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Protéger sa voiture en cas de fortes averses

Lorsque les averses arrivent, notre attention se porte souvent sur la façon de nous protéger de la pluie. Cependant, il est tout aussi important de penser à la protection de notre véhicule. Les routes mouillées et glissantes peuvent présenter des défis pour les conducteurs, tout en endommageant la carrosserie et les composants internes du véhicule. Dans cet article, nous vous présenterons quelques conseils essentiels pour protéger votre véhicule par temps de pluie, en minimisant les risques d’accidents et en préservant son aspect extérieur.

Se garer en intérieur

Si vous avez un garage ou un abri dans lequel vous pouvez stationner votre voiture, ne perdez pas une seconde. Cela protégera votre véhicule des conditions météorologiques et des éventuels dégâts. De plus, appliquer du vernis sur votre voiture peut être très bénéfique. En effet, cela ajoutera une protection supplémentaire en empêchant l’eau de toucher directement la peinture lors d’une averse importante.

Optez pour une housse de protection

Si vous n’avez pas la possibilité d’avoir un garage, il existe néanmoins des moyens de protéger votre voiture. Tout d’abord, vous pouvez vous abriter sous un arbre, par exemple. Une autre solution consiste à investir dans une housse de protection. En effet, cette dernière est à la fois imperméable et respirante, ce qui permet de préserver au mieux votre voiture des intempéries. La housse évite tout contact avec l’eau et permet également l’évacuation de l’eau piégée sous celle-ci.

En cas d’inondation, que faire ?

Si, par malheur, votre voiture est inondée, il est important de prendre certaines mesures pour minimiser les dommages occasionnés.

Tout d’abord, évitez de tenter de redémarrer le véhicule. En effet, cela ne ferait qu’aggraver la situation si de l’eau se trouve dans le moteur. La première action à entreprendre est d’éliminer l’eau stagnante. Plus l’eau reste présente à l’intérieur de la voiture, plus elle causera de dégâts.

Pour finir, il est recommandé d’aérer votre véhicule pour permettre le séchage des parties mouillées, telles que les sièges. Les principaux problèmes associés à la pluie et aux inondations comprennent l’entrée d’eau dans le moteur, la corrosion, les dommages aux composants électriques tels que la radio, les vitres électriques et le tableau de bord, ainsi que les dommages aux pièces mobiles tels que les freins, la pédale d’embrayage et le starter.

En conclusion, il est primordial de prendre certaines précautions pour protéger son véhicule par temps de pluie. En adoptant une conduite prudente, en vérifiant régulièrement l’état des pneus, des freins et des essuie-glaces, et en appliquant un traitement hydrophobe sur les vitres, on peut réduire les risques d’accidents et de détérioration liés aux intempéries.

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CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE Pratique Auto

Voyager avec son animal

Rouler avec un animal de compagnie peut être une expérience agréable, mais cela nécessite une certaine préparation et une attention particulière. Que vous envisagiez un court trajet avec votre chien ou un long voyage en voiture avec votre chat, il est important de prendre quelques précautions pour assurer la sécurité et le confort de votre animal pendant le trajet. Cet article vous donnera quelques conseils utiles pour rouler avec votre animal afin de rendre votre voyage aussi agréable que possible pour vous et votre compagnon à quatre pattes.

Les animaux en voiture et la loi :

Bien qu’aucune loi française n’évoque spécifiquement le transport d’animaux en voiture, l’article R412-6 du Code de la route impose certaines obligations aux conducteurs, à savoir : être prêt à effectuer toutes les manœuvres requises immédiatement, jouir d’une liberté de mouvement complète et disposer d’une vision dégagée.

Enfreindre cette règle peut entraîner pour le conducteur :

  • une contravention de deuxième classe
  • une éventuelle immobilisation du véhicule.

En d’autres termes, il est important de comprendre que voyager avec un animal en liberté à l’intérieur de la voiture peut être une source de distraction ou de désagrément en cas de situation d’urgence. En fin de compte, tout comme les humains, nos compagnons à quatre pattes doivent être attachés pendant les trajets en voiture.

Assurer la sécurité de son animal en voiture

Lorsqu’ils sont libres, les animaux peuvent présenter des comportements dangereux en voiture. Par manque de patience, par peur ou par inconfort, ils pourraient mettre le conducteur en danger en essayant de grimper sur ses genoux, de se cacher entre ses jambes ou en sautant d’un siège à l’autre.

