Catégories
Nos marques

CUPRA Born VZ: Puissance, Style et Finitions à l’Avant-Garde de l’Électrique

La révolution électrique s’accélère avec l’arrivée du CUPRA Born VZ, un modèle qui repousse les limites de la performance et du design dans l’univers des véhicules électriques. Avec une puissance accrue, un style affirmé et des finitions haut de gamme, le CUPRA Born VZ incarne l’ambition de la marque de conjuguer électrification et émotion. Découvrons ensemble comment ce modèle est prêt à établir de nouveaux standards dans sa catégorie.

Puissance et performances redéfinies

Le CUPRA Born VZ se distingue par une puissance impressionnante de 325 ch et un couple de 545 Nm, propulsant le véhicule de 0 à 100 km/h en seulement 5,7 secondes. Avec une vitesse maximale de 200 km/h, ce modèle électrique ne fait aucun compromis sur la performance, offrant une expérience de conduite dynamique et exaltante. Grâce à des améliorations significatives apportées à la suspension, à la direction et au système de freinage, le CUPRA Born VZ promet un comportement routier exceptionnel, à la hauteur de ses performances impressionnantes.

Style et Design : Une esthétique affirmée

Le CUPRA Born VZ ne passe pas inaperçu, grâce à son design extérieur enrichi de deux nouvelles jantes en alliage de 20 pouces et de nouveaux coloris exclusifs, dont le Vert Esterel. Ces éléments, combinés au logo VZ en dark chrome, soulignent le caractère sportif et l’identité unique de ce modèle. À l’intérieur, les nouveaux sièges CUP Bucket de série renforcent l’ambiance sportive, offrant une position de conduite optimale et un confort exceptionnel, tout en soulignant l’engagement de CUPRA envers des matériaux durables et de haute qualité.

Technologie et Innovation : au cœur de l’expérience

Le CUPRA Born VZ intègre des innovations de pointe pour améliorer l’expérience de conduite et la sécurité. Le système de freinage régénératif avec palettes au volant permet une récupération d’énergie optimisée, tandis que le nouveau système d’infodivertissement avec un écran de 12,9 pouces offre une interface utilisateur intuitive et connectée. De plus, le partenariat avec Sennheiser pour le système audio immersif garantit une qualité sonore exceptionnelle, enrichissant chaque trajet.

Le CUPRA Born VZ est une véritable vitrine de l’innovation et de la performance électrique, marquant une étape significative dans l’évolution de la marque CUPRA. Avec sa combinaison gagnante de puissance, de style et de technologies avancées, ce modèle est prêt à séduire les amateurs de voitures électriques à la recherche d’une expérience de conduite sans compromis. La CUPRA Born VZ est plus qu’un véhicule électrique; c’est une déclaration audacieuse sur l’avenir de la mobilité, prête à conquérir les routes et les cœurs dès son lancement au troisième trimestre 2024.

#OccasionCupra #OccasionCupraBorn

Catégories
Pratique Auto

Véhicules neufs : Des changements prévus dès juillet 2024

L’adoption du General Safety Regulation 2 (GSR2) marque un tournant décisif dans l’histoire de la sécurité routière en Europe. Avec pour objectif principal de réduire significativement le nombre d’accidents et de victimes sur les routes, cette nouvelle réglementation impose dès juillet 2024 une série de changements radicaux pour les véhicules neufs. Ces innovations, synonymes de progrès, pourraient néanmoins susciter des réactions mitigées chez les automobilistes.

Partie 1 : Les innovations majeures imposées par la GSR2

Freinage automatique avancé
Au cœur des nouveautés, le freinage automatique deviendra une norme. Capable de détecter les risques de collision avec d’autres véhicules, piétons, ou cyclistes, cette technologie intervient lorsque le conducteur ne réagit pas à temps, activant les freins pour éviter l’accident.

Assistance intelligente à la vitesse (ISA)
L’ISA représente une autre avancée majeure. Grâce à une caméra qui lit les panneaux de signalisation et se réfère aux cartes de navigation, le système informe le conducteur des limitations de vitesse actuelles, favorisant le respect des règles de circulation.

Maintien automatique dans la voie
Le système de maintien dans la voie garantit une conduite plus sûre en empêchant les déviations involontaires. Associé à un régulateur de vitesse adaptatif, il offre une expérience de conduite semi-autonome de niveau 2.

