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Marché Automobile

Les 10 voitures les plus vendues en France en 2024

En 2024, le marché automobile français a enregistré 1 718 417 immatriculations de voitures neuves, soit une baisse de 3,17 % par rapport à 2023. Malgré ce recul, certains modèles ont su tirer leur épingle du jeu. Voici le classement des 10 voitures les plus vendues :

1. Renault Clio V

La citadine au losange reprend la tête du classement grâce à une fin d’année dynamique, notamment en décembre avec plus de 10 000 immatriculations.

2. Peugeot 208 II

Malgré un léger recul, la 208 reste une valeur sûre du marché français, appréciée pour son design et ses performances.

3. Dacia Sandero III

La Sandero continue de séduire par son excellent rapport qualité-prix, consolidant sa place sur le podium.

4. Peugeot 2008 II

Le SUV compact de Peugeot confirme son succès, notamment grâce à son restylage et ses motorisations variées.

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5. Renault Captur II

Le Captur reste un choix populaire parmi les SUV urbains, apprécié pour sa modularité et ses équipements.

6. Citroën C3 III

La C3 continue de plaire avec son design original et ses nombreuses options de personnalisation.

7. Peugeot 308 III

La compacte de Peugeot séduit par son style dynamique et ses technologies embarquées.

8. Toyota Yaris

La Yaris, produite en France, bénéficie de la popularité des motorisations hybrides et d’une fiabilité reconnue.

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9. Toyota Yaris Cross

Le SUV urbain de Toyota, également fabriqué en France, confirme son succès auprès des conducteurs français.

10. Tesla Model Y

Le SUV électrique de Tesla s’impose comme le véhicule électrique le plus vendu en France en 2024, malgré une baisse des ventes de la marque.

Renault, Peugeot et Citroën occupent majoritairement le top 10, témoignant de leur ancrage sur le marché national. Le groupe Stellantis, qui comprend Peugeot, Citroën et Opel, reste en tête des ventes avec une part de marché de 28,5 %, suivi par le groupe Renault avec 25,8 %.

Les modèles comme le Peugeot 2008, le Renault Captur et le Toyota Yaris Cross illustrent l’engouement des Français pour les SUV compacts. Les SUV représentent une part croissante des ventes, répondant à la demande des consommateurs pour des véhicules polyvalents et au design affirmé.

Le marché automobile français en 2024 a été marqué par une légère baisse des immatriculations, mais aussi par des tendances significatives : la domination des constructeurs nationaux, la montée en puissance des SUV et des motorisations hybrides, ainsi qu’une adoption plus mesurée des véhicules électriques. Les préférences des consommateurs évoluent, influencées par des considérations économiques, écologiques et pratiques.

Et pour découvrir l’occasion de vos rêves rendez-vous sur notre page spéciale occasions !

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Pratique Auto

Pourquoi les délais de livraison des véhicules neufs varient-ils autant ?

Vous avez trouvé la voiture de vos rêves, signé le bon de commande… et là, le couperet tombe : « Le délai de livraison est estimé à six mois ». Six mois ? Pour certains, ce sera trois. Pour d’autres, plus d’un an. Mais pourquoi un tel écart ? Pourquoi un SUV peut-il être livré en quelques semaines quand une citadine hybride exige des mois d’attente ?

Dans un marché automobile chamboulé par la crise sanitaire, la pénurie de composants, les nouvelles normes et les tensions géopolitiques, les délais de livraison sont devenus… tout sauf prévisibles. Décryptage des principaux facteurs qui expliquent ces variations.

1. La pénurie mondiale de composants électroniques

Premier coupable pointé du doigt : la pénurie de semi-conducteurs. Ces puces, essentielles au fonctionnement de nombreuses fonctions des véhicules modernes (écrans tactiles, capteurs, aides à la conduite, gestion moteur…), sont devenues une denrée rare depuis 2020. En cause : l’explosion de la demande dans d’autres secteurs (informatique, télécoms) et des capacités de production saturées.

Résultat ? Les constructeurs doivent adapter leur chaîne de production, prioriser certains modèles ou certaines finitions, voire suspendre temporairement l’assemblage de certains véhicules. Cela explique pourquoi deux modèles similaires peuvent avoir des délais très différents selon leur niveau de technologie embarquée.

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2. La logistique mondiale à flux tendu… et très vulnérable

Même lorsque les pièces sont disponibles, la logistique internationale peut allonger les délais. Les voitures sont souvent assemblées dans un pays, les pièces viennent d’un autre, et le transport maritime ou ferroviaire peut être soumis à des imprévus : grèves portuaires, hausse des coûts du fret, blocages géopolitiques (comme au canal de Suez ou en mer Rouge), etc.

Ajoutons à cela des retards dans le transport routier, des pénuries de chauffeurs, des problèmes de douanes liés au Brexit ou à d’autres réformes commerciales, et l’on comprend que la chaîne d’approvisionnement peut se gripper à tout moment. Chaque maillon fragilisé rejaillit sur les délais finaux.

3. Les spécificités de la commande : options, motorisations et popularité

Au-delà des contraintes externes, le choix du client joue un rôle non négligeable. Une version de base d’un modèle produit en masse aura logiquement un délai plus court qu’un modèle haut de gamme truffé d’options rares. Certaines motorisations (notamment hybrides ou électriques) peuvent être plus longues à produire en raison de la demande croissante et des capacités limitées des chaînes spécifiques.

De même, certains modèles très populaires ou en fin de vie peuvent connaître des retards à cause d’un carnet de commandes saturé ou d’une réorganisation des lignes de production.

Un autre facteur souvent ignoré : le pays d’origine. Un modèle fabriqué en Europe sera souvent livré plus rapidement qu’un modèle importé d’Asie ou d’Amérique, tout simplement pour des raisons de distance et de formalités administratives.

Les délais de livraison des véhicules neufs sont aujourd’hui le reflet d’un écosystème automobile mondial complexe, sensible aux moindres perturbations. Entre pénurie de composants, aléas logistiques et configurations personnalisées, il est devenu difficile de garantir une date de livraison précise au moment de la commande.

Cependant, il existe des alternatives pour les plus pressés : véhicules en stock, modèles déjà en transit ou encore choix de finitions plus standards peuvent permettre de réduire considérablement l’attente.

En résumé : plus vous êtes flexible, plus vous roulez vite ! Et en attendant, pourquoi ne pas jeter un œil aux véhicules disponibles immédiatement ?

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Pratique Auto

Éco-conduite : les gestes simples pour réduire son empreinte carbone

Et si rouler devenait un acte écoresponsable au quotidien ? À l’heure où les enjeux environnementaux sont au cœur des préoccupations, l’éco-conduite s’impose comme une pratique simple et efficace pour réduire son empreinte carbone. Moins de pollution, moins de consommation, moins de stress aussi… adopter quelques gestes en apparence anodins peut transformer la conduite en une démarche plus durable.