De plus, en cas de freinage d’urgence, ils risquent d’être gravement blessés, voir de se transformer en véritables projectiles, ce qui représente un danger considérable pour eux-mêmes ainsi que pour les passagers. Lors d’un choc à une vitesse de 50 km/h, leur poids peut être multiplié par 30.

Pour résumer, un chat pesant 5 kg peut devenir un projectile potentiel de 150 kg, tandis qu’un chien pesant 35 kg peut atteindre une tonne.

Afin d’assurer la sécurité de son animal pendant les déplacements en voiture, il est essentiel de l’attacher.

Attacher son animal, les différentes méthodes :

Attacher son chat : Attacher un chat avec un harnais peut être difficile, donc la meilleure option est de le mettre dans une cage de transport en plastique ou en osier, ou dans un sac de transport en nylon. Par mesure de sécurité, il est important de fermer fermement la cage ou le sac de transport et de les attacher au siège avec la ceinture de sécurité. Pour se sentir en sécurité, il est préférable que la cage soit adaptée à la taille du chat, ni trop grande ni trop petite. Des jouets parfumés à l’herbe à chat ou aux phéromones peuvent l’aider à se relaxer.

Attacher son chien : Il est préférable de placer son chien sur la banquette arrière d’une berline et de l’attacher solidement à l’aide d’un harnais qui peut se fixer aux laisses et aux ceintures de sécurité. Les systèmes d’attache munis d’un embout de fixation pour la ceinture de sécurité et d’un mousqueton à attacher au collier du chien peuvent également représenter une option intéressante.

Pour éviter que le chien ne se promène à l’intérieur du véhicule lorsqu’il voyage dans le coffre d’un break, deux solutions peuvent être envisagées : installer une grille ou un filet de sécurité entre le coffre et la banquette arrière (de taille universelle ou sur mesure), ou opter pour une cage de transport adaptée au coffre.

Faire des pauses :

Lorsque le voyage est de longue durée, il est conseillé de faire une pause toutes les deux heures afin de nourrir et d’hydrater son chien ou son chat. Heureusement, il existe de nombreux types de gamelles nomades spécialement conçues pour les animaux, ce qui permet de les ravitailler pendant le trajet. Certains modèles 2 en 1 peuvent être utilisés à la fois comme bouteille d’eau et comme abreuvoir.

La pause est un moment propice pour permettre à votre chien de faire ses besoins. Assurez-vous de le tenir en laisse ou en harnais et n’oubliez pas d’emporter un ramasse crottes et un sac pour les déjections.

Il est fortement déconseillé de laisser un animal seul dans une voiture pendant l’été, même si celle-ci est équipée de pare-soleil et même pour une brève période. En seulement dix minutes au soleil, la température à l’intérieur du véhicule peut augmenter considérablement. Par exemple, lorsque la température extérieure est de 25 °C, elle peut rapidement atteindre 40 °C dans l’habitacle. Cette chaleur est beaucoup trop élevée pour un chien ou un chat.

Il est possible de choisir un collier de sécurité à LED pour rendre son animal de compagnie visible de loin pendant la nuit. Ce collier peut être réglé en mode continu ou en mode clignotant et fonctionne avec des piles. Il peut être ajusté pour s’adapter au cou des chiens et des chats.

Les indispensables en cas d’imprévus

Il est possible qu’un événement imprévu se produise, même si l’on a tout planifié. Afin de se préparer à toutes les éventualités, il est conseillé de posséder une trousse de secours spécialement conçue pour les animaux de compagnie en cas de voyage en voiture. Pour constituer cette trousse de santé, il est recommandé de prioriser les éléments suivants : une couverture de survie, une paire de gants en latex, un sac pour les déjections, un jeu de compresses stériles de différentes tailles ou des bandes de gaze, un coussin hémostatique, un rouleau de ruban adhésif cutané, une poche de froid instantanée, une pipette de sérum physiologique, d’antiseptique et d’eau oxygénée, une seringue, un rasoir, une paire de ciseaux, un thermomètre et un tire tique. Il est également recommandé d’inclure le carnet de santé de l’animal.

Rester au propre

Il est préférable de prendre des mesures préventives en installant une housse de protection auto pour chien ou chat sur le siège avant ou la banquette arrière afin de gérer les petits incidents et minimiser les risques de salissures.

