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Citroën et les maires de France : Ensemble pour une mobilité inclusive des jeunes

Dans une France où les défis de la mobilité sont bien différents selon que l’on vive en ville ou à la campagne, les jeunes des zones rurales font face à une double contrainte : l’éloignement géographique et le manque d’infrastructures de transport. Pour répondre à cet enjeu fondamental d’égalité des chances, Citroën et l’Association des Maires Ruraux de France (AMRF) ont décidé d’unir leurs forces autour d’un objectif commun : permettre aux jeunes ruraux de se déplacer plus facilement pour accéder à l’emploi, à la formation ou à d’autres activités essentielles à leur insertion sociale et professionnelle.

C’est dans ce contexte qu’est né le programme “Pass Mobilité”, une initiative concrète et innovante, expérimentée pour la première fois dans la commune de Chenevelles (Vienne). Portée par un partenariat public-privé, cette solution place l’inclusion, la solidarité locale et l’écoresponsabilité au cœur de sa démarche. Explorons ensemble les fondements, le fonctionnement et les perspectives de cette initiative.

1: La mobilité des jeunes ruraux : un enjeu social majeur

En France, plus de 22 millions de citoyens vivent en zone rurale, soit un tiers de la population. Parmi eux, des milliers de jeunes peinent chaque jour à se rendre sur leur lieu de travail, à un rendez-vous de formation, voire à un simple entretien d’embauche. Contrairement aux centres urbains bien desservis, les territoires ruraux souffrent d’un manque structurel de transports en commun.

Le frein de la distance et de l’isolement

Les communes rurales sont souvent éloignées des bassins d’emploi et des établissements scolaires ou universitaires. Les arrêts de bus, quand ils existent, sont rares, peu fréquents, et desservent difficilement des horaires compatibles avec les emplois précaires ou en horaires décalés. Résultat : l’absence de solution de mobilité devient un véritable facteur d’exclusion.

Pour les jeunes de 18 à 25 ans, souvent en début de parcours professionnel, sans permis ou sans véhicule, cette situation crée un cercle vicieux : pas de mobilité, pas d’emploi ; pas d’emploi, pas de revenus pour acquérir un véhicule ou financer le permis. Dans les faits, la ruralité est l’un des premiers freins à l’insertion socioprofessionnelle des jeunes.

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Les élus locaux en première ligne

Face à cette réalité, de nombreux élus ruraux tirent la sonnette d’alarme depuis des années. Pour Cyril Cibert, maire de Chenevelles et président de l’Association des maires ruraux de la Vienne, « à la campagne, c’est la double peine : pas de transport, et des employeurs qui peinent à recruter car les jeunes ne peuvent pas se déplacer. » Les communes se retrouvent alors à devoir chercher des solutions locales, souvent avec peu de moyens et dans un cadre juridique ou financier contraint.

C’est pour répondre à cette urgence sociale que l’AMRF et Citroën ont imaginé une solution concrète, économique et duplicable : mettre à disposition des véhicules adaptés et accessibles pour les jeunes, tout en mobilisant les ressources locales.

2 : Le “Pass Mobilité” : une solution citoyenne, locale et innovante

Une expérimentation à taille humaine : Chenevelles, village pionnier

C’est dans la petite commune de Chenevelles, située dans la Vienne, que le programme “Pass Mobilité” a été lancé en mars 2025, en présence de la ministre de la Ruralité Françoise Gatel. Ce projet repose sur un dispositif original : les jeunes peuvent bénéficier d’un véhicule Citroën Ami, à condition de s’engager en retour à réaliser des heures de bénévolat pour leur commune.

Ce principe d’échange citoyen (“un service rendu pour un service offert”) replace la solidarité au cœur de la démarche. Le jeune, en contrepartie de la mise à disposition gratuite d’un véhicule pour se rendre à un rendez-vous professionnel, consacre quelques heures à aider la commune : entretien d’espaces verts, aide aux personnes âgées, soutien logistique lors d’un événement… L’idée est simple, mais puissante : recréer du lien entre les jeunes et leur territoire.

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Un outil technologique au service du projet

Pour gérer la disponibilité des véhicules et suivre les engagements de chacun, une application mobile a été conçue par une start-up locale. Les jeunes peuvent y réserver un créneau d’utilisation, préciser leur besoin (entretien, formation, rendez-vous d’embauche), et suivre le nombre d’heures qu’ils doivent en retour à la collectivité.

La mairie valide ensuite chaque demande, assurant un usage responsable et équitable du dispositif. Cette plateforme numérique permet également de mesurer l’impact du programme en temps réel : nombre de trajets réalisés, types d’activités concernées, satisfaction des utilisateurs…

Le rôle central de la Citroën Ami

Au cœur du programme, on retrouve un véhicule pas comme les autres : la Citroën Ami, petite voiture 100 % électrique, accessible dès 14 ans avec un simple permis AM. Silencieuse, économique, sans émission de CO₂, compacte et rechargeable sur une simple prise domestique, elle représente la solution idéale pour les petits trajets quotidiens en zone rurale.

Son autonomie (jusqu’à 75 km) est largement suffisante pour les déplacements professionnels de courte ou moyenne distance. De plus, son coût d’achat abordable et ses frais d’entretien réduits en font un véhicule particulièrement attractif pour les collectivités locales. Plusieurs exemplaires ont ainsi été financés par les fonds verts de l’État, dans le cadre du soutien à la mobilité inclusive en territoire rural.

3 : Une ambition nationale pour une mobilité solidaire

Une volonté de déploiement à l’échelle nationale

Fort du succès de l’expérimentation de Chenevelles, le partenariat entre Citroën et l’AMRF vise désormais à s’étendre à d’autres communes rurales françaises. Cette ambition sera formalisée lors du congrès national des maires ruraux, prévu à Villefranche-sur-Saône du 26 au 28 septembre 2025, avec la signature officielle d’un accord-cadre entre les deux partenaires.

Cet accord prévoit de mettre à disposition un kit clé en main pour les communes volontaires : guide pratique, aide à la recherche de financements publics, accompagnement technique, formation des élus et outils numériques. L’objectif est de développer un maillage national d’initiatives locales, adaptées à chaque territoire.

Le soutien de l’État et des institutions

Le ministère de la Transition écologique, à travers les fonds verts, soutient activement ce type d’initiative. Ces subventions permettent aux mairies rurales d’acquérir plusieurs Citroën Ami à un coût réduit, en intégrant le dispositif dans une démarche globale de transition écologique et sociale.

Par ailleurs, certaines régions et départements ont déjà manifesté leur intérêt pour financer ou cofinancer des projets similaires, notamment dans les zones classées “zones blanches de mobilité”, identifiées comme prioritaires dans les politiques d’égalité territoriale.

Vers un modèle reproductible et durable

Le “Pass Mobilité” repose sur un triptyque vertueux : mobilité, insertion, citoyenneté. Il répond à un besoin immédiat tout en s’inscrivant dans une logique de cohésion territoriale, en redonnant de l’autonomie aux jeunes et en recréant du lien intergénérationnel.

C’est aussi un modèle durable, tant sur le plan environnemental (grâce à la mobilité électrique) que social (grâce à l’engagement réciproque entre jeunes et collectivités). Le projet pourrait même s’ouvrir à d’autres publics fragiles à terme : seniors isolés, demandeurs d’emploi, apprentis…

Face à l’urgence de la fracture territoriale et de l’inégalité d’accès à la mobilité, le programme “Pass Mobilité” incarne une réponse concrète, locale et innovante. En associant une entreprise engagée comme Citroën, des élus de terrain conscients des réalités quotidiennes, et des jeunes désireux de s’investir dans leur territoire, cette initiative crée une dynamique vertueuse qui profite à tous.