1. Éco-conduite : une démarche accessible à tous

L’éco-conduite regroupe un ensemble de techniques de conduite destinées à optimiser la consommation de carburant tout en limitant les émissions de CO₂. Elle ne nécessite aucun équipement particulier, simplement un peu de vigilance et de bon sens.

Parmi les principes de base :

  • Anticiper le trafic pour éviter les accélérations et freinages brusques.
  • Adopter une vitesse stable et modérée.
  • Passer les vitesses au bon moment : entre 2000 et 2500 tours/min pour un moteur essence, 1500 à 2000 pour un diesel.
  • Éviter de faire tourner le moteur à l’arrêt, y compris pour les arrêts courts.
  • Alléger la voiture : plus elle est lourde, plus elle consomme.

Ces gestes simples, une fois intégrés, deviennent vite réflexes. Et contrairement aux idées reçues, ils ne font pas perdre de temps… au contraire, ils offrent une conduite plus fluide et sereine.

2. Une réduction concrète de l’empreinte carbone

L’adoption de l’éco-conduite peut réduire jusqu’à 15 à 20 % de consommation de carburant. En chiffres, cela représente jusqu’à 300 kg de CO₂ en moins par an pour un conducteur moyen (selon l’ADEME). Imaginez l’impact si des milliers, voire des millions de conducteurs modifiaient leurs habitudes !

Outre le CO₂, une conduite souple limite également les émissions de particules fines et d’oxydes d’azote, responsables de la pollution de l’air en ville. C’est donc un geste utile pour l’environnement, mais aussi pour la santé publique.

En zone urbaine, les effets de l’éco-conduite sont d’autant plus visibles : avec des démarrages plus doux, des arrêts moteurs fréquents et une meilleure gestion de la vitesse, les nuisances sonores et les émissions sont considérablement réduites.

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3. Moins consommer, c’est aussi économiser

L’éco-conduite n’est pas seulement une affaire d’écologie : c’est aussi une bonne nouvelle pour votre budget ! En consommant moins de carburant, on économise en moyenne 150 à 300 € par an, selon le kilométrage.

Mais ce n’est pas tout :

  • Les pneus et les freins s’usent moins rapidement grâce à une conduite souple.
  • Le moteur est moins sollicité, ce qui allonge sa durée de vie.
  • L’assurance peut même être moins chère avec certaines compagnies valorisant les conducteurs écoresponsables.

Enfin, cette conduite plus douce contribue à réduire le stress au volant. Fini les coups de frein en panique ou les accélérations inutiles : l’éco-conduite invite à une conduite plus zen et attentive.

L’éco-conduite prouve qu’un simple changement d’habitudes peut avoir un impact significatif, tant sur l’environnement que sur nos finances. En adoptant ces gestes simples, chacun peut devenir acteur de la transition écologique, sans sacrifier son confort ni sa mobilité.

Rouler plus intelligemment, c’est rouler plus proprement. Et si demain, chaque trajet devenait un petit geste pour la planète ?

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Pratique Auto

Que faire si mon voyant moteur s’allume ?

Ce témoin qui inquiète à juste titre

Il s’est allumé. D’un coup. Sans prévenir. Ce petit symbole orange ou jaune, en forme de moteur, vous fixe depuis le tableau de bord. Et avec lui, mille questions : dois-je m’arrêter tout de suite ? Puis-je continuer à rouler ? Est-ce grave ou anodin ?

Le voyant moteur, ou « check engine », peut avoir plusieurs causes, allant d’un simple capteur capricieux à une panne grave menaçant la fiabilité du moteur. C’est pourquoi il est essentiel de savoir interpréter cette alerte et de réagir correctement, sans précipitation, mais sans la négliger non plus.

1. Voyant moteur allumé : quelles significations possibles ?

Avant toute action, il est important de comprendre le comportement du voyant moteur : fixe, clignotant, intermittent… chacun a sa signification.

Voyant moteur fixe : une anomalie est détectée

Lorsque le voyant moteur reste allumé en continu, cela signifie que l’électronique de bord a détecté une anomalie affectant les performances du moteur ou le système d’émission. Dans de nombreux cas, il est encore possible de conduire, mais il faut rester vigilant.

Ce voyant peut indiquer un problème :

  • Au niveau de l’injection ou de l’allumage
  • Sur le système d’échappement (filtre à particules, catalyseur)
  • Sur une sonde ou un capteur moteur
  • Sur le système antipollution

Même si la voiture semble fonctionner normalement, le risque est d’aggraver la panne en continuant à rouler longtemps sans diagnostic.

Voyant moteur clignotant : alerte grave

Un voyant moteur qui clignote est le signe d’un dysfonctionnement critique, pouvant endommager sérieusement le moteur ou le catalyseur si l’on continue à rouler. Il s’agit le plus souvent d’un problème de combustion, d’un injecteur défaillant ou d’une défaillance majeure dans le système antipollution.

Dans ce cas, il faut immédiatement arrêter le véhicule dès que les conditions de circulation le permettent, et contacter un professionnel ou l’assistance dépannage.

Le voyant s’est allumé puis éteint : à surveiller

Il arrive que le voyant moteur s’allume brièvement, par exemple au démarrage, ou après un plein de carburant, puis s’éteigne. Cela peut être dû à une erreur ponctuelle ou un capteur temporairement perturbé.

Dans ce cas, le réflexe à avoir est de :

  • Noter le moment exact où cela s’est produit
  • Observer tout comportement inhabituel du véhicule (consommation, bruit, vibration)
  • Faire un diagnostic si le phénomène se reproduit

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2. Diagnostiquer le problème : comment s’y prendre ?

Une fois le voyant allumé, il ne s’agit pas de se précipiter, mais de poser un diagnostic logique, basé sur l’observation et les bons outils.

Observer les signes visibles

Certains signes physiques permettent de savoir si la panne est sérieuse :

  • Le moteur fonctionne-t-il normalement ?
  • Y a-t-il des vibrations, des pertes de puissance, des à-coups ?
  • Entendez-vous des bruits inhabituels ?
  • Y a-t-il de la fumée qui s’échappe du pot d’échappement ?
  • Le véhicule cale-t-il au ralenti ?

Ces indices vous aideront à évaluer le niveau d’urgence, notamment si vous êtes sur la route.

Lire les codes d’erreur avec une valise de diagnostic

La méthode la plus fiable reste l’utilisation d’un outil de diagnostic électronique. Connecté à la prise OBD du véhicule, il permet de lire les codes défaut (DTC) générés par l’ordinateur de bord.