Dans le but de rafraîchir l’intérieur de la voiture, il est possible d’utiliser un destructeur ou un neutralisateur d’odeurs pour traiter l’habitacle. Ensuite, il suffit de passer un gant ou un rouleau adhésif conçu spécialement pour éliminer les poils d’animaux de compagnie sur les sièges et les moquettes.

En conclusion, lorsque l’on prend la décision de voyager avec son animal de compagnie, il est important de prendre certaines précautions pour assurer le bien-être et la sécurité de tous. De la préparation du voyage, en passant par l’organisation de la cage de transport adaptée et enfin en s’assurant du confort de l’animal tout au long du trajet, il existe de nombreux conseils pratiques à suivre pour une expérience de voyage réussie. En respectant ces conseils, il est possible de profiter pleinement de la compagnie de son animal tout en garantissant son bien-être et en évitant tout danger potentiel sur la route.

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Rouler la nuit, rouler en sécurité : nos conseils

Rouler de nuit peut être une expérience totalement différente de la conduite en pleine journée. Les conditions de visibilité sont réduites, la fatigue peut se faire sentir et il y a également un risque accru d’accidents. C’est pourquoi il est essentiel de connaître et de suivre quelques conseils pour rouler en toute sécurité la nuit. Dans cet article, nous vous proposons quelques astuces pratiques afin de vous aider à mieux appréhender la conduite nocturne et à éviter les dangers potentiels qui y sont associés.

Phares et visions :

Vérifiez que vos phares avant et arrière sont en bon état de fonctionnement et propres afin de bénéficier d’une visibilité optimale. Évitez d’utiliser vos feux de route lorsque vous croisez d’autres véhicules, car cela peut aveugler les conducteurs en sens inverse. En général, et même si la distance est respectée, repassez en feux de croisement dès que vous vous approchez à 150 mètres d’une voiture. Assurez-vous que votre pare-brise, vos vitres et vos rétroviseurs sont propres et ne présentent pas de reflets excessifs, pour une visibilité maximale.

Restez attentifs !

Réduisez votre vitesse la nuit pour avoir plus de temps pour réagir aux obstacles imprévus. Maintenez une distance de sécurité plus grande par rapport aux véhicules devant vous car il peut être plus difficile d’estimer leur distance et leur vitesse. Évitez les distractions en éteignant votre téléphone portable et en éliminant les distractions à l’intérieur de la voiture. Soyez attentif aux panneaux de signalisation, aux feux de circulation et aux indicateurs de virage pour anticiper les changements de direction. Soyez particulièrement vigilant dans les zones résidentielles ou rurales car les piétons, les cyclistes et les animaux peuvent être plus difficiles à repérer la nuit.

L’importance des pauses

Pour éviter tout risque, prenez des pauses régulières et rafraîchissez-vous si vous vous engagez dans un long trajet de nuit. Il est toujours préférable de prévenir, car il est facile de s’endormir au volant. Faites également en sorte d’être bien reposé avant de partir la nuit. La fatigue peut avoir un impact sur votre temps de réaction et votre concentration, raisons pour lesquelles il est important d’être attentif à votre forme physique.

Pour rouler de nuit en toute sécurité, il est essentiel de suivre quelques conseils simples, mais importants. Il est recommandé d’adapter sa vitesse à la visibilité réduite et de rester attentif aux éventuels obstacles sur la route. Enfin, il est préférable d’éviter toute distraction au volant, comme l’utilisation du téléphone portable ou de la radio, afin de maintenir une concentration optimale. En suivant ces conseils, les conducteurs pourront profiter d’une conduite nocturne plus sécurisée et agréable.

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Pratique Auto

Tout savoir sur la contre-visite

Le moment tant redouté du contrôle technique est arrivé, et ce que vous craignez est arrivé. Vous devez passer une contre-visite. Mais alors combien cela va vous coûter ? Quel délai avez-vous ? Pas de panique, on vous explique tout dans le Mag Tressol-Chabrier.

Le tarif :

En général, le coût du contrôle technique s’élève à environ 80 euros, mais heureusement, la contre-visite est beaucoup moins coûteuse. En moyenne, cette seconde vérification est facturée entre 15 et 40 euros.

Dans certains cas, les experts proposent des contre-visites gratuites, mais cette offre est de plus en plus rare. Moins de 2 % des centres en France proposeraient des contre-visites gratuites.

Cependant, il n’existe aucune réglementation légale encadrant cette tarification. Ainsi, le coût d’une contre-visite peut varier selon plusieurs critères tels que le centre de contrôle technique, la région, le nombre de points de contrôle, le type de véhicule utilisé et le carburant utilisé.