Ce partenariat ouvre une voie vers une mobilité plus solidaire, plus verte et plus inclusive, en phase avec les défis sociaux et environnementaux de notre époque. Il prouve qu’avec un peu d’ingéniosité, de bonne volonté et d’engagement collectif, il est possible de réinventer la mobilité pour tous, même loin des grandes villes.

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Pratique Auto

Comment installer un siège enfant en toute sécurité ?

Transporter un enfant en voiture n’est pas un acte anodin. En cas d’accident, un mauvais usage du siège auto peut avoir des conséquences dramatiques, même à basse vitesse. Et pourtant, selon la Sécurité routière, plus de 2 sièges enfants sur 3 sont mal installés ou mal utilisés en France.

Entre les différents groupes de sièges, les systèmes d’attache, les normes en vigueur et les modèles de véhicules, il y a de quoi s’y perdre. Dans cet article, on vous explique pas à pas comment installer un siège enfant en toute sécurité, avec des conseils pratiques pour protéger au mieux vos petits passagers.

1 : Bien choisir le siège adapté à l’enfant et à votre véhicule

1. Connaître les catégories de sièges auto

La première étape pour une installation sécurisée, c’est de choisir le bon siège auto. Il existe deux grandes normes en vigueur :

  • La norme ECE R44/04 (ancienne, mais toujours autorisée) : elle classe les sièges selon le poids de l’enfant.
  • La norme i-Size (R129) : plus récente, elle classe les sièges selon la taille de l’enfant, avec des critères de sécurité renforcés.

Groupes selon la norme R44/04 :

  • Groupe 0 : de la naissance à 10 kg (nacelles).
  • Groupe 0+ : de la naissance à 13 kg (coques bébé).
  • Groupe 1 : de 9 à 18 kg (sièges avec harnais).
  • Groupe 2/3 : de 15 à 36 kg (rehausseurs avec ou sans dossier).

i-Size :

  • Oblige l’installation dos à la route jusqu’à 15 mois minimum.
  • Encourage l’usage du système Isofix.
  • Est compatible avec les véhicules récents disposant d’attaches i-Size.

💡 Conseil : optez pour un siège homologué i-Size si votre véhicule le permet. Il offre de meilleures garanties de sécurité.

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2. Vérifier la compatibilité avec votre voiture

Chaque voiture a ses spécificités. Avant d’acheter un siège :

  • Vérifiez la présence d’attaches Isofix.
  • Consultez le manuel du véhicule pour repérer les emplacements autorisés (certains sièges ne peuvent pas être placés à l’avant).
  • Regardez si le siège passager dispose d’un airbag désactivable (indispensable pour une installation dos à la route à l’avant).

Astuce : de nombreux constructeurs publient la liste des sièges compatibles avec chaque modèle sur leur site officiel.

2 : Les étapes essentielles pour une installation sécurisée

1. Lire attentivement les manuels

Cela peut sembler évident, mais beaucoup d’erreurs viennent d’une mauvaise interprétation des notices. Il est indispensable de :

  • Lire le manuel du siège auto (schémas, angles d’inclinaison, tension des sangles…).
  • Lire le manuel de la voiture, notamment pour connaître les zones d’ancrage et désactiver les airbags si nécessaire.

💡 Certains sièges proposent aussi des QR codes qui renvoient vers des vidéos d’installation.

2. Bien positionner le siège : dos ou face à la route ?

  • Dos à la route : c’est le plus sûr. Il protège mieux le cou et la tête de l’enfant en cas de choc frontal. Recommandé au moins jusqu’à 4 ans.
  • Face à la route : autorisé à partir de 9 kg (ou 76 cm pour les sièges i-Size), mais moins protecteur. À privilégier le plus tard possible.

💡 À retenir : un enfant est 5 fois mieux protégé dos à la route !

3. Attacher le siège correctement

Deux méthodes principales selon le modèle :

  • Avec la ceinture de sécurité : plus universel, mais nécessite de bien faire passer la ceinture dans les guides prévus. Veillez à ce que la ceinture soit bien tendue, non vrillée, et qu’elle ne gêne pas l’enfant.
  • Avec le système Isofix : plus simple et plus sûr si votre véhicule en est équipé. Il suffit de clipser le siège sur les crochets Isofix (entre l’assise et le dossier) jusqu’à entendre un « clic ».

Selon le siège, un troisième point d’ancrage est parfois nécessaire :

  • Une sangle Top Tether (accrochée derrière le siège).
  • Une jambe de force posée au sol.

4. Vérifier régulièrement la stabilité du siège

Un siège correctement installé :

  • Ne bouge pas latéralement ou vers l’avant.
  • Est fermement plaqué contre le siège de la voiture.
  • Ne glisse pas si vous le poussez.

💡 Vérifiez l’installation à chaque trajet : un petit déréglage est vite arrivé (mouvement de l’enfant, nettoyage du véhicule, changement de conducteur…).

3 : Attacher correctement l’enfant et adopter les bons réflexes

1. Bien positionner l’enfant dans le siège

Ceinture trop haute, harnais mal serré, manteau épais… ce sont les erreurs les plus fréquentes. Voici les bonnes pratiques :

  • L’enfant doit être calé au fond du siège, le dos bien droit.
  • Les harnais doivent passer au niveau des épaules ou légèrement en dessous (dos à la route), ou légèrement au-dessus (face à la route).
  • Le harnais doit être bien serré : vous devez pouvoir passer un doigt maximum entre la sangle et la clavicule.
  • Aucun manteau épais ou combinaison rembourrée ne doit être porté : cela empêche le bon serrage et crée un effet « trompe-l’œil ».

2. Adopter les bons gestes au quotidien

  • Vérifiez que rien n’entrave la ceinture ou le harnais (jouets, doudous, ceintures vrillées…).
  • Ne laissez jamais un enfant seul dans la voiture, même pour quelques minutes.
  • En cas de choc (même mineur), faites vérifier le siège ou remplacez-le : certains dommages ne sont pas visibles à l’œil nu.
  • En voiture, le meilleur emplacement reste l’arrière, au milieu, si la ceinture 3 points est présente. Sinon, placez l’enfant derrière le siège passager (accès plus facile depuis le trottoir).

3. Nettoyer et entretenir le siège régulièrement

  • Aspirez les miettes et saletés qui pourraient gêner les attaches.
  • Lavez les housses selon les instructions (souvent à 30°C, à la main ou à la machine).
  • Vérifiez l’état des sangles, des boucles, des mousses de protection.

💡 Conseil : ne démontez jamais un siège au-delà des consignes fabricant. Certains éléments sont calibrés pour résister aux chocs – toute modification peut compromettre la sécurité.

Installer un siège enfant en toute sécurité, c’est bien plus qu’une formalité. C’est un acte de prévention fort, qui peut sauver des vies. Entre le choix du bon siège, son installation correcte, et les bons gestes au quotidien, chaque étape compte.

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Marché Automobile

Pourquoi les délais de livraison des véhicules neufs varient-ils autant ?