Plusieurs options existent :

  • Le garage ou concessionnaire, équipé d’outils professionnels
  • Certains centres de contrôle technique
  • Des outils accessibles aux particuliers (valise OBD ou dongle Bluetooth), à condition de bien savoir les interpréter

Un code d’erreur bien interprété permet de localiser précisément la panne et de décider des réparations nécessaires.

Ce qu’il ne faut jamais faire

  • Ignorer le voyant moteur sous prétexte que le véhicule roule encore normalement
  • Effacer le code défaut sans avoir réglé le problème : le voyant reviendra, et les dégâts pourraient être plus importants
  • Continuer à rouler avec un voyant clignotant : cela peut causer une casse moteur ou un endommagement irréversible du catalyseur

3. Que faire selon la gravité du problème ?

Toutes les pannes moteur ne nécessitent pas une intervention immédiate. Voici quelques cas concrets et la bonne attitude à adopter dans chaque situation.

Cas n°1 : panne mineure, véhicule roulant

Exemples :

  • Sonde lambda défectueuse
  • Capteur de température faussé
  • Vanne EGR encrassée

La voiture peut rouler normalement, sans bruit ou comportement anormal. Dans ce cas, il est recommandé de :

  • Prendre rapidement rendez-vous pour un diagnostic complet
  • Éviter les trajets longs ou rapides en attendant
  • Ne pas remettre la réparation à plus tard

Ces interventions restent généralement peu coûteuses si elles sont prises à temps.

Cas n°2 : dysfonctionnement impactant les performances

Exemples :

  • Défaut d’allumage (bobine, bougie)
  • Injecteur encrassé
  • Fuite sur le système d’admission

Ces pannes entraînent une perte de puissance, des ratés ou une surconsommation. Il est encore possible de rouler, mais au risque d’endommager d’autres éléments. Il faut consulter rapidement.

Parfois, une vidange, un décrassage moteur ou un traitement additif peuvent suffire, mais cela ne doit pas remplacer un diagnostic.Cas n°3 : panne critique, arrêt impératif

Exemples :

  • Surchauffe moteur
  • Mélange air-carburant incorrect
  • Allumage désynchronisé

Le voyant moteur s’accompagne alors d’un voyant rouge ou d’un comportement inquiétant : claquements, fumée importante, calages répétés. Dans ce cas :

  • Arrêter le véhicule immédiatement
  • Couper le moteur
  • Faire appel à l’assistance
  • Ne jamais tenter de redémarrer

Continuer à rouler pourrait causer une casse moteur irréversible.

Vigilance, réactivité et prévention

Le voyant moteur n’est pas un simple témoin gênant, c’est un véritable outil d’alerte. Il ne faut jamais le prendre à la légère, même s’il ne s’accompagne pas de symptômes apparents.

Retenez trois principes essentiels :

  • Toujours observer le comportement du véhicule quand ce voyant s’allume
  • Ne jamais ignorer un voyant moteur clignotant
  • Faire diagnostiquer rapidement le véhicule pour éviter que le problème ne s’aggrave

Enfin, n’oubliez pas que la meilleure manière d’éviter l’allumage du voyant moteur, c’est l’entretien régulier du véhicule : vidanges, filtres, bougies, carburant de qualité, roulage adapté au type de moteur (essence, diesel, hybride)…

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Pratique Auto

Pourquoi utiliser des pièces d’origine pour mes réparations ?

Entre tentation du low-cost et sécurité, faut-il vraiment choisir ?

Quand votre voiture tombe en panne ou qu’elle nécessite une réparation, une question cruciale se pose souvent : faut-il opter pour une pièce d’origine ou une pièce dite « adaptable » (ou générique) ? À première vue, le choix peut sembler purement économique. Les pièces adaptables sont souvent moins chères et facilement disponibles. Pourtant, derrière cette économie immédiate peuvent se cacher des conséquences bien plus coûteuses à long terme : sécurité compromise, usure prématurée, garantie annulée…

Qu’est-ce qu’une pièce d’origine ?

Une pièce d’origine est fabriquée ou validée par le constructeur automobile, selon un cahier des charges très précis. Elle peut porter plusieurs appellations selon les circuits de distribution : pièce « OEM » (Original Equipment Manufacturer), « pièce constructeur » ou encore « pièce authentique ». En résumé, c’est la pièce identique à celle qui a été montée à l’usine lors de la fabrication du véhicule.

Et les pièces adaptables ?

À l’inverse, une pièce adaptable est produite par un fabricant tiers. Elle peut être parfaitement compatible… ou non. Certaines sont de très bonne qualité, d’autres beaucoup moins, notamment celles proposées à prix cassé sur certains sites internet. Le principal défaut des pièces adaptables est l’absence de standardisation : qualité, durabilité et compatibilité peuvent varier énormément.

Le rôle crucial de l’entretien dans la garantie

La garantie constructeur impose que le véhicule soit entretenu selon ses préconisations. Cela inclut l’utilisation de pièces d’origine ou au moins de qualité équivalente. Si une pièce adaptable est en cause dans une défaillance, le constructeur peut refuser toute prise en charge.

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La sécurité, une priorité absolue

Freins, direction, suspensions, pneus, éclairage… : certaines pièces touchent directement à votre sécurité et à celle des autres usagers.

Les pièces d’origine, testées et certifiées

Les pièces d’origine passent des batteries de tests en conditions extrêmes. Elles doivent répondre à des normes de sécurité européennes strictes (voire supérieures dans certains pays).

Par exemple :

  • Plaquettes de frein d’origine : testées à chaud, à froid, sur sol sec et humide.
  • Amortisseurs d’origine : calibrés spécifiquement pour le modèle de votre véhicule.

Compatibilité et performance optimale

Un constructeur automobile conçoit ses pièces en parfaite synergie avec les autres éléments du véhicule. L’utilisation de pièces d’origine garantit que chaque composant fonctionne de manière fluide et performante.

Une performance préservée avec la pièce d’origine

En optant pour des pièces d’origine, vous préservez le rendement du moteur, la consommation de carburant, le confort de conduite et l’agrément global du véhicule.

FAQ :

🛠️ Peut-on mélanger pièces d’origine et pièces adaptables sur un même véhicule ?
Oui, mais cela peut affecter l’homogénéité de fonctionnement, surtout sur les systèmes complexes.

🛡️ Toutes les pièces d’origine sont-elles garanties ?
La plupart le sont, mais la durée dépend des constructeurs. Renseignez-vous à l’achat.

📜 Et pour les pièces « équivalentes à l’origine » ?
Elles respectent un certain cahier des charges, mais ne sont pas toujours validées par le constructeur. Il faut vérifier leur provenance.