La durée :

La durée de l’opération varie en fonction des éléments à améliorer, pouvant aller de 10 minutes à une heure.

Le moment adapté :

Si le technicien a identifié des défaillances majeures ou critiques et n’a donc pas attribué la vignette bleue à l’automobiliste, la contre-visite devient obligatoire.

Le propriétaire du véhicule a jusqu’à deux mois après le premier contrôle pour effectuer une contre-visite en cas de défaillances majeures. Tant que les améliorations n’ont pas été effectuées, il lui est interdit de conduire sa voiture en cas de défaillances graves.

Si une contre-visite est recommandée, il est important de fixer un rendez-vous avec un garagiste sans tarder. Le professionnel pourra ainsi effectuer les modifications recommandées lors du premier contrôle technique.

Il est important de noter qu’il est conseillé de garder le rapport de l’expert avec vous entre le contrôle technique et la contre-visite. Ce document pourrait vous éviter une amende si vous êtes arrêté par les forces de l’ordre en raison d’un défaut de contrôle technique.

Nos conseils :

Afin d’éviter des frais supplémentaires lors d’un contrôle technique, il est recommandé de prendre soin régulièrement de votre voiture.

Pour préserver votre véhicule, veillez à adopter une conduite douce dans le but d’éviter les dommages au moteur et aux composantes mécaniques. Respectez également les intervalles de révision et, surtout, suivez les recommandations de votre garagiste pour le remplacement des pièces.

En respectant ces règles, vous augmenterez vos chances de réussir votre contrôle technique dès la première fois et éviterez de devoir repasser une visite complémentaire. Si vous avez remarqué une panne ou si un voyant s’allume sur le tableau de bord de votre véhicule, nous vous suggérons de ne pas le conduire immédiatement pour maximiser vos chances d’obtenir le contrôle technique sans délai.

Commencez par vous rendre dans un garage pour faire réparer votre voiture, puis organisez votre contrôle technique ultérieurement. Avant de l’amener dans un centre, veillez à nettoyer votre moteur en utilisant un dégraissant approprié ou un additif spécifique. Grâce à ces produits d’entretien auto, il devient plus facile de réussir le test antipollution et de minimiser les chances d’être soumis à une contre-visite.

En conclusion, la contre-visite du contrôle technique représente une étape essentielle dans la garantie de la sécurité et de la fiabilité des véhicules sur nos routes. Grâce à cette procédure, les propriétaires de véhicules ont la possibilité de rectifier les éventuels défauts observés lors du premier contrôle technique, permettant ainsi de prévenir d’éventuels accidents et d’améliorer la qualité du parc automobile.

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Pratique Auto

Volant en cuir, comment le rénover ?

Votre voiture n’est plus toute jeune, et votre volant en cuir commence à voir les signes de l’âge apparaître… Et si dans le Mag Tressol-Chabrier, il y avait la solution à ce problème ? Voici nos conseils pour rendre ce volant comme neuf et frimer encore longtemps à bord de votre voiture.

La méthode de restauration

En prenant soin du volant de sa voiture, il est possible de prévenir l’apparition de fissures, de craquelures et de décoloration.
Il est possible de résoudre soi-même des dommages déjà existants. Pour rénover complètement un volant en cuir, il vous suffit de suivre cinq étapes.

  • Pour commencer, il est nécessaire d’éliminer la poussière du volant en utilisant un chiffon doux et sec tel qu’une lingette en microfibre.
  • Après avoir enlevé les particules de poussière et les saletés non incrustées, il est temps de passer à l’étape du nettoyage et du dégraissage. Vous avez deux options pour cette phase de rénovation :
  1. Utiliser des produits naturels comme du savon de Marseille et de l’eau.
  2. Opter pour des produits d’entretien automobile spécifiquement conçus à cet effet.
  • La troisième étape du processus consiste à effectuer un ponçage, au moyen d’un papier à grain fin ou d’un tampon abrasif spécialement conçu à cet effet, afin de lisser le cuir des volants sans l’endommager.

Après avoir été nettoyé et lissé, le cuir est prêt à être rénové.

  • Il est nécessaire d’utiliser un produit spécifique pour cette étape, tel qu’un cuir liquide pour réparer les craquelures et les fissures, ou une peinture spéciale pour restaurer la couleur d’origine du volant.
  • La dernière étape de la rénovation consiste à appliquer de la cire, un baume ou une huile. L’objectif est d’hydrater la matière, de la nourrir et de lui redonner de l’éclat.