Commander une voiture neuve, c’est un peu comme attendre un colis très spécial : on trépigne d’impatience dès la signature, on regarde le calendrier chaque semaine… et parfois, on se demande pourquoi ça prend autant de temps. Entre les délais annoncés de quelques semaines et ceux qui s’étendent sur plusieurs mois (voire plus d’un an pour certains modèles !), les variations peuvent laisser perplexe.

Mais alors, pourquoi les délais de livraison des véhicules neufs sont-ils aussi variables ? Entre la fabrication, la logistique, la demande ou les aléas mondiaux, plusieurs facteurs entrent en jeu. Dans cet article, on vous explique tout, pour que vous compreniez mieux ce qu’il se passe entre le bon de commande et la remise des clés.

1 : Des chaînes de production complexes et mondialisées

1. La fabrication à la commande : un standard dans l’automobile

Contrairement aux idées reçues, la plupart des véhicules neufs ne sont pas déjà en stock au moment de la commande. Ils sont souvent fabriqués à la demande, notamment lorsqu’il s’agit d’un modèle avec des options précises, une finition spécifique, ou une couleur peu courante.

Cela implique :

  • Un délai de mise en production.
  • Une file d’attente selon les commandes déjà en cours.
  • Une planification précise dans l’usine, parfois partagée entre plusieurs pays.

Exemple : un SUV hybride commandé avec toit panoramique, sellerie cuir beige et jantes 19 pouces ne sera pas traité comme un véhicule « standard ». Il nécessite une configuration spécifique sur la chaîne, ce qui peut prendre du temps.

2. Des composants issus du monde entier

Les constructeurs automobiles s’appuient sur une chaîne d’approvisionnement mondiale. Une voiture neuve, c’est plus de 30 000 pièces, et beaucoup viennent de fournisseurs tiers.

Quelques exemples :

  • Les puces électroniques viennent souvent d’Asie.
  • Les batteries pour voitures électriques sont majoritairement produites en Chine ou en Corée du Sud.
  • Les boîtes de vitesses peuvent être fabriquées en Allemagne, puis expédiées en Espagne ou en France pour l’assemblage.

Le moindre retard chez un fournisseur, une grève portuaire, ou une catastrophe naturelle dans un pays de production peut provoquer un effet domino.

3. L’impact post-Covid : des chaînes toujours fragiles

La crise sanitaire a laissé des séquelles :

  • Arrêt prolongé des usines pendant les confinements.
  • Pénurie de semi-conducteurs (éléments essentiels à l’électronique embarquée).
  • Allongement des délais de transport maritime.

Même si la situation s’est améliorée, le système reste sous tension. Il suffit d’un nouveau blocage (conflit géopolitique, nouvelle pandémie, embouteillage dans le canal de Suez…) pour retarder une livraison.

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2 : Une logistique minutieuse, mais parfois capricieuse

1. L’acheminement du véhicule : entre usine, port et concession

Une fois la voiture assemblée, elle entame un véritable périple :

  • Transport routier ou ferroviaire jusqu’au port ou centre logistique.
  • Transit maritime ou fluvial, parfois avec des escales.
  • Passage en centre de préparation (lavage, contrôle qualité, pose d’options supplémentaires).
  • Acheminement jusqu’à la concession locale.

À chaque étape, des retards peuvent survenir :

  • Pénurie de chauffeurs poids lourds.
  • Embouteillage dans les ports.
  • Conditions météorologiques défavorables.
  • Grève locale dans un entrepôt ou un centre de transit.

2. Des délais selon les marques et les pays d’origine

Chaque constructeur a son propre réseau logistique. Acheter une Peugeot fabriquée en France ne représente pas le même défi qu’un SUV japonais ou une berline coréenne.

Exemples :

  • Un véhicule Made in Europe (Renault, Volkswagen, Dacia…) aura souvent un délai plus court.
  • Un modèle venu d‘Asie ou des USA (Hyundai, Kia…) peut nécessiter 2 à 3 mois de transport supplémentaires.

Le délai dépend aussi du canal de distribution :

  • Stock centralisé par l’importateur national ?
  • Commandes directes depuis l’usine ?
  • Modèle en pré-lancement (parfois pas encore homologué pour la France) ?

3. Le rôle du concessionnaire : gestion des priorités et des allocations

Les concessionnaires disposent souvent de quotas sur certains modèles. Ils doivent répartir les véhicules disponibles entre plusieurs clients, ou négocier avec la marque pour obtenir des créneaux de production.

Chez Tressol-Chabrier, nos équipes suivent quotidiennement l’état des livraisons pour vous tenir informé(e) en toute transparence. Certaines concessions peuvent aussi vous proposer :

  • Des modèles en stock déjà produits.
  • Des véhicules en transit, disponibles plus rapidement.
  • Des solutions de remplacement temporaire (véhicule de prêt, LOA courte durée…).

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3 : Des facteurs conjoncturels qui font exploser (ou réduire) les délais

1. L’évolution de la demande : effet « best-sellers »

Certaines voitures rencontrent un succès tel que les usines sont littéralement débordées. C’est le cas de :

  • Petits SUV urbains (ex : Dacia Duster, Peugeot 2008).
  • Modèles hybrides et électriques à succès.
  • Véhicules à faibles émissions plébiscités en zone ZFE.

Ce succès entraîne :

  • Un allongement des listes d’attente.
  • Parfois même des suspensions temporaires de commandes (certains constructeurs « gèlent » les prises de commandes pour éviter la saturation).

Inversement, sur des modèles en fin de vie ou en reprise commerciale lente, les délais sont parfois très courts, voire immédiats.

2. Les contraintes environnementales et réglementaires

Les constructeurs doivent adapter leur production aux normes européennes :

  • Homologations WLTP.
  • Normes antipollution.
  • Limites d’émissions CO2.

Cela implique parfois :

  • Des révisions de moteur en cours de production.
  • Des retards d’homologation sur certains modèles ou finitions.
  • La priorisation de modèles électriques pour atteindre les quotas de « bonus CO2 » imposés par l’UE.

3. Les nouveautés technologiques à intégrer

Les nouvelles voitures sont de plus en plus connectées, autonomes, assistées. Or, intégrer de nouvelles technologies implique :

  • Du développement logiciel.
  • Des tests qualité supplémentaires.
  • Une validation légale parfois complexe selon les pays.

Cela allonge les cycles de production, en particulier pour les véhicules équipés d’options comme :

  • L’affichage tête haute.
  • La conduite autonome de niveau 2.
  • La connectivité 5G ou les mises à jour à distance (OTA).

Les délais de livraison des voitures neuves ne sont pas qu’une question de fabrication. Ils dépendent d’un écosystème vaste et interconnecté, où chaque maillon peut ralentir ou accélérer la chaîne. Même les constructeurs eux-mêmes ne peuvent garantir des délais fixes à 100 %.

Alors que faire en tant qu’acheteur ?

  • Anticiper votre besoin si vous souhaitez un modèle très spécifique.
  • Comparer les délais entre plusieurs finitions ou motorisations.
  • Demander conseil à votre concessionnaire pour accéder à des véhicules en stock ou en transit.

Chez Tressol-Chabrier, nos équipes vous accompagnent à chaque étape. Nous vous proposons :

  • Des configurations personnalisées.
  • Des modèles en livraison rapide.
  • Des solutions de mobilité temporaires en attendant votre voiture.

Vous avez une question sur un modèle ou une commande en cours ? Nos conseillers sont là pour vous répondre avec transparence et vous aider à choisir le bon véhicule au bon moment.

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Pratique Auto

Quels documents sont nécessaires pour vendre mon véhicule ?