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Citroën et les maires de France : Ensemble pour une mobilité inclusive des jeunes

Dans une France où les défis de la mobilité sont bien différents selon que l’on vive en ville ou à la campagne, les jeunes des zones rurales font face à une double contrainte : l’éloignement géographique et le manque d’infrastructures de transport. Pour répondre à cet enjeu fondamental d’égalité des chances, Citroën et l’Association des Maires Ruraux de France (AMRF) ont décidé d’unir leurs forces autour d’un objectif commun : permettre aux jeunes ruraux de se déplacer plus facilement pour accéder à l’emploi, à la formation ou à d’autres activités essentielles à leur insertion sociale et professionnelle.

C’est dans ce contexte qu’est né le programme “Pass Mobilité”, une initiative concrète et innovante, expérimentée pour la première fois dans la commune de Chenevelles (Vienne). Portée par un partenariat public-privé, cette solution place l’inclusion, la solidarité locale et l’écoresponsabilité au cœur de sa démarche. Explorons ensemble les fondements, le fonctionnement et les perspectives de cette initiative.

1: La mobilité des jeunes ruraux : un enjeu social majeur

En France, plus de 22 millions de citoyens vivent en zone rurale, soit un tiers de la population. Parmi eux, des milliers de jeunes peinent chaque jour à se rendre sur leur lieu de travail, à un rendez-vous de formation, voire à un simple entretien d’embauche. Contrairement aux centres urbains bien desservis, les territoires ruraux souffrent d’un manque structurel de transports en commun.

Le frein de la distance et de l’isolement

Les communes rurales sont souvent éloignées des bassins d’emploi et des établissements scolaires ou universitaires. Les arrêts de bus, quand ils existent, sont rares, peu fréquents, et desservent difficilement des horaires compatibles avec les emplois précaires ou en horaires décalés. Résultat : l’absence de solution de mobilité devient un véritable facteur d’exclusion.

Pour les jeunes de 18 à 25 ans, souvent en début de parcours professionnel, sans permis ou sans véhicule, cette situation crée un cercle vicieux : pas de mobilité, pas d’emploi ; pas d’emploi, pas de revenus pour acquérir un véhicule ou financer le permis. Dans les faits, la ruralité est l’un des premiers freins à l’insertion socioprofessionnelle des jeunes.

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Les élus locaux en première ligne

Face à cette réalité, de nombreux élus ruraux tirent la sonnette d’alarme depuis des années. Pour Cyril Cibert, maire de Chenevelles et président de l’Association des maires ruraux de la Vienne, « à la campagne, c’est la double peine : pas de transport, et des employeurs qui peinent à recruter car les jeunes ne peuvent pas se déplacer. » Les communes se retrouvent alors à devoir chercher des solutions locales, souvent avec peu de moyens et dans un cadre juridique ou financier contraint.

C’est pour répondre à cette urgence sociale que l’AMRF et Citroën ont imaginé une solution concrète, économique et duplicable : mettre à disposition des véhicules adaptés et accessibles pour les jeunes, tout en mobilisant les ressources locales.

2 : Le “Pass Mobilité” : une solution citoyenne, locale et innovante

Une expérimentation à taille humaine : Chenevelles, village pionnier

C’est dans la petite commune de Chenevelles, située dans la Vienne, que le programme “Pass Mobilité” a été lancé en mars 2025, en présence de la ministre de la Ruralité Françoise Gatel. Ce projet repose sur un dispositif original : les jeunes peuvent bénéficier d’un véhicule Citroën Ami, à condition de s’engager en retour à réaliser des heures de bénévolat pour leur commune.

Ce principe d’échange citoyen (“un service rendu pour un service offert”) replace la solidarité au cœur de la démarche. Le jeune, en contrepartie de la mise à disposition gratuite d’un véhicule pour se rendre à un rendez-vous professionnel, consacre quelques heures à aider la commune : entretien d’espaces verts, aide aux personnes âgées, soutien logistique lors d’un événement… L’idée est simple, mais puissante : recréer du lien entre les jeunes et leur territoire.

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Un outil technologique au service du projet

Pour gérer la disponibilité des véhicules et suivre les engagements de chacun, une application mobile a été conçue par une start-up locale. Les jeunes peuvent y réserver un créneau d’utilisation, préciser leur besoin (entretien, formation, rendez-vous d’embauche), et suivre le nombre d’heures qu’ils doivent en retour à la collectivité.

La mairie valide ensuite chaque demande, assurant un usage responsable et équitable du dispositif. Cette plateforme numérique permet également de mesurer l’impact du programme en temps réel : nombre de trajets réalisés, types d’activités concernées, satisfaction des utilisateurs…

Le rôle central de la Citroën Ami

Au cœur du programme, on retrouve un véhicule pas comme les autres : la Citroën Ami, petite voiture 100 % électrique, accessible dès 14 ans avec un simple permis AM. Silencieuse, économique, sans émission de CO₂, compacte et rechargeable sur une simple prise domestique, elle représente la solution idéale pour les petits trajets quotidiens en zone rurale.

Son autonomie (jusqu’à 75 km) est largement suffisante pour les déplacements professionnels de courte ou moyenne distance. De plus, son coût d’achat abordable et ses frais d’entretien réduits en font un véhicule particulièrement attractif pour les collectivités locales. Plusieurs exemplaires ont ainsi été financés par les fonds verts de l’État, dans le cadre du soutien à la mobilité inclusive en territoire rural.

3 : Une ambition nationale pour une mobilité solidaire

Une volonté de déploiement à l’échelle nationale

Fort du succès de l’expérimentation de Chenevelles, le partenariat entre Citroën et l’AMRF vise désormais à s’étendre à d’autres communes rurales françaises. Cette ambition sera formalisée lors du congrès national des maires ruraux, prévu à Villefranche-sur-Saône du 26 au 28 septembre 2025, avec la signature officielle d’un accord-cadre entre les deux partenaires.

Cet accord prévoit de mettre à disposition un kit clé en main pour les communes volontaires : guide pratique, aide à la recherche de financements publics, accompagnement technique, formation des élus et outils numériques. L’objectif est de développer un maillage national d’initiatives locales, adaptées à chaque territoire.

Le soutien de l’État et des institutions

Le ministère de la Transition écologique, à travers les fonds verts, soutient activement ce type d’initiative. Ces subventions permettent aux mairies rurales d’acquérir plusieurs Citroën Ami à un coût réduit, en intégrant le dispositif dans une démarche globale de transition écologique et sociale.

Par ailleurs, certaines régions et départements ont déjà manifesté leur intérêt pour financer ou cofinancer des projets similaires, notamment dans les zones classées “zones blanches de mobilité”, identifiées comme prioritaires dans les politiques d’égalité territoriale.

Vers un modèle reproductible et durable

Le “Pass Mobilité” repose sur un triptyque vertueux : mobilité, insertion, citoyenneté. Il répond à un besoin immédiat tout en s’inscrivant dans une logique de cohésion territoriale, en redonnant de l’autonomie aux jeunes et en recréant du lien intergénérationnel.