Sachez que certaines étapes peuvent ne pas être nécessaires dans tous les cas. Par exemple, si le cuir n’est pas très endommagé, il n’est pas obligatoire de le poncer. Selon les étapes, vous avez la possibilité d’utiliser des solutions et des accessoires que vous avez à votre disposition à la maison, ou bien, vous pouvez opter pour l’achat de produits spécialement conçus pour l’entretien automobile. Il est possible de trouver des kits pour rénover les volants en cuir des voitures dans les magasins ainsi que sur internet.

Combien de temps pour une rénovation ?

Il faut prévoir entre 2 et 5 heures pour une rénovation complète du volant en cuir, en fonction de son état et des actions nécessaires pour le restaurer. Par exemple, si le cuir est très abîmé, il faudra le poncer et appliquer plusieurs couches de peinture, ce qui demandera plus de temps que simplement le nettoyer et appliquer un produit rénovateur.

Les mesures de sécurité :

Il est recommandé de prendre des précautions pour préserver votre santé lors de l’utilisation de produits de rénovation du cuir, car ils peuvent contenir des substances chimiques. Ainsi, nous vous conseillons de porter des gants et un masque tout en opérant.

Nous vous recommandons également de protéger les parties proches du volant en les recouvrant, de manière à éviter qu’elles ne subissent des dommages causés par les produits d’entretien destinés au cuir.

Vous êtes désormais au point, votre volant est prêt à être rénové ! N’hésitez pas à nous suivre sur les réseaux sociaux et à nous dire si vous êtes satisfait de cette technique !

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Des nouvelles couleurs chez Fiat

Fiat nous en met pleins les yeux et décline ses deux nouvelles versions de la Nouvelle 500 en s’inspirant des magnifiques couchers de soleil et du ciel italien. Elles ont été spécialement conçues pour mettre en valeur la silhouette emblématique de ce modèle électrique italien. Actuellement, la gamme de couleurs FIAT en Europe compte 30 teintes différentes, qui représentent la beauté des paysages italiens, les valeurs de la nouvelle Dolce Vita et l’essence même de la marque italienne. Retour en exclusivité sur la vie en couleurs chez Fiat.

Une nouvelle stratégie :

FIAT continue sa stratégie révolutionnaire de couleurs en s’inspirant de la mer, du soleil, de la terre et du ciel italiens. L’objectif de la marque est de donner de la couleur au monde de la mobilité afin de consolider son leadership indéniable en tant que marque joyeuse, colorée et optimiste. À partir d’octobre 2023, la gamme de couleurs FIAT s’enrichira de deux nouvelles teintes dédiées à la Nouvelle 500, qui puisent leur inspiration dans le Soleil et le Ciel italiens.

FIAT a décidé de ne plus fabriquer de voitures grises et a plutôt opté pour une gamme de teintes exclusives qui évoquent les magnifiques paysages italiens tels que la mer, le soleil, la terre et le ciel. Depuis plus d’un siècle, FIAT apporte de la joie, de l’insouciance et le raffinement italien dans les rues du monde entier.

S’inspirant du soleil italien, la nouvelle couleur « Jaune Pastel » de la Fiat 500 ajoutera une touche de pop et de vitalité à la voiture, contrastant avec les teintes neutres prédominantes dans les villes. De son côté, le nouveau « Bleu Clair Irisé » renforcera le positionnement haut de gamme de la Nouvelle 500, en rappelant les cieux italiens. Grâce à un procédé de peinture spécifique, cette teinte offre un effet irisé qui change selon la lumière, semblable à un ciel se reflétant sur la mer. En plus des nouvelles couleurs, la Fiat 500 est également proposée en Rose Gold, Rouge, Onyx Black et Ice White. En Europe, la gamme Fiat est disponible dans 30 nuances de couleurs différentes, toutes évoquant les paysages et le style de vie italien.

Alors inspirés par ces couleurs ? Une envie de voyage en Italie ? Et si pour entamer ce périple, vous passiez dans l’une de nos concessions Fiat Tressol-Chabrier ? Nous n’attendons plus que vous !

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Sécurité routière & Prévention

Téléphone et conduite : le récap

Malgré son interdiction formelle, l’utilisation du téléphone au volant est souvent considérée comme anodine. Cependant, cette pratique augmente le risque d’accident par trois. Ce chiffre atteint même 23 lorsque le conducteur lit un SMS. Voici un article approfondi sur les dangers liés à l’utilisation du téléphone au volant.