Vendre son véhicule peut paraître simple à première vue : une annonce, un acheteur, une transaction. Et pourtant, sur le plan administratif, la démarche demande de la rigueur. En France, plusieurs documents sont obligatoires pour finaliser une vente dans les règles de l’art. Ne pas les fournir peut non seulement retarder la vente, mais aussi vous exposer à des complications juridiques.

Alors, pour éviter les mauvaises surprises, voici un guide complet sur les documents indispensables pour vendre votre voiture, que vous soyez un particulier ou un professionnel.

1 : Les documents obligatoires à remettre à l’acheteur

Lors de la vente d’un véhicule d’occasion, vous devez obligatoirement transmettre plusieurs documents au futur propriétaire. Sans eux, la vente est juridiquement invalide et l’acheteur ne pourra pas immatriculer le véhicule à son nom.

1. La carte grise (certificat d’immatriculation)

La carte grise est l’identité officielle du véhicule. Sans elle, pas de vente possible. Voici les éléments à respecter :

  • Elle doit être barrée d’un trait diagonal avec la mention « Vendu le [date et heure] », suivie de votre signature.
  • Si vous êtes plusieurs co-titulaires, tous doivent signer.
  • Si vous vendez à l’étranger, la mention « vendu pour export » est nécessaire.
  • Pour les anciennes cartes grises pliées, signez uniquement sur la partie haute.

Important : vous devez conserver une copie de la carte grise barrée pour vos archives.

2. Le certificat de cession (Cerfa 15776*02)

Ce document officiel formalise la vente. Il est obligatoire pour toute cession, gratuite ou non, entre particuliers ou vers un professionnel. Il se remplit en deux exemplaires :

  • L’un pour le vendeur.
  • L’autre pour l’acheteur.

Vous pouvez le remplir en ligne via le site de l’ANTS ou le télécharger, l’imprimer et le compléter à la main.

Ce qu’il contient :

  • Les informations du véhicule (immatriculation, marque, modèle…).
  • Les coordonnées du vendeur et de l’acheteur.
  • La date et l’heure de la vente (attention, elles doivent être cohérentes avec celles notées sur la carte grise !).

3. Le certificat de situation administrative (certificat de non-gage)

Ce document prouve que le véhicule n’est ni gagé, ni soumis à une opposition (par exemple : une amende impayée, une saisie, un crédit non soldé…). Sans ce certificat, l’acheteur ne pourra pas faire immatriculer le véhicule.

Il doit :

  • Être daté de moins de 15 jours au moment de la vente.
  • Être obtenu gratuitement en ligne via le site Histovec ou via le site officiel de l’ANTS.

💡 Bon à savoir : il est conseillé d’imprimer le certificat de situation détaillé, plus complet que le simple non-gage.

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2 : Les documents fortement conseillés (mais pas obligatoires)

En plus des documents juridiquement requis, certains justificatifs supplémentaires peuvent faciliter la vente, rassurer l’acheteur, et même vous protéger après la transaction.

1. Le procès-verbal de contrôle technique (si le véhicule a plus de 4 ans)

Il est obligatoire uniquement si vous vendez à un particulier, et non requis pour une vente à un professionnel.

Conditions :

  • Le contrôle doit avoir été réalisé moins de 6 mois avant la vente.
  • En cas de contre-visite, la vente reste possible, mais vous devez transmettre également le document de contre-visite.

Pourquoi c’est important :

  • Il informe l’acheteur de l’état du véhicule.
  • Il peut impacter le prix de vente.
  • En cas de litige ultérieur, il servira de preuve de transparence.

2. Le carnet d’entretien ou les factures

Bien que non obligatoires, ces documents :

  • Valorisent votre véhicule.
  • Rassurent l’acheteur sur son historique.
  • Prouvent que l’entretien a été régulier (vidanges, freins, distribution…).

💡 Conseil : regroupez les factures de garage, de révision, de changement de pièces, etc., et présentez-les de façon claire.

3. Le rapport Histovec

C’est une initiative du ministère de l’Intérieur. En entrant le numéro de la carte grise sur la plateforme Histovec, vous pouvez générer un rapport complet comprenant :

  • Le nombre de propriétaires précédents.
  • Les sinistres ayant donné lieu à une expertise.
  • L’historique des contrôles techniques.
  • L’éventuelle inscription comme véhicule endommagé.

Transmettre ce rapport est un excellent gage de transparence.

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3 : Les démarches administratives après la vente

Une fois votre voiture vendue, votre mission n’est pas tout à fait terminée. Plusieurs formalités post-vente sont essentielles pour vous protéger et officialiser la cession.

1. Déclarer la vente du véhicule

Dans un délai de 15 jours maximum, vous devez déclarer la vente à l’administration française. Cela peut se faire :

  • En ligne sur le site de l’ANTS.
  • Via FranceConnect avec vos identifiants (impots.gouv.fr, Ameli, etc.).
  • Ou par l’intermédiaire d’un professionnel habilité.

Cette déclaration génère un code de cession, à transmettre à l’acheteur.

Pourquoi c’est important :

  • Cela permet de vous désengager juridiquement du véhicule.
  • Vous évitez d’éventuelles amendes ou PV après la vente.

💡 Astuce : faites une capture d’écran ou conservez l’e-mail de confirmation pour vos archives.

2. Résilier votre assurance

Une fois la vente déclarée et le véhicule cédé, vous pouvez résilier votre contrat d’assurance auto. Pour cela :

  • Contactez votre assureur avec un justificatif de cession (certificat de cession ou accusé d’enregistrement ANTS).
  • Vous pouvez demander un remboursement au prorata si vous aviez payé en avance.

💡 Conseil : ne résiliez pas l’assurance avant d’avoir vendu. Le véhicule doit être assuré tant qu’il vous appartient.

3. Conserver des copies

Pour prévenir tout litige, gardez une copie des éléments suivants :

  • Carte grise barrée.
  • Certificat de cession.
  • Certificat de situation administrative.
  • Copie de la déclaration de cession (ou code de cession).
  • Éventuelles correspondances avec l’acheteur.

Vendre un véhicule est une transaction importante qui doit respecter un cadre légal précis. Voici une checklist récapitulative :

À transmettre à l’acheteur :

  • Carte grise barrée et signée.
  • Certificat de cession (Cerfa 15776*02).
  • Certificat de situation administrative (non-gage).
  • Contrôle technique valide (si vente à un particulier).
  • Factures d’entretien et rapport Histovec (optionnel mais recommandé).

À faire après la vente :

  • Déclaration de cession en ligne.
  • Transmission du code de cession à l’acheteur.
  • Résiliation de votre contrat d’assurance.

Un doute ? Une question ? Les conseillers des concessions Tressol-Chabrier sont à votre écoute pour vous accompagner dans toutes vos démarches administratives. Vous pouvez également confier votre reprise de véhicule à l’un de nos spécialistes : estimation gratuite, procédure simplifiée, paiement rapide. Vendre son véhicule n’a jamais été aussi serein.

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Pratique Auto

Que faire en cas de perte de carte grise ?

Vous cherchez votre carte grise et soudain, le stress monte : impossible de remettre la main dessus ! Que ce soit après un déménagement, un vol, un accident ou un simple moment d’inattention, perdre sa carte grise (désormais appelée « certificat d’immatriculation ») peut arriver à tout le monde.