C’est aussi un modèle durable, tant sur le plan environnemental (grâce à la mobilité électrique) que social (grâce à l’engagement réciproque entre jeunes et collectivités). Le projet pourrait même s’ouvrir à d’autres publics fragiles à terme : seniors isolés, demandeurs d’emploi, apprentis…

Face à l’urgence de la fracture territoriale et de l’inégalité d’accès à la mobilité, le programme “Pass Mobilité” incarne une réponse concrète, locale et innovante. En associant une entreprise engagée comme Citroën, des élus de terrain conscients des réalités quotidiennes, et des jeunes désireux de s’investir dans leur territoire, cette initiative crée une dynamique vertueuse qui profite à tous.

Ce partenariat ouvre une voie vers une mobilité plus solidaire, plus verte et plus inclusive, en phase avec les défis sociaux et environnementaux de notre époque. Il prouve qu’avec un peu d’ingéniosité, de bonne volonté et d’engagement collectif, il est possible de réinventer la mobilité pour tous, même loin des grandes villes.

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Pratique Auto

Comment installer un siège enfant en toute sécurité ?

Transporter un enfant en voiture n’est pas un acte anodin. En cas d’accident, un mauvais usage du siège auto peut avoir des conséquences dramatiques, même à basse vitesse. Et pourtant, selon la Sécurité routière, plus de 2 sièges enfants sur 3 sont mal installés ou mal utilisés en France.

Entre les différents groupes de sièges, les systèmes d’attache, les normes en vigueur et les modèles de véhicules, il y a de quoi s’y perdre. Dans cet article, on vous explique pas à pas comment installer un siège enfant en toute sécurité, avec des conseils pratiques pour protéger au mieux vos petits passagers.

1 : Bien choisir le siège adapté à l’enfant et à votre véhicule

1. Connaître les catégories de sièges auto

La première étape pour une installation sécurisée, c’est de choisir le bon siège auto. Il existe deux grandes normes en vigueur :

  • La norme ECE R44/04 (ancienne, mais toujours autorisée) : elle classe les sièges selon le poids de l’enfant.
  • La norme i-Size (R129) : plus récente, elle classe les sièges selon la taille de l’enfant, avec des critères de sécurité renforcés.

Groupes selon la norme R44/04 :

  • Groupe 0 : de la naissance à 10 kg (nacelles).
  • Groupe 0+ : de la naissance à 13 kg (coques bébé).
  • Groupe 1 : de 9 à 18 kg (sièges avec harnais).
  • Groupe 2/3 : de 15 à 36 kg (rehausseurs avec ou sans dossier).

i-Size :

  • Oblige l’installation dos à la route jusqu’à 15 mois minimum.
  • Encourage l’usage du système Isofix.
  • Est compatible avec les véhicules récents disposant d’attaches i-Size.

💡 Conseil : optez pour un siège homologué i-Size si votre véhicule le permet. Il offre de meilleures garanties de sécurité.

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2. Vérifier la compatibilité avec votre voiture

Chaque voiture a ses spécificités. Avant d’acheter un siège :

  • Vérifiez la présence d’attaches Isofix.
  • Consultez le manuel du véhicule pour repérer les emplacements autorisés (certains sièges ne peuvent pas être placés à l’avant).
  • Regardez si le siège passager dispose d’un airbag désactivable (indispensable pour une installation dos à la route à l’avant).

Astuce : de nombreux constructeurs publient la liste des sièges compatibles avec chaque modèle sur leur site officiel.

2 : Les étapes essentielles pour une installation sécurisée

1. Lire attentivement les manuels

Cela peut sembler évident, mais beaucoup d’erreurs viennent d’une mauvaise interprétation des notices. Il est indispensable de :

  • Lire le manuel du siège auto (schémas, angles d’inclinaison, tension des sangles…).
  • Lire le manuel de la voiture, notamment pour connaître les zones d’ancrage et désactiver les airbags si nécessaire.

💡 Certains sièges proposent aussi des QR codes qui renvoient vers des vidéos d’installation.

2. Bien positionner le siège : dos ou face à la route ?

  • Dos à la route : c’est le plus sûr. Il protège mieux le cou et la tête de l’enfant en cas de choc frontal. Recommandé au moins jusqu’à 4 ans.
  • Face à la route : autorisé à partir de 9 kg (ou 76 cm pour les sièges i-Size), mais moins protecteur. À privilégier le plus tard possible.

💡 À retenir : un enfant est 5 fois mieux protégé dos à la route !

3. Attacher le siège correctement

Deux méthodes principales selon le modèle :

  • Avec la ceinture de sécurité : plus universel, mais nécessite de bien faire passer la ceinture dans les guides prévus. Veillez à ce que la ceinture soit bien tendue, non vrillée, et qu’elle ne gêne pas l’enfant.
  • Avec le système Isofix : plus simple et plus sûr si votre véhicule en est équipé. Il suffit de clipser le siège sur les crochets Isofix (entre l’assise et le dossier) jusqu’à entendre un « clic ».

Selon le siège, un troisième point d’ancrage est parfois nécessaire :

  • Une sangle Top Tether (accrochée derrière le siège).
  • Une jambe de force posée au sol.

4. Vérifier régulièrement la stabilité du siège

Un siège correctement installé :

  • Ne bouge pas latéralement ou vers l’avant.
  • Est fermement plaqué contre le siège de la voiture.
  • Ne glisse pas si vous le poussez.

💡 Vérifiez l’installation à chaque trajet : un petit déréglage est vite arrivé (mouvement de l’enfant, nettoyage du véhicule, changement de conducteur…).

3 : Attacher correctement l’enfant et adopter les bons réflexes

1. Bien positionner l’enfant dans le siège

Ceinture trop haute, harnais mal serré, manteau épais… ce sont les erreurs les plus fréquentes. Voici les bonnes pratiques :

  • L’enfant doit être calé au fond du siège, le dos bien droit.
  • Les harnais doivent passer au niveau des épaules ou légèrement en dessous (dos à la route), ou légèrement au-dessus (face à la route).
  • Le harnais doit être bien serré : vous devez pouvoir passer un doigt maximum entre la sangle et la clavicule.
  • Aucun manteau épais ou combinaison rembourrée ne doit être porté : cela empêche le bon serrage et crée un effet « trompe-l’œil ».

2. Adopter les bons gestes au quotidien

  • Vérifiez que rien n’entrave la ceinture ou le harnais (jouets, doudous, ceintures vrillées…).
  • Ne laissez jamais un enfant seul dans la voiture, même pour quelques minutes.
  • En cas de choc (même mineur), faites vérifier le siège ou remplacez-le : certains dommages ne sont pas visibles à l’œil nu.
  • En voiture, le meilleur emplacement reste l’arrière, au milieu, si la ceinture 3 points est présente. Sinon, placez l’enfant derrière le siège passager (accès plus facile depuis le trottoir).