Quels sont les risques ?

L’utilisation du téléphone en conduisant a un impact significatif sur la réactivité des conducteurs et la sécurité des autres usagers de la route. Aucune de ces conséquences ne doit être minimisée :

  • Le temps de réaction est rallongé, ce qui augmente le risque de collision.
  • Le temps de freinage est également prolongé, ce qui peut entraîner des accidents imprévus.
  • La distance de sécurité entre les véhicules est réduite, ce qui augmente les risques de collision arrière.
  • Il devient difficile de maintenir le véhicule dans sa voie de circulation, ce qui augmente le risque de déviation involontaire.
  • Il est par ailleurs difficile de conserver une vitesse appropriée, ce qui peut causer des situations dangereuses.
  • Le champ de vision est réduit, ce qui peut conduire à une perception altérée des dangers potentiels.
  • L’insertion dans le trafic devient plus compliquée et risquée.
  • L’utilisation du téléphone provoque du stress, de la tension voir de la frustration, ce qui peut nuire à la concentration sur le conducteur.

Le téléphone : une distraction

Lorsque vous utilisez votre téléphone, votre attention est détournée de la route. En effet, le smartphone est le seul appareil capable de cumuler les quatre types de distraction qui peuvent détourner l’attention d’un conducteur :

  • La distraction visuelle : le conducteur détourne son regard de la route.
  • La distraction cognitive : le conducteur se concentre sur une conversation ou sur ce qu’il lit plutôt que sur la conduite.
  • La distraction auditive : le conducteur ne prête plus attention aux sons extérieurs qui peuvent signaler un danger potentiel.
  • La distraction physique : le conducteur ne tient plus le volant à deux mains lorsqu’il compose un numéro, envoie un message ou tient son téléphone en main.

Rappel de la loi :

Il est interdit d’utiliser un téléphone portable tenu en main pendant la conduite, sous peine d’une amende de 135 € et d’un retrait de 3 points du permis de conduire. Il est également interdit de consulter ou manipuler son téléphone, avec les mêmes sanctions.
Si un conducteur tient son téléphone en main en commettant une autre infraction, il peut se voir retirer son permis de conduire, et après constatation par les forces de l’ordre, son permis peut être suspendu pendant une durée maximale de six mois.
Il est interdit de placer dans le champ de vision du conducteur un appareil en fonctionnement avec un écran qui n’est pas une aide à la conduite ou à la navigation. Cette infraction est passible d’une amende pouvant atteindre 1 500 euros et d’un retrait de 3 points du permis de conduire.

Les forces de l’ordre peuvent saisir l’appareil qui peut ensuite être confisqué définitivement par le tribunal après la condamnation du contrevenant.
Porter à l’oreille un dispositif produisant du son (oreillette, casque, écouteur) est interdit pour tous les usagers de la route, y compris les cyclistes et les personnes à trottinette. Cette infraction est punie d’une amende de 135 euros et d’un retrait de 3 points du permis de conduire pour les conducteurs de véhicules motorisés. Les kits intégrés dans les voitures et les casques de moto restent autorisés, tout comme les sonotones.

Nos conseils :

Voici quelques astuces simples pour éviter d’utiliser son téléphone en conduisant :

  1. Débranchez-le : Une solution radicale mais efficace est d’éteindre votre téléphone ou de le mettre en mode avion avant de prendre le volant.
  2. Rangez-le dans le coffre : Si vous avez du mal à résister à la tentation, mettez toutes vos affaires, y compris votre téléphone, dans le coffre de votre voiture ou dans le top-case de votre deux-roues.
  3. Anticipez vos appels importants : Si vous avez un coup de fil important à passer, faites-le avant de prendre la route.
  4. Informez vos contacts que vous ne serez pas disponible : Prévenez vos contacts que vous ne pourrez pas répondre à leurs appels ou messages pendant que vous conduisez.
  5. Passez le relais : Si vous êtes accompagné, demandez à votre passager de prendre les appels pour vous.
  6. Programmez des pauses : Si vous ressentez le besoin de consulter votre téléphone, prenez une pause. Arrêtez-vous dans un endroit sécurisé, comme un parking ou une aire de repos, pour vérifier votre téléphone. Sur l’autoroute, utilisez uniquement les aires aménagées et jamais les bandes d’arrêt d’urgence.
  7. Soyez conscient des sanctions encourues : Gardez à l’esprit les sanctions auxquelles vous vous exposez si vous êtes pris en train d’utiliser votre téléphone en conduisant. Vous risquez une amende de 135 euros et une perte de 3 points sur votre permis de conduire.
  8. Pensez à vos amis : Avant d’appeler un proche, assurez-vous qu’il ne soit pas en train de conduire. S’il l’est, raccrochez immédiatement et attendez qu’il soit en sécurité.