Partie 2 : Surveillance et sécurité renforcées

Surveillance de l’attention du conducteur
Une technologie innovante surveillera l’attention du conducteur via une caméra infrarouge, détectant les signes de fatigue ou de somnolence pour prévenir les accidents dus à l’inattention.

Contrôle de la zone arrière
Les véhicules seront également équipés d’un système de contrôle de la zone arrière, augmentant la sécurité lors des manœuvres en détectant les obstacles ou les personnes derrière le véhicule.

Introduction de la boîte noire
Enfin, l’intégration d’une boîte noire, enregistrant des données clés comme la vitesse ou le freinage avant, pendant, ou après un accident, vise à faciliter les enquêtes en cas d’incident.

Partie 3 : Implications et perspectives

Impact sur le coût des véhicules neufs
L’intégration de ces technologies avancées entraînera inévitablement une augmentation du prix des véhicules neufs. Toutefois, cet investissement initial devrait être compensé par une réduction des coûts d’entretien et de réparation, ainsi qu’une amélioration significative de la sécurité routière.

Réception par les automobilistes
Bien que l’intention derrière ces changements soit louable, l’augmentation des assistances et des alertes pourrait être perçue comme intrusive par certains conducteurs, générant un sentiment de sur-assistance et potentiellement du stress additionnel.

L’été 2024 marquera le début d’une nouvelle ère pour la sécurité automobile en Europe. La mise en œuvre de la GSR2 traduit une volonté ferme de l’Union européenne d’améliorer la sécurité de tous les usagers de la route. Si l’adaptation à ces changements représente un défi pour les constructeurs et les conducteurs, les bénéfices attendus en termes de réduction des accidents et des victimes sur nos routes justifient pleinement ces efforts. L’industrie automobile est ainsi appelée à innover, non seulement pour se conformer à la réglementation, mais aussi pour répondre aux attentes croissantes des consommateurs en matière de sécurité et de technologie.

Catégories
Pratique Auto

L’Autonomie des voitures électriques : Entre promesses et réalité

L’autonomie est sans doute l’un des critères les plus scrutés lors de l’achat d’une voiture électrique. Elle symbolise à la fois la liberté de mouvement et l’efficacité technologique. Pourtant, entre les chiffres annoncés par les constructeurs et l’expérience vécue par les automobilistes, un écart significatif peut parfois se dessiner. Mais pourquoi cette différence d’autonomie est-elle si fréquente, et comment peut-on mieux appréhender cette variable ?

La norme WLTP : Un idéal sur papier

Les constructeurs s’appuient sur la norme WLTP (Worldwide Harmonized Light Vehicles Test Procedure) pour indiquer l’autonomie de leurs véhicules électriques. Cette procédure standardisée vise à fournir des données plus représentatives des conditions de conduite réelles. Cependant, même si cette norme est plus fiable que ses prédécesseurs, elle ne peut encapsuler la complexité et la variabilité des conditions de conduite quotidiennes.

Les facteurs X de l’autonomie

Plusieurs variables influencent l’autonomie réelle d’une voiture électrique, souvent omises dans les calculs standards. Par exemple, la consommation énergétique augmente sur autoroute, réduisant ainsi l’autonomie par rapport aux estimations initiales. De plus, le logiciel de la voiture ajuste constamment l’autonomie estimée en fonction de la météo, du style de conduite, de la consommation récente, et de l’utilisation des accessoires. Ces ajustements peuvent entraîner des variations significatives, parfois de plus de 50 %, par rapport à l’autonomie annoncée.

L’usure de la batterie : Une réalité inévitable

Avec le temps, il est normal que l’autonomie d’une voiture électrique diminue. La capacité de la batterie s’érode, impactant directement la distance maximale pouvant être parcourue. Cette dégradation varie selon le modèle et la marque, mais les automobilistes peuvent adopter certaines pratiques pour la ralentir, comme éviter la charge rapide quotidienne et limiter l’exposition à des températures extrêmes.

Vers une estimation plus fiable de l’autonomie

Face à ces variations, il est conseillé de ne pas se fier aveuglement aux chiffres des constructeurs, souvent basés sur des conditions idéales ou des recharges partielles. Une approche plus réaliste consiste à observer la jauge en pourcentage de la batterie, offrant une estimation plus proche de l’autonomie réelle.

Pratiques pour optimiser l’autonomie

Les automobilistes ne sont pas démunis face à ces défis. Adopter une conduite douce, anticiper le freinage et utiliser le frein régénératif permet de maximiser l’énergie récupérée, et donc l’autonomie. De même, choisir une vitesse modérée peut faire une différence notable sur la distance parcourue.