Pourtant, ce document est indispensable pour circuler légalement en France et vendre ou céder votre véhicule. Pas de panique ! La procédure pour obtenir un duplicata de carte grise est aujourd’hui bien rodée et peut se faire facilement en ligne.

Dans cet article, nous vous expliquons étape par étape que faire si vous perdez votre carte grise, quels documents fournir et quels pièges éviter.

1. Déclarer la perte de votre carte grise

Première étape : sécuriser et officialiser la perte

Dès que vous constatez la perte de votre certificat d’immatriculation, vous devez effectuer une déclaration de perte. Cette démarche est indispensable, notamment en cas de vol, pour éviter tout usage frauduleux de vos informations.

Comment déclarer la perte ?

Depuis la dématérialisation des démarches administratives, vous devez faire votre déclaration de perte :

  • Soit directement en ligne sur le site officiel de l’ANTS (Agence Nationale des Titres Sécurisés)
  • Soit auprès d’un professionnel habilité (garage ou concessionnaire agréé)

En cas de vol, il est obligatoire de déposer une déclaration de vol au commissariat ou à la gendarmerie. Le récépissé vous sera demandé lors de la demande de duplicata.

Peut-on continuer à rouler ?

Lorsque vous déclarez la perte, un certificat provisoire d’immatriculation (CPI) vous est délivré. Ce document vous autorise à circuler pendant 1 mois, le temps de recevoir votre duplicata.

[ tressolcode theme= »Blanc » type= »expert » ]

2. Faire une demande de duplicata

Les démarches en ligne et les documents à fournir

Où faire la demande ?

La demande de duplicata se fait exclusivement en ligne, sur le site officiel :

👉 https://immatriculation.ants.gouv.fr

Vous pouvez également mandater un professionnel agréé pour réaliser cette démarche à votre place (garagiste, concessionnaire, prestataire habilité).

Quels documents fournir ?

Pour obtenir un duplicata de carte grise, vous devrez fournir les documents suivants :

  1. Pièce d’identité en cours de validité (CNI, passeport)
  2. Justificatif de domicile de moins de 6 mois
  3. Déclaration de perte ou de vol (Cerfa n°13753*04)
  4. Contrôle technique en cours de validité (pour les véhicules de plus de 4 ans)
  5. Mandat d’immatriculation si vous passez par un professionnel habilité

Le saviez-vous ? En cas de perte, les informations du duplicata seront identiques à la carte grise d’origine, sauf mention particulière à actualiser (changement d’adresse par exemple).

Combien coûte un duplicata ?

Le prix d’un duplicata varie selon votre région et le type de véhicule. En général, vous devrez régler :

  • 11 € de redevance d’acheminement
    • Les taxes régionales éventuelles

En moyenne, le coût est d’environ 30 à 40 €, mais il peut monter à plus selon votre lieu de résidence.

3. Les erreurs à éviter et les délais à connaître

Nos conseils pour gagner du temps et éviter les mauvaises surprises

Ne tardez pas à faire la demande

Il est fortement conseillé de faire votre demande de duplicata le plus rapidement possible après la perte. En cas de contrôle routier, l’absence de carte grise ou de certificat provisoire peut entraîner une amende de 135 €.

Vérifiez vos informations

Avant de valider votre demande en ligne, prenez le temps de bien vérifier :

  • L’adresse indiquée : elle doit être actuelle et complète, sinon le duplicata ne vous parviendra pas.
  • Les informations du véhicule : modèle, numéro VIN, numéro d’immatriculation.

Si vous constatez une erreur, vous devrez effectuer une demande de correction, ce qui peut allonger les délais.

Surveillez la réception du duplicata

Le duplicata de carte grise est envoyé par courrier sécurisé à l’adresse renseignée, en général sous 7 à 10 jours ouvrés. Vous devrez signer à la réception.

En cas d’absence, un avis de passage vous permettra de retirer votre duplicata en bureau de poste sous 15 jours.

Perdre sa carte grise peut sembler contraignant, mais les démarches pour obtenir un duplicata sont aujourd’hui simples, rapides et accessibles en ligne. Le plus important est d’agir sans tarder, pour éviter tout problème en cas de contrôle routier ou si vous envisagez de vendre votre véhicule.

En résumé :

  • Déclarez immédiatement la perte ou le vol.
  • Faites la demande de duplicata via l’ANTS ou un professionnel habilité.
  • Fournissez les documents nécessaires et surveillez la livraison.

Un duplicata est exactement équivalent à l’original et vous permettra de rouler légalement en toute sérénité.

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Marché Automobile

Achat d’une voiture d’occasion : les pièges à éviter absolument

Acheter une voiture d’occasion peut être une excellente affaire. Prix attractifs, modèles récents, équipements intéressants… les annonces sont nombreuses et les opportunités paraissent souvent alléchantes. Pourtant, derrière certaines offres apparemment idéales, se cachent parfois de mauvaises surprises.

Un véhicule d’occasion peut révéler des vices cachés, un entretien douteux, voire des fraudes si l’on ne prête pas suffisamment attention aux détails. Alors, comment éviter les arnaques et faire un achat éclairé ? Quels sont les pièges à déjouer absolument lorsque vous achetez une voiture d’occasion ?

Dans cet article, nous allons passer en revue les pièges les plus courants, vous expliquer comment les repérer et vous donner toutes les clés pour acheter votre prochain véhicule en toute confiance.

1. Les pièges liés à l’état du véhicule

Ce que vous devez absolument vérifier avant d’acheter

Un kilométrage falsifié

C’est l’arnaque la plus répandue dans le marché de l’occasion : le compteur trafiqué. Il est très facile pour un vendeur malhonnête de diminuer le kilométrage affiché afin d’augmenter artificiellement la valeur du véhicule.

Comment l’éviter ?

  • Vérifiez la cohérence entre l’état général du véhicule et le kilométrage annoncé (usure du volant, des pédales, des sièges).
  • Demandez à consulter le carnet d’entretien et les factures : les kilomètres doivent y être notés.
  • Consultez l’historique du véhicule via des plateformes comme Histovec (en France) qui permettent de vérifier les informations administratives.

Un véhicule accidenté ou gravement endommagé

Certains véhicules mis en vente ont subi des accidents importants et ont été réparés à moindre coût, parfois sans transparence.

Comment l’éviter ?

  • Inspectez attentivement la carrosserie : différence de teinte, alignement approximatif des éléments, traces de soudure suspectes.
  • Vérifiez les espaces entre les portières, le capot, les ailes.
  • Demandez le rapport d’expertise ou le procès-verbal du contrôle technique, qui peuvent mentionner d’éventuels accidents.

Un entretien insuffisant

Un véhicule d’occasion mal entretenu peut cacher des problèmes mécaniques coûteux à réparer.

Comment l’éviter ?

  • Exigez les factures d’entretien et le carnet d’entretien tamponné.
  • Vérifiez que les révisions et les changements de pièces d’usure (courroie de distribution, freins, pneus…) ont été réalisés selon les préconisations constructeur.
  • Méfiez-vous des véhicules vendus sans historique clair.

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2. Les pièges liés au vendeur et aux documents

Les précautions administratives à prendre

Un vendeur non professionnel dissimulé

Certains vendeurs particuliers agissent en réalité comme des professionnels déguisés. Ils achètent et revendent plusieurs véhicules sans déclaration officielle, ce qui peut poser problème en cas de litige.

Comment l’éviter ?

  • Vérifiez si le vendeur revend régulièrement des véhicules.
  • Privilégiez les professionnels ou les particuliers qui vendent leur propre voiture et non un « stock ».