Il est important de rappeler que téléphoner en Bluetooth est tout aussi dangereux que de tenir le téléphone en main. En effet, la distraction causée par la conversation nous détourne de la route. Le risque est réduit de 2 à 3 fois lorsqu’on converse avec un passager dans la voiture, car il sera plus attentif à la circulation. La capacité de réaction est également réduite, et à 130 km/h, la distance de décélération est allongée de 70 m par rapport à une conversation avec un passager.

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Voiture de collection et carte grise : les avantages

En France, la carte grise collection est une forme spécifique de certificat d’immatriculation attribuée exclusivement aux véhicules anciens. Afin de bénéficier de ce type d’immatriculation, le véhicule concerné doit être âgé de plus de 30 ans, ne plus être fabriqué et n’avoir subi aucune modification. Cette carte grise présente divers avantages

Bye la vignette Crit’air

En d’autres termes, les véhicules de collection sont autorisés à circuler sans aucune restriction, même pendant les périodes de pollution où la vignette Crit’Air est normalement requise.

Le contrôle technique

Les véhicules de collection bénéficient d’un contrôle technique moins fréquent et moins rigoureux que les véhicules classiques, avec une périodicité de 5 ans au lieu de 2. De plus, les véhicules anciens immatriculés avant 1960 sont exemptés totalement de contrôle technique.

La liberté de l’immatriculation

Il est possible pour les propriétaires d’un véhicule classé collection de choisir librement le format d’immatriculation, qu’il soit carré, rectangulaire ou même courbé. De plus, la carte grise permet également d’opter pour une plaque avec des caractères blancs sur fond noir, semblables aux immatriculations d’époque.

Adieu la casse

Les véhicules munis d’une carte grise ordinaire doivent être systématiquement mis au rebut dès qu’ils sont déclarés économiquement irréparables après un accident grave. En revanche, cette règle ne s’applique pas aux voitures de collection, peu importe l’ampleur des dommages.

Malgré ses nombreux avantages, la carte grise de collection présente néanmoins certaines limites. Il est important de noter que les véhicules classés en tant que collection ne peuvent pas être utilisés à des fins professionnelles ou lucratives. De plus, en cas de vice caché lors de l’achat d’un tel véhicule, il serait impossible de faire appel au vendeur, car la carte grise collection ne garantit pas de manière indiscutable la fiabilité du véhicule.

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Code de la route : Les changements en 2023

Les candidats à l’examen du code de la route vont maintenant être confrontés à des questions plus claires et faciles à comprendre, ainsi qu’à l’utilisation de photos de drones pour plus de réalisme. Ce changement a été mis en place il y a près de deux ans pour une raison précise. Selon Florence Guillaume, déléguée interministérielle à la sécurité routière, l’objectif est de rendre la difficulté de l’examen dans la réponse à apporter plutôt que dans la compréhension des questions. Jusqu’à présent, certaines questions étaient trop complexes, mais en les reformulant de manière plus claire, il est probable qu’un meilleur taux de bonnes réponses aurait été obtenu.

1. Les nouvelles mobilités

Afin d’éviter toute confusion chez les candidats, les termes complexes du nouvel examen ont été retirés des questions. Par exemple, le mot « anneau » pour désigner un « rond-point » a été enlevé. De plus, étant donné l’importance croissante des nouvelles mobilités douces sur les routes et les nombreux accidents enregistrés, cette thématique est également abordée dans les 40 questions du nouveau code, réparties en neuf thématiques. Pour réussir l’examen, il est toujours nécessaire de répondre correctement à au moins 35 questions, telles que celles-ci :

  • Est-ce que l’équilibre d’un usager à trottinette est précaire ? (oui ou non)
  • Est-ce que le faible gabarit d’un usager à trottinette le rend peu détectable ? (oui ou non)

L’arrivée des drones

L’objectif est par ailleurs d’éviter les difficultés auxquelles de nombreux candidats étaient confrontés jusqu’à présent en rendant l’identification des photos plus claire et immédiate. Sur le plan visuel, les questions ont été modifiées pour être plus réalistes, notamment en utilisant des prises de vue par drone au lieu d’images de synthèse. De plus, la mention « plusieurs bonnes réponses » est désormais affichée dès qu’il est attendu deux réponses, et un rectangle jaune a été ajouté sur les images pour indiquer clairement le véhicule concerné par la question. Il convient de souligner que la dernière modification des questions de l’examen du Code de la route en France remonte à 2016 et que le code de la route, qui célèbre ses 102 ans cette année, reste valide pendant cinq ans, jusqu’à l’obtention de l’examen pratique.