3. Nettoyer et entretenir le siège régulièrement

  • Aspirez les miettes et saletés qui pourraient gêner les attaches.
  • Lavez les housses selon les instructions (souvent à 30°C, à la main ou à la machine).
  • Vérifiez l’état des sangles, des boucles, des mousses de protection.

💡 Conseil : ne démontez jamais un siège au-delà des consignes fabricant. Certains éléments sont calibrés pour résister aux chocs – toute modification peut compromettre la sécurité.

Installer un siège enfant en toute sécurité, c’est bien plus qu’une formalité. C’est un acte de prévention fort, qui peut sauver des vies. Entre le choix du bon siège, son installation correcte, et les bons gestes au quotidien, chaque étape compte.

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Marché Automobile

Pourquoi les délais de livraison des véhicules neufs varient-ils autant ?

Commander une voiture neuve, c’est un peu comme attendre un colis très spécial : on trépigne d’impatience dès la signature, on regarde le calendrier chaque semaine… et parfois, on se demande pourquoi ça prend autant de temps. Entre les délais annoncés de quelques semaines et ceux qui s’étendent sur plusieurs mois (voire plus d’un an pour certains modèles !), les variations peuvent laisser perplexe.

Mais alors, pourquoi les délais de livraison des véhicules neufs sont-ils aussi variables ? Entre la fabrication, la logistique, la demande ou les aléas mondiaux, plusieurs facteurs entrent en jeu. Dans cet article, on vous explique tout, pour que vous compreniez mieux ce qu’il se passe entre le bon de commande et la remise des clés.

1 : Des chaînes de production complexes et mondialisées

1. La fabrication à la commande : un standard dans l’automobile

Contrairement aux idées reçues, la plupart des véhicules neufs ne sont pas déjà en stock au moment de la commande. Ils sont souvent fabriqués à la demande, notamment lorsqu’il s’agit d’un modèle avec des options précises, une finition spécifique, ou une couleur peu courante.

Cela implique :

  • Un délai de mise en production.
  • Une file d’attente selon les commandes déjà en cours.
  • Une planification précise dans l’usine, parfois partagée entre plusieurs pays.

Exemple : un SUV hybride commandé avec toit panoramique, sellerie cuir beige et jantes 19 pouces ne sera pas traité comme un véhicule « standard ». Il nécessite une configuration spécifique sur la chaîne, ce qui peut prendre du temps.

2. Des composants issus du monde entier

Les constructeurs automobiles s’appuient sur une chaîne d’approvisionnement mondiale. Une voiture neuve, c’est plus de 30 000 pièces, et beaucoup viennent de fournisseurs tiers.

Quelques exemples :

  • Les puces électroniques viennent souvent d’Asie.
  • Les batteries pour voitures électriques sont majoritairement produites en Chine ou en Corée du Sud.
  • Les boîtes de vitesses peuvent être fabriquées en Allemagne, puis expédiées en Espagne ou en France pour l’assemblage.

Le moindre retard chez un fournisseur, une grève portuaire, ou une catastrophe naturelle dans un pays de production peut provoquer un effet domino.

3. L’impact post-Covid : des chaînes toujours fragiles

La crise sanitaire a laissé des séquelles :

  • Arrêt prolongé des usines pendant les confinements.
  • Pénurie de semi-conducteurs (éléments essentiels à l’électronique embarquée).
  • Allongement des délais de transport maritime.

Même si la situation s’est améliorée, le système reste sous tension. Il suffit d’un nouveau blocage (conflit géopolitique, nouvelle pandémie, embouteillage dans le canal de Suez…) pour retarder une livraison.

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2 : Une logistique minutieuse, mais parfois capricieuse

1. L’acheminement du véhicule : entre usine, port et concession

Une fois la voiture assemblée, elle entame un véritable périple :

  • Transport routier ou ferroviaire jusqu’au port ou centre logistique.
  • Transit maritime ou fluvial, parfois avec des escales.
  • Passage en centre de préparation (lavage, contrôle qualité, pose d’options supplémentaires).
  • Acheminement jusqu’à la concession locale.

À chaque étape, des retards peuvent survenir :

  • Pénurie de chauffeurs poids lourds.
  • Embouteillage dans les ports.
  • Conditions météorologiques défavorables.
  • Grève locale dans un entrepôt ou un centre de transit.

2. Des délais selon les marques et les pays d’origine

Chaque constructeur a son propre réseau logistique. Acheter une Peugeot fabriquée en France ne représente pas le même défi qu’un SUV japonais ou une berline coréenne.

Exemples :

  • Un véhicule Made in Europe (Renault, Volkswagen, Dacia…) aura souvent un délai plus court.
  • Un modèle venu d‘Asie ou des USA (Hyundai, Kia…) peut nécessiter 2 à 3 mois de transport supplémentaires.

Le délai dépend aussi du canal de distribution :

  • Stock centralisé par l’importateur national ?
  • Commandes directes depuis l’usine ?
  • Modèle en pré-lancement (parfois pas encore homologué pour la France) ?

3. Le rôle du concessionnaire : gestion des priorités et des allocations

Les concessionnaires disposent souvent de quotas sur certains modèles. Ils doivent répartir les véhicules disponibles entre plusieurs clients, ou négocier avec la marque pour obtenir des créneaux de production.

Chez Tressol-Chabrier, nos équipes suivent quotidiennement l’état des livraisons pour vous tenir informé(e) en toute transparence. Certaines concessions peuvent aussi vous proposer :

  • Des modèles en stock déjà produits.
  • Des véhicules en transit, disponibles plus rapidement.
  • Des solutions de remplacement temporaire (véhicule de prêt, LOA courte durée…).

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3 : Des facteurs conjoncturels qui font exploser (ou réduire) les délais

1. L’évolution de la demande : effet « best-sellers »

Certaines voitures rencontrent un succès tel que les usines sont littéralement débordées. C’est le cas de :

  • Petits SUV urbains (ex : Dacia Duster, Peugeot 2008).
  • Modèles hybrides et électriques à succès.
  • Véhicules à faibles émissions plébiscités en zone ZFE.

Ce succès entraîne :

  • Un allongement des listes d’attente.
  • Parfois même des suspensions temporaires de commandes (certains constructeurs « gèlent » les prises de commandes pour éviter la saturation).

Inversement, sur des modèles en fin de vie ou en reprise commerciale lente, les délais sont parfois très courts, voire immédiats.

2. Les contraintes environnementales et réglementaires

Les constructeurs doivent adapter leur production aux normes européennes :

  • Homologations WLTP.
  • Normes antipollution.
  • Limites d’émissions CO2.