Des documents manquants ou falsifiés

Lors de l’achat, certains documents sont indispensables. Si le vendeur ne peut pas vous les fournir, méfiance !

Vous devez obligatoirement obtenir :

  • La carte grise barrée, datée et signée
  • Le certificat de non-gage (certificat de situation administrative)
  • Le procès-verbal du contrôle technique de moins de 6 mois (si le véhicule a plus de 4 ans)
  • Le certificat de cession

Astuce : Vérifiez que les informations (numéro VIN, immatriculation) correspondent à celles du véhicule.

Un prix anormalement bas

Un tarif trop attractif peut cacher un vice : véhicule accidenté, volé, endetté ou en procédure administrative.

Comment l’éviter ?

  • Comparez les prix du marché pour un modèle équivalent.
  • Méfiez-vous des annonces avec un prix 30 à 40 % inférieur à la cote réelle.
  • N’envoyez jamais d’argent sans avoir vu le véhicule.

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3. Les pièges liés au contrat et aux conditions de vente

Les erreurs à ne pas commettre lors de la transaction

Acheter sans essayer le véhicule

Beaucoup de personnes achètent leur voiture d’occasion sans même l’avoir conduite. C’est un piège majeur.

Pourquoi c’est risqué ?

  • Vous ne détecterez pas d’éventuels bruits suspects, vibrations, dysfonctionnements de boîte de vitesses ou de freinage.
  • Vous ne pourrez pas juger du confort et de l’agrément de conduite.

Notre conseil : Insistez toujours pour faire un essai routier, même court.

Payer sans contrat écrit

Un achat de véhicule d’occasion doit toujours s’accompagner d’un contrat écrit précisant les conditions de vente.

Ce document doit mentionner :

  • Les coordonnées des deux parties
  • Le descriptif du véhicule (modèle, numéro VIN, kilométrage, année)
  • Le prix de vente
  • La date et le lieu de la transaction

Cela vous protège en cas de litige.

Négliger les garanties

Contrairement aux idées reçues, acheter un véhicule d’occasion chez un professionnel vous donne droit à une garantie légale de conformité. Certains vendeurs essaient d’en minimiser l’importance ou de faire signer des décharges.

Nos conseils :

  • Lisez bien les conditions de garantie proposées.
  • Privilégiez les vendeurs professionnels qui offrent une garantie commerciale complémentaire.
  • Méfiez-vous des ventes entre particuliers : aucune garantie légale n’est obligatoire (sauf vice caché avéré).

L’achat d’un véhicule d’occasion peut être une excellente opportunité, à condition d’être vigilant et bien informé. Entre les arnaques sur le kilométrage, les véhicules accidentés ou les documents falsifiés, les pièges sont nombreux… mais évitables.

En appliquant ces bonnes pratiques :

  • Vérification mécanique et administrative
  • Essai du véhicule
  • Analyse du prix par rapport au marché
  • Vérification des documents
  • Signature d’un contrat clair

… vous mettez toutes les chances de votre côté pour acheter une voiture d’occasion en toute sérénité, sans mauvaise surprise.

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Marché Automobile

En quoi consiste la préparation de ma voiture ?

Lorsque vous achetez un véhicule neuf ou d’occasion, un détail passe souvent inaperçu mais joue pourtant un rôle essentiel : la préparation du véhicule. Avant que vous ne puissiez tourner la clé (ou appuyer sur le bouton Start), votre future voiture passe entre les mains d’une équipe spécialisée qui effectue toute une série d’opérations techniques et esthétiques.
Mais en quoi consiste réellement cette préparation ? Pourquoi cette étape est-elle incontournable ? Est-ce un simple coup d’éponge ou une démarche plus complète qui garantit votre sécurité et votre satisfaction ?

Dans cet article, nous vous expliquons en détail ce qu’est la préparation de véhicule, pourquoi elle est indispensable et ce qu’elle comprend réellement. Vous verrez qu’il ne s’agit pas d’une simple formalité, mais d’une étape cruciale avant la livraison de votre voiture.

1. La préparation mécanique : vérifier et sécuriser

Avant tout, la préparation de votre véhicule passe par un contrôle mécanique rigoureux. Que vous achetiez un véhicule neuf, d’occasion, ou un modèle sorti de leasing, il ne peut être livré sans être passé par une série de vérifications techniques.

Contrôle des niveaux et des éléments de sécurité

La première étape consiste à vérifier et ajuster l’ensemble des fluides nécessaires au bon fonctionnement du véhicule :

  • Huile moteur
  • Liquide de refroidissement
  • Liquide de frein
  • Liquide lave-glace

Ces contrôles permettent d’assurer que le véhicule est prêt à prendre la route sans risque de dysfonctionnement.

Vérification de l’état général des organes mécaniques

Les techniciens procèdent ensuite à un contrôle visuel et technique des principaux organes :

  • Freins : usure des plaquettes et disques, fonctionnement du frein à main
  • Pneumatiques : état général, pression, usure
  • Suspensions et amortisseurs
  • Éclairage et signalisation
  • Essuie-glaces
  • Système électronique (tableau de bord, voyants)

Ces vérifications sont réalisées selon une checklist constructeur dans le cas d’un véhicule neuf, ou selon une liste de points de contrôle définie par le garage pour les véhicules d’occasion.

Passage éventuel à la valise de diagnostic

Sur les modèles récents, un diagnostic électronique peut être effectué afin de vérifier l’absence de codes défauts et remettre à zéro les paramètres liés à l’entretien.

[ tressolcode brand= »JEEP » type= »recherche » ]

2. La préparation esthétique : nettoyer et embellir

Un véhicule prêt à être livré, c’est aussi un véhicule impeccable visuellement. C’est pourquoi la préparation esthétique est une étape essentielle du processus.

Un nettoyage intérieur minutieux

L’intérieur du véhicule est soigneusement nettoyé pour offrir une expérience client optimale :

  • Aspiration complète de l’habitacle (sols, tapis, sièges, coffre)
  • Dépoussiérage du tableau de bord, des plastiques et des grilles d’aération
  • Nettoyage des vitres intérieures
  • Désinfection des zones de contact (volant, levier de vitesse, poignées)

Pour les véhicules d’occasion, un shampoing des sièges ou un traitement des odeurs peut également être réalisé.

Un lavage extérieur complet

L’extérieur du véhicule est lui aussi soigné :

  • Lavage haute pression de la carrosserie
  • Décontamination des jantes et des pneus
  • Nettoyage des vitrages extérieurs
  • Essuyage à la main pour éviter les traces

Sur certains modèles d’occasion, un polish ou un traitement anti-rayures peut être appliqué pour redonner de l’éclat à la carrosserie.

Pose d’éléments complémentaires

La préparation inclut également la pose :

  • Des plaques d’immatriculation
  • Des badges ou stickers éventuels
  • Des accessoires demandés par le client (tapis de sol, attelage, coffre de toit…)

Cette étape garantit que le véhicule est prêt à rouler au moment de la livraison.

3. Les vérifications administratives et la remise en main propre

La préparation de votre véhicule ne s’arrête pas au nettoyage ou aux vérifications techniques. Il y a également un travail administratif et un accompagnement client à ne pas négliger.