Alors avis à tous les candidats qui vont bientôt passer l’épreuve fatidique du Code de la route, vous êtes prêts ? Bientôt, vous pourrez passer les célèbres heures de conduite et devenir libres à bord de votre prochaine voiture. Mais en attendant, le Code de la route vous attend !

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Balais d’essuies-glaces : Quand et comment les changer ?

Dans cet article, nous allons explorer l’un des éléments essentiels de sécurité sur nos véhicules : les essuie-glaces. Qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il y ait juste de la brume, les essuie-glaces jouent un rôle crucial en aidant le conducteur à maintenir une visibilité claire de la route. Nous verrons les différentes fonctionnalités des essuie-glaces modernes, des types de balais disponibles sur le marché, ainsi que des conseils d’entretien pour garantir leur efficacité maximale. Que vous soyez un novice en matière d’entretien automobile ou un passionné avide d’apprendre de nouveaux détails, cet article vous fournira toutes les informations nécessaires pour comprendre l’importance d’une utilisation correcte des essuie-glaces et vous aidera à prendre des décisions éclairées lors de leur remplacement et de leur entretien.

Durée de vie de vos balais :

En général, il est recommandé de remplacer les balais d’essuie-glaces environ une fois par an. Toutefois, il convient de noter que cette durée peut varier considérablement en fonction de l’utilisation fréquente et des conditions climatiques. Par exemple, pendant l’été, la chaleur et l’exposition au soleil peuvent rendre le caoutchouc plus rigide et l’endommager, tandis que le froid hivernal peut entraîner des fissures.

Comment changer ses balais d’essuie-glaces ?

Il est possible de réaliser le changement de vos balais en seulement 10 minutes. Voici un exemple pour les modèles les plus courants :

  • Levez le bras d’essuie-glace.
  • Retirez le balai en place : un petit morceau de plastique maintient le balai. Appuyez sur ce morceau et retirez le balai en le faisant glisser. Pendant cette étape, veillez à ce que le bras du balai ne retombe pas, car il pourrait heurter votre pare-brise. Vous pouvez prévenir cela en plaçant un chiffon sur votre pare-brise.
  • Insérez le nouveau balai : insérez-le doucement dans le bras métallique jusqu’à entendre un clic.
  • Replacez délicatement le bras contre le pare-brise.

Répétez ces étapes avec le deuxième balai d’essuie-glace. Dans certains véhicules, les deux balais peuvent être de tailles différentes. Assurez-vous donc d’installer le bon balai.

Nous vous recommandons de changer les balais une fois par an, avant le début de la saison des pluies. Profitez de cette occasion pour également faire le plein de liquide lave-glace !

Prolonger vos balais c’est possible !

  • Assurez-vous de vérifier régulièrement l’état des balais d’essuie-glace. S’ils sont usés ou endommagés, remplacez-les immédiatement pour éviter d’éventuels dommages au pare-brise.
  • Lorsque vous utilisez les balais d’essuie-glace, évitez de les laisser en position de repos pendant une longue période sous le soleil ou par temps chaud. La chaleur excessive peut endommager le caoutchouc des balais.
  • En cas de bruit ou de traînée excessive lors de l’utilisation des balais d’essuie-glace, vérifiez s’il y a des objets coincés ou des débris sur le pare-brise ou les balais. Nettoyez-les soigneusement pour assurer un fonctionnement lisse.
  • Enfin, il est recommandé de vérifier et de remplir quotidiennement le réservoir de liquide lave-glace pour vous assurer d’avoir une bonne visibilité pendant la conduite.

En conclusion, l’utilisation des balais d’essuie-glaces est essentielle pour assurer une visibilité claire et optimale lors de la conduite sous des conditions météorologiques difficiles. Ils jouent un rôle essentiel en éliminant efficacement l’eau, la neige et autres débris de la surface du pare-brise afin de garantir une conduite sûre.