Cela implique parfois :

  • Des révisions de moteur en cours de production.
  • Des retards d’homologation sur certains modèles ou finitions.
  • La priorisation de modèles électriques pour atteindre les quotas de « bonus CO2 » imposés par l’UE.

3. Les nouveautés technologiques à intégrer

Les nouvelles voitures sont de plus en plus connectées, autonomes, assistées. Or, intégrer de nouvelles technologies implique :

  • Du développement logiciel.
  • Des tests qualité supplémentaires.
  • Une validation légale parfois complexe selon les pays.

Cela allonge les cycles de production, en particulier pour les véhicules équipés d’options comme :

  • L’affichage tête haute.
  • La conduite autonome de niveau 2.
  • La connectivité 5G ou les mises à jour à distance (OTA).

Les délais de livraison des voitures neuves ne sont pas qu’une question de fabrication. Ils dépendent d’un écosystème vaste et interconnecté, où chaque maillon peut ralentir ou accélérer la chaîne. Même les constructeurs eux-mêmes ne peuvent garantir des délais fixes à 100 %.

Alors que faire en tant qu’acheteur ?

  • Anticiper votre besoin si vous souhaitez un modèle très spécifique.
  • Comparer les délais entre plusieurs finitions ou motorisations.
  • Demander conseil à votre concessionnaire pour accéder à des véhicules en stock ou en transit.

Chez Tressol-Chabrier, nos équipes vous accompagnent à chaque étape. Nous vous proposons :

  • Des configurations personnalisées.
  • Des modèles en livraison rapide.
  • Des solutions de mobilité temporaires en attendant votre voiture.

Vous avez une question sur un modèle ou une commande en cours ? Nos conseillers sont là pour vous répondre avec transparence et vous aider à choisir le bon véhicule au bon moment.

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Pratique Auto

Quels documents sont nécessaires pour vendre mon véhicule ?

Vendre son véhicule peut paraître simple à première vue : une annonce, un acheteur, une transaction. Et pourtant, sur le plan administratif, la démarche demande de la rigueur. En France, plusieurs documents sont obligatoires pour finaliser une vente dans les règles de l’art. Ne pas les fournir peut non seulement retarder la vente, mais aussi vous exposer à des complications juridiques.

Alors, pour éviter les mauvaises surprises, voici un guide complet sur les documents indispensables pour vendre votre voiture, que vous soyez un particulier ou un professionnel.

1 : Les documents obligatoires à remettre à l’acheteur

Lors de la vente d’un véhicule d’occasion, vous devez obligatoirement transmettre plusieurs documents au futur propriétaire. Sans eux, la vente est juridiquement invalide et l’acheteur ne pourra pas immatriculer le véhicule à son nom.

1. La carte grise (certificat d’immatriculation)

La carte grise est l’identité officielle du véhicule. Sans elle, pas de vente possible. Voici les éléments à respecter :

  • Elle doit être barrée d’un trait diagonal avec la mention « Vendu le [date et heure] », suivie de votre signature.
  • Si vous êtes plusieurs co-titulaires, tous doivent signer.
  • Si vous vendez à l’étranger, la mention « vendu pour export » est nécessaire.
  • Pour les anciennes cartes grises pliées, signez uniquement sur la partie haute.

Important : vous devez conserver une copie de la carte grise barrée pour vos archives.

2. Le certificat de cession (Cerfa 15776*02)

Ce document officiel formalise la vente. Il est obligatoire pour toute cession, gratuite ou non, entre particuliers ou vers un professionnel. Il se remplit en deux exemplaires :

  • L’un pour le vendeur.
  • L’autre pour l’acheteur.

Vous pouvez le remplir en ligne via le site de l’ANTS ou le télécharger, l’imprimer et le compléter à la main.

Ce qu’il contient :

  • Les informations du véhicule (immatriculation, marque, modèle…).
  • Les coordonnées du vendeur et de l’acheteur.
  • La date et l’heure de la vente (attention, elles doivent être cohérentes avec celles notées sur la carte grise !).

3. Le certificat de situation administrative (certificat de non-gage)

Ce document prouve que le véhicule n’est ni gagé, ni soumis à une opposition (par exemple : une amende impayée, une saisie, un crédit non soldé…). Sans ce certificat, l’acheteur ne pourra pas faire immatriculer le véhicule.

Il doit :

  • Être daté de moins de 15 jours au moment de la vente.
  • Être obtenu gratuitement en ligne via le site Histovec ou via le site officiel de l’ANTS.

💡 Bon à savoir : il est conseillé d’imprimer le certificat de situation détaillé, plus complet que le simple non-gage.

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2 : Les documents fortement conseillés (mais pas obligatoires)

En plus des documents juridiquement requis, certains justificatifs supplémentaires peuvent faciliter la vente, rassurer l’acheteur, et même vous protéger après la transaction.

1. Le procès-verbal de contrôle technique (si le véhicule a plus de 4 ans)

Il est obligatoire uniquement si vous vendez à un particulier, et non requis pour une vente à un professionnel.

Conditions :

  • Le contrôle doit avoir été réalisé moins de 6 mois avant la vente.
  • En cas de contre-visite, la vente reste possible, mais vous devez transmettre également le document de contre-visite.

Pourquoi c’est important :

  • Il informe l’acheteur de l’état du véhicule.
  • Il peut impacter le prix de vente.
  • En cas de litige ultérieur, il servira de preuve de transparence.

2. Le carnet d’entretien ou les factures

Bien que non obligatoires, ces documents :

  • Valorisent votre véhicule.
  • Rassurent l’acheteur sur son historique.
  • Prouvent que l’entretien a été régulier (vidanges, freins, distribution…).

💡 Conseil : regroupez les factures de garage, de révision, de changement de pièces, etc., et présentez-les de façon claire.

3. Le rapport Histovec

C’est une initiative du ministère de l’Intérieur. En entrant le numéro de la carte grise sur la plateforme Histovec, vous pouvez générer un rapport complet comprenant :

  • Le nombre de propriétaires précédents.
  • Les sinistres ayant donné lieu à une expertise.
  • L’historique des contrôles techniques.
  • L’éventuelle inscription comme véhicule endommagé.

Transmettre ce rapport est un excellent gage de transparence.

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3 : Les démarches administratives après la vente

Une fois votre voiture vendue, votre mission n’est pas tout à fait terminée. Plusieurs formalités post-vente sont essentielles pour vous protéger et officialiser la cession.

1. Déclarer la vente du véhicule

Dans un délai de 15 jours maximum, vous devez déclarer la vente à l’administration française. Cela peut se faire :

  • En ligne sur le site de l’ANTS.
  • Via FranceConnect avec vos identifiants (impots.gouv.fr, Ameli, etc.).
  • Ou par l’intermédiaire d’un professionnel habilité.

Cette déclaration génère un code de cession, à transmettre à l’acheteur.