La mise à jour administrative du véhicule

Avant la remise des clés, le professionnel doit :

  • Effectuer les démarches d’immatriculation (carte grise)
  • Mettre à jour le carnet d’entretien numérique ou papier
  • Préparer les documents de garantie constructeur ou de garantie occasion
  • Vérifier que le contrôle technique est valide (pour les véhicules d’occasion)

Ces démarches sont comprises dans les frais de préparation et permettent au client de récupérer un véhicule administrativement en règle.

La vérification finale avant livraison

Juste avant la remise des clés, un dernier contrôle visuel est effectué pour s’assurer que tout est conforme :

  • Présence de la notice d’utilisation
  • Double des clés
  • Accessoires demandés
  • Niveau de carburant suffisant
  • Aucune rayure ou détérioration visible

Le véhicule est ensuite stationné dans l’espace livraison du garage, prêt à être remis en main propre.

L’accompagnement du client

Au moment de la livraison, le professionnel prend généralement le temps de :

  • Expliquer les principales fonctionnalités du véhicule
  • Remettre tous les documents nécessaires (carte grise, carnet d’entretien, contrat de garantie…)
  • Répondre aux questions sur l’utilisation ou l’entretien

[ tressolcode type= »estimator » ]

Cette étape marque la fin du processus de préparation, avec pour objectif de garantir une expérience client irréprochable.

Vous l’aurez compris, la préparation de votre véhicule ne se résume pas à un simple coup d’éponge ou à la pose des plaques. Il s’agit d’un processus rigoureux, mêlant contrôles techniques, nettoyage soigné, démarches administratives et accompagnement personnalisé.

Ce travail, souvent invisible pour le client, a un objectif clair : vous remettre un véhicule propre, sûr, conforme et prêt à rouler. Que vous achetiez un véhicule neuf ou d’occasion, cette étape est la garantie d’une livraison sans mauvaise surprise, dans les meilleures conditions.

La prochaine fois que vous récupérerez un véhicule fraîchement préparé, vous saurez désormais tout le soin et le professionnalisme déployés en coulisses pour vous offrir cette expérience client clé en main.

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Pratique Auto

Pourquoi payer un forfait pour la révision de votre voiture ?

Chaque année ou tous les 15 000 kilomètres, le même rituel revient : le message sur le tableau de bord, l’appel au garage, le rendez-vous pris pour une révision automobile. Et systématiquement, la même question trotte dans la tête de nombreux conducteurs : Pourquoi payer un forfait pour la révision de mon véhicule ? Est-ce vraiment nécessaire ? Certains y voient une dépense évitable, d’autres un simple passage obligé.

Derrière ce forfait qui peut sembler flou ou coûteux, il y a pourtant une réalité bien plus complexe : il s’agit d’un véritable investissement pour la longévité de votre voiture, votre sécurité et votre portefeuille à long terme.

Dans cet article, nous allons vous expliquer en détail pourquoi vous payez un forfait révision, ce qu’il contient et pourquoi il est préférable de ne pas faire l’impasse.

1. Que contient réellement le forfait révision ?

Décryptage d’un tarif souvent mal compris

Lorsque vous prenez rendez-vous pour la révision de votre véhicule, le garage vous propose un forfait entretien. Mais que comprend réellement ce tarif ? Pourquoi ne facture-t-on pas simplement les prestations à la carte ?

Les opérations incluses dans le forfait

Un forfait révision couvre plusieurs prestations techniques indispensables au bon fonctionnement de votre voiture. Selon l’âge et le kilométrage de votre véhicule, il peut inclure :

  • La vidange d’huile moteur avec huile conforme aux normes constructeur
  • Le remplacement du filtre à huile
  • Le contrôle et la mise à niveau des liquides (refroidissement, freins, lave-glace)
  • La lecture des codes défauts électroniques via une valise diagnostic
  • La vérification des organes de sécurité (freins, pneus, suspensions)
  • Parfois, le remplacement des filtres à air, habitacle, carburant ou des bougies

Ces opérations sont essentielles pour prévenir l’usure prématurée du moteur et garantir votre sécurité sur la route.

La main-d’œuvre et les équipements inclus

Le forfait couvre également :

  • Le temps de travail du technicien qualifié (en moyenne 1h30 à 2h)
  • L’utilisation de matériels professionnels (pont élévateur, outils spécialisés, valise électronique)
  • La mise à jour de votre carnet d’entretien numérique, élément important pour la revente

Le saviez-vous ? En cas d’intervention chez un professionnel, vous bénéficiez d’une responsabilité légale en cas d’erreur, ainsi que d’une garantie sur les pièces et la main-d’œuvre.

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2. Pourquoi payer un forfait plutôt qu’un tarif à la carte ?

Les avantages d’un forfait révision pour l’automobiliste

À première vue, certains automobilistes peuvent penser qu’ils feraient mieux de payer chaque prestation séparément ou même de réaliser l’entretien eux-mêmes. Pourtant, le forfait révision répond à une logique simple : vous faire gagner du temps, de l’argent et vous éviter les mauvaises surprises.

Un tarif clair et transparent

Avec un forfait, vous connaissez le prix global à l’avance, sans mauvaise surprise à la sortie. Il évite les additions de dernière minute et les prestations facturées individuellement qui, au final, peuvent coûter bien plus cher.

Un entretien conforme aux préconisations constructeur

Les forfaits sont conçus pour respecter scrupuleusement les plans d’entretien constructeur. Cette conformité vous permet :

  • De préserver la garantie constructeur
  • De garantir la valeur de revente de votre véhicule
  • D’éviter des pannes liées à un entretien incomplet ou approximatif

Une prestation optimisée

Enfin, les forfaits vous font bénéficier d’un tarif plus avantageux que la somme des prestations réalisées séparément. Ils regroupent tout ce qui est nécessaire, évitent les oublis, et sont ajustés selon l’âge, le modèle et le kilométrage de votre voiture.

3. Est-ce obligatoire et pourquoi est-ce un bon investissement ?

Révision auto : entre obligation, sécurité et rentabilité

Contrairement au contrôle technique, la révision n’est pas imposée par la loi. Cependant, elle est fortement recommandée pour plusieurs raisons.

Maintenir la garantie constructeur

Si votre véhicule est neuf ou récent, le respect du plan d’entretien conditionne la validité de la garantie constructeur. En cas de panne, si l’entretien n’a pas été réalisé correctement et dans les délais, la garantie peut être annulée.

Protéger votre sécurité et celle des autres

Les vérifications réalisées lors de la révision ne sont pas de simples formalités : elles permettent de s’assurer que les organes de sécurité (freins, suspensions, pneus, électronique) fonctionnent correctement. Un défaut non détecté pourrait avoir des conséquences graves sur la route.

Limiter les frais imprévus

Beaucoup d’automobilistes pensent faire des économies en repoussant ou évitant la révision. C’est souvent une fausse bonne idée. Un entretien régulier permet d’anticiper les pannes coûteuses :

  • Moteur encrassé par une huile trop vieille
  • Surchauffe due à un liquide de refroidissement négligé
  • Problèmes électroniques non détectés

👉 En clair, le coût d’une révision est toujours inférieur au coût d’une panne évitable.

Valoriser votre véhicule

Un carnet d’entretien à jour, avec des factures de révision régulières, est un véritable argument lors de la revente. Un acheteur sera plus enclin à payer le bon prix pour un véhicule entretenu et suivi.

Payer un forfait pour la révision de son véhicule n’est pas une dépense anodine, mais un véritable investissement à long terme. Derrière ce montant parfois jugé trop élevé, il y a la compétence de techniciens qualifiés, l’utilisation d’équipements de pointe, la garantie d’un entretien conforme aux prescriptions constructeur et surtout, votre sécurité.

