont principalement concentrés dans les grandes agglomérations et sur les axes routiers à fort trafic, où ils peuvent avoir le plus grand impact.

Le gouvernement prévoit d’installer encore plus de radars de covoiturage dans les années à venir, dans le cadre de son plan national de mobilité durable. Cette expansion vise à créer un réseau cohérent et efficace, encourageant les pratiques de covoiturage à grande échelle et améliorant ainsi la fluidité du trafic et la qualité de vie des citoyens.

Les radars de covoiturage représentent une avancée significative dans la promotion de la mobilité durable en France. En surveillant et en faisant respecter les voies réservées, ces dispositifs encouragent les automobilistes à partager leurs trajets, réduisant ainsi les embouteillages et les émissions de CO2. Avec 14 radars déjà en place et de nouveaux projets d’installation en cours, la France se positionne comme un leader européen dans l’adoption de solutions technologiques pour une mobilité plus verte et plus efficace. Le succès de cette initiative dépendra toutefois de l’adhésion des citoyens et de leur volonté de changer leurs habitudes de déplacement pour le bien commun.