Pourquoi c’est important :

  • Cela permet de vous désengager juridiquement du véhicule.
  • Vous évitez d’éventuelles amendes ou PV après la vente.

💡 Astuce : faites une capture d’écran ou conservez l’e-mail de confirmation pour vos archives.

2. Résilier votre assurance

Une fois la vente déclarée et le véhicule cédé, vous pouvez résilier votre contrat d’assurance auto. Pour cela :

  • Contactez votre assureur avec un justificatif de cession (certificat de cession ou accusé d’enregistrement ANTS).
  • Vous pouvez demander un remboursement au prorata si vous aviez payé en avance.

💡 Conseil : ne résiliez pas l’assurance avant d’avoir vendu. Le véhicule doit être assuré tant qu’il vous appartient.

3. Conserver des copies

Pour prévenir tout litige, gardez une copie des éléments suivants :

  • Carte grise barrée.
  • Certificat de cession.
  • Certificat de situation administrative.
  • Copie de la déclaration de cession (ou code de cession).
  • Éventuelles correspondances avec l’acheteur.

Vendre un véhicule est une transaction importante qui doit respecter un cadre légal précis. Voici une checklist récapitulative :

À transmettre à l’acheteur :

  • Carte grise barrée et signée.
  • Certificat de cession (Cerfa 15776*02).
  • Certificat de situation administrative (non-gage).
  • Contrôle technique valide (si vente à un particulier).
  • Factures d’entretien et rapport Histovec (optionnel mais recommandé).

À faire après la vente :

  • Déclaration de cession en ligne.
  • Transmission du code de cession à l’acheteur.
  • Résiliation de votre contrat d’assurance.

Un doute ? Une question ? Les conseillers des concessions Tressol-Chabrier sont à votre écoute pour vous accompagner dans toutes vos démarches administratives. Vous pouvez également confier votre reprise de véhicule à l’un de nos spécialistes : estimation gratuite, procédure simplifiée, paiement rapide. Vendre son véhicule n’a jamais été aussi serein.

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Pratique Auto

Que faire en cas de perte de carte grise ?

Vous cherchez votre carte grise et soudain, le stress monte : impossible de remettre la main dessus ! Que ce soit après un déménagement, un vol, un accident ou un simple moment d’inattention, perdre sa carte grise (désormais appelée « certificat d’immatriculation ») peut arriver à tout le monde.

Pourtant, ce document est indispensable pour circuler légalement en France et vendre ou céder votre véhicule. Pas de panique ! La procédure pour obtenir un duplicata de carte grise est aujourd’hui bien rodée et peut se faire facilement en ligne.

Dans cet article, nous vous expliquons étape par étape que faire si vous perdez votre carte grise, quels documents fournir et quels pièges éviter.

1. Déclarer la perte de votre carte grise

Première étape : sécuriser et officialiser la perte

Dès que vous constatez la perte de votre certificat d’immatriculation, vous devez effectuer une déclaration de perte. Cette démarche est indispensable, notamment en cas de vol, pour éviter tout usage frauduleux de vos informations.

Comment déclarer la perte ?

Depuis la dématérialisation des démarches administratives, vous devez faire votre déclaration de perte :

  • Soit directement en ligne sur le site officiel de l’ANTS (Agence Nationale des Titres Sécurisés)
  • Soit auprès d’un professionnel habilité (garage ou concessionnaire agréé)

En cas de vol, il est obligatoire de déposer une déclaration de vol au commissariat ou à la gendarmerie. Le récépissé vous sera demandé lors de la demande de duplicata.

Peut-on continuer à rouler ?

Lorsque vous déclarez la perte, un certificat provisoire d’immatriculation (CPI) vous est délivré. Ce document vous autorise à circuler pendant 1 mois, le temps de recevoir votre duplicata.

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2. Faire une demande de duplicata

Les démarches en ligne et les documents à fournir

Où faire la demande ?

La demande de duplicata se fait exclusivement en ligne, sur le site officiel :

👉 https://immatriculation.ants.gouv.fr

Vous pouvez également mandater un professionnel agréé pour réaliser cette démarche à votre place (garagiste, concessionnaire, prestataire habilité).

Quels documents fournir ?

Pour obtenir un duplicata de carte grise, vous devrez fournir les documents suivants :

  1. Pièce d’identité en cours de validité (CNI, passeport)
  2. Justificatif de domicile de moins de 6 mois
  3. Déclaration de perte ou de vol (Cerfa n°13753*04)
  4. Contrôle technique en cours de validité (pour les véhicules de plus de 4 ans)
  5. Mandat d’immatriculation si vous passez par un professionnel habilité

Le saviez-vous ? En cas de perte, les informations du duplicata seront identiques à la carte grise d’origine, sauf mention particulière à actualiser (changement d’adresse par exemple).

Combien coûte un duplicata ?

Le prix d’un duplicata varie selon votre région et le type de véhicule. En général, vous devrez régler :

  • 11 € de redevance d’acheminement
    • Les taxes régionales éventuelles

En moyenne, le coût est d’environ 30 à 40 €, mais il peut monter à plus selon votre lieu de résidence.

3. Les erreurs à éviter et les délais à connaître

Nos conseils pour gagner du temps et éviter les mauvaises surprises

Ne tardez pas à faire la demande

Il est fortement conseillé de faire votre demande de duplicata le plus rapidement possible après la perte. En cas de contrôle routier, l’absence de carte grise ou de certificat provisoire peut entraîner une amende de 135 €.

Vérifiez vos informations

Avant de valider votre demande en ligne, prenez le temps de bien vérifier :

  • L’adresse indiquée : elle doit être actuelle et complète, sinon le duplicata ne vous parviendra pas.
  • Les informations du véhicule : modèle, numéro VIN, numéro d’immatriculation.

Si vous constatez une erreur, vous devrez effectuer une demande de correction, ce qui peut allonger les délais.

Surveillez la réception du duplicata

Le duplicata de carte grise est envoyé par courrier sécurisé à l’adresse renseignée, en général sous 7 à 10 jours ouvrés. Vous devrez signer à la réception.

En cas d’absence, un avis de passage vous permettra de retirer votre duplicata en bureau de poste sous 15 jours.

Perdre sa carte grise peut sembler contraignant, mais les démarches pour obtenir un duplicata sont aujourd’hui simples, rapides et accessibles en ligne. Le plus important est d’agir sans tarder, pour éviter tout problème en cas de contrôle routier ou si vous envisagez de vendre votre véhicule.

En résumé :

  • Déclarez immédiatement la perte ou le vol.
  • Faites la demande de duplicata via l’ANTS ou un professionnel habilité.
  • Fournissez les documents nécessaires et surveillez la livraison.

Un duplicata est exactement équivalent à l’original et vous permettra de rouler légalement en toute sérénité.