Ne pas faire sa révision ou la bâcler peut coûter bien plus cher que ce que vous auriez économisé : casse moteur, panne électronique, perte de garantie… autant d’incidents qui peuvent être évités avec un entretien rigoureux.

Alors, la prochaine fois que vous verrez apparaître le fameux message « Révision à faire », rappelez-vous : ce n’est pas qu’une facture à payer, c’est la garantie de rouler sereinement, durablement et en toute sécurité.

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Que faire si mon voyant moteur s’allume ?

Un voyant moteur qui s’allume sur le tableau de bord peut rapidement semer le doute, voire la panique. Est-ce grave ? Dois-je m’arrêter immédiatement ? Ou puis-je continuer à rouler sans risque ? Le témoin moteur, aussi appelé « check engine », peut indiquer de nombreux problèmes, allant du plus bénin au plus sérieux.

1. Comprendre ce que signifie le voyant moteur

Le rôle du voyant moteur

Le voyant moteur est un témoin lumineux qui signale une anomalie détectée par l’unité de contrôle électronique du véhicule. Il peut s’agir d’un problème d’allumage, d’émissions polluantes, de capteurs ou d’un composant du moteur.

Voyant fixe ou clignotant : quelle différence ?

  • Voyant moteur fixe : souvent associé à un problème mineur (capteur d’oxygène, sonde lambda, etc.), il permet généralement de continuer à rouler prudemment.
  • Voyant moteur clignotant : il indique un dysfonctionnement grave (ratés d’allumage, surchauffe, risque de détérioration du catalyseur) et nécessite un arrêt immédiat du véhicule.

Les erreurs les plus fréquentes

Parmi les causes courantes d’activation du voyant moteur, on trouve :

  • Problème de bougies d’allumage
  • Défaillance de la vanne EGR
  • Problème de catalyseur ou sonde lambda
  • Capteur de pression ou de température défectueux

2. Les premières actions à effectuer

Vérifier les autres témoins

Avant toute chose, vérifiez si d’autres voyants sont allumés (température, huile, batterie). Leur présence conjointe peut indiquer un problème plus sérieux.

Réduire sa vitesse et éviter les efforts moteurs

Si le voyant moteur est fixe, roulez à vitesse modérée et évitez les accélérations brusques, les côtes importantes et les charges lourdes.

Couper le moteur et redémarrer

Dans certains cas, le voyant peut s’éteindre après un redémarrage. Cela peut indiquer un faux contact ou un bug temporaire du calculateur.

Contrôler le bouchon de carburant

Un bouchon mal refermé peut déclencher l’allumage du voyant moteur sur certains modèles, en raison d’un défaut de pression dans le circuit d’évaporation des vapeurs d’essence.

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3. Diagnostiquer et réparer le problème

Utiliser une valise de diagnostic OBD

Un boîtier OBD-II permet de lire le code défaut enregistré par le calculateur. Il existe des modèles accessibles au grand public, à connecter via Bluetooth ou USB, accompagnés d’applications mobiles.

Consulter un garagiste

Si vous ne parvenez pas à diagnostiquer l’origine du problème, rendez-vous dans l’un de nos ateliers ou dans votre garage de confiance. Un professionnel pourra identifier précisément l’origine de la panne et effectuer les réparations nécessaires.

Ne pas ignorer le voyant moteur

Même si le véhicule semble rouler normalement, il est fortement déconseillé d’ignorer un voyant moteur. Cela pourrait aggraver le problème et engendrer des réparations coûteuses à terme.

L’allumage du voyant moteur n’est jamais à prendre à la légère. En cas de doute, ralentissez, observez le comportement de votre voiture et consultez un professionnel dès que possible. Grâce à quelques vérifications simples et une intervention rapide, vous éviterez des pannes plus graves et préserverez la longévité de votre moteur.

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Pratique Auto

Quelles sont les réparations prioritaires avant un contrôle technique ?

Le contrôle technique est une étape obligatoire pour tous les véhicules de plus de 4 ans. Un échec peut entraîner une contre-visite et des frais supplémentaires. Pour éviter cette situation, il est essentiel d’anticiper les réparations prioritaires avant de présenter son véhicule à l’examen. Quels sont les points clés à vérifier ? Quelles réparations sont indispensables pour éviter la contre-visite ? Faisons le tour des éléments à contrôler en priorité.

1. Les éléments de sécurité : freins, pneus et direction

Les freins : un point de contrôle essentiel

Le système de freinage est un critère majeur du contrôle technique. Pour éviter une contre-visite, il faut :

  • Vérifier l’usure des plaquettes et des disques de frein.
  • S’assurer que le liquide de frein est à un niveau correct et qu’il n’y a pas de fuite.
  • Tester l’efficacité du frein à main.

Les pneus : l’adhérence avant tout

Des pneus en mauvais état sont un motif fréquent de refus au contrôle technique. Il est donc indispensable de :

  • Vérifier la profondeur des sculptures (minimum légal de 1,6 mm).
  • Examiner les flancs pour détecter toute fissure ou hernie.
  • S’assurer que la pression des pneus est conforme aux recommandations du constructeur.

La direction et la suspension : des composants critiques

Un jeu excessif dans la direction ou une suspension défaillante peut compromettre la sécurité. Il faut donc :

  • Tester l’absence de jeu dans le volant.
  • Vérifier l’état des amortisseurs et des rotules de direction.
  • Contrôler les silentblocs et les biellettes de suspension.

2. Les systèmes de visibilité : éclairage et pare-brise

L’éclairage : un motif fréquent de contre-visite

Un mauvais fonctionnement des feux est un motif de refus courant. Pour éviter cela, il est conseillé de :

  • Vérifier l’état et le bon fonctionnement des feux de croisement, de route, de position et de stop.
  • Remplacer les ampoules défectueuses.
  • S’assurer du bon réglage des phares pour éviter d’éblouir les autres usagers.

Le pare-brise : attention aux fissures

Un pare-brise fissuré dans le champ de vision du conducteur peut entraîner une contre-visite. Il faut :

  • Vérifier l’absence d’impacts gênants.
  • Changer les essuie-glaces si nécessaire.
  • Remplir le liquide lave-glace.

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3. Les contrôles mécaniques et pollution

Le contrôle des émissions polluantes

Depuis le renforcement du contrôle technique, les émissions de CO₂ et de particules fines sont scrutées. Pour éviter un refus :

  • Vérifier l’état du filtre à air et du filtre à particules.
  • Nettoyer ou remplacer la vanne EGR.
  • Faire un décrassage moteur avant le passage au contrôle.

Les fuites et niveaux de liquides

Un moteur qui fuit peut être recalé. Il est important de :

  • Vérifier l’absence de fuite d’huile, de liquide de refroidissement ou de carburant.
  • S’assurer que le niveau de liquide de direction assistée est suffisant.

L’état du pot d’échappement

Un pot d’échappement trop bruyant ou endommagé peut être un motif de refus. Vérifiez qu’il n’y a pas de trous ou de soudures cassées.

Passer un contrôle technique sans encombre nécessite un minimum d’anticipation. En vérifiant en priorité les freins, les pneus, l’éclairage et les émissions polluantes, vous éviterez les mauvaises surprises et les frais inutiles d’une contre-visite. Un entretien régulier reste la meilleure solution pour assurer la longévité et la conformité de votre véhicule.