L’autonomie des voitures électriques reste un sujet complexe, influencé par de multiples facteurs externes et par l’usure naturelle de la batterie. En prenant en compte ces éléments et en adoptant des pratiques de conduite économes, les automobilistes peuvent cependant améliorer leur expérience et se rapprocher des performances annoncées. Comprendre ces dynamiques est essentiel pour naviguer dans l’ère de la mobilité électrique avec confiance et réalisme.

Catégories
Pratique Auto

Vol à la roulotte : sécurité et assurance

Le vol à la roulotte, cette pratique malheureusement courante où des individus dérobent des objets dans des véhicules, peut laisser les propriétaires face à des pertes significatives, tant matérielles qu’émotionnelles. Entre les vitres brisées, les serrures forcées, et la disparition d’effets personnels, les victimes se retrouvent souvent désemparées. La question cruciale se pose alors : votre assurance couvre-t-elle ces préjudices, et si oui, comment s’assurer d’un remboursement optimal ?

Vérification de la couverture d’assurance : Un prérequis essentiel

Avant toute chose, il est impératif de comprendre les spécificités de votre contrat d’assurance automobile. Si vous bénéficiez d’une assurance tous risques, vous jouissez théoriquement d’une protection assez large, incluant potentiellement le vol à la roulotte. Toutefois, cette couverture est fréquemment conditionnée par la nature des objets volés et par le montant de la franchise, qui peut parfois rendre l’indemnisation moins attrayante pour des biens de faible valeur.

Pour ceux dont le contrat n’inclut pas cette garantie de base, il est toujours possible d’ajouter une option spécifique contre le vol à la roulotte. Bien que cela représente un coût supplémentaire sur votre prime, cette précaution peut s’avérer judicieuse face à une criminalité en constante évolution.

L’Étendue de l’indemnisation : entre clarté et restrictions

L’indemnisation offerte par votre assurance en cas de vol à la roulotte n’est pas illimitée. Elle se concentre principalement sur les accessoires et pièces du véhicule, excluant souvent les effets personnels sauf mention contraire. De plus, certains objets de valeur, comme les bijoux ou les œuvres d’art, ainsi que l’argent liquide, sont généralement exclus de la garantie. Il est également bon de noter que les vols survenus lors d’un stationnement non autorisé pourraient ne pas être couverts.

Démarches pour une indemnisation efficace

En cas de vol, la réactivité est de mise. Voici les étapes à suivre pour une indemnisation rapide :

  1. Déclaration de Vol : Le vol doit être signalé aux autorités compétentes (commissariat ou gendarmerie) dès sa découverte. Optez pour le service de police du lieu du délit pour faciliter les investigations ou celui de votre domicile.
  2. Documentation : Rassemblez tous les documents pertinents (papiers du véhicule, liste et factures des objets volés) pour étayer votre déclaration.
  3. Déclaration à l’Assureur : Vous disposez de 48 heures après la découverte du vol pour informer votre assureur du sinistre. Joignez à votre déclaration tous les documents utiles, y compris le récépissé de la plainte et, si possible, des photos illustrant les dommages.
  4. Expertise : En cas de dégradations matérielles, votre assurance mandatera probablement un expert pour évaluer les réparations nécessaires.

Face au vol à la roulotte, la prévention et la connaissance de votre couverture d’assurance sont vos meilleurs alliés. En choisissant judicieusement votre contrat et en suivant les démarches appropriées en cas de sinistre, vous maximiserez vos chances d’être indemnisé de manière juste et rapide. N’oubliez pas que l’investissement dans une assurance complémentaire peut s’avérer rentable à long terme, vous offrant ainsi tranquillité d’esprit et sécurité.

Catégories
Sécurité routière & Prévention

Jeunes conducteurs : Comprendre la réglementation

La route est un espace partagé où la prudence est de mise, particulièrement pour les jeunes conducteurs qui entament leur parcours automobile avec un permis probatoire. Cette période, cruciale pour acquérir de l’expérience et renforcer les bonnes pratiques de conduite, est encadrée par des règles spécifiques visant à réduire les risques d’accidents. Cet article détaille la réglementation en vigueur pour les conducteurs novices, soulignant l’importance de ces mesures pour leur sécurité et celle des autres usagers de la route.

Partie 1 : Les spécificités de la conduite en période probatoire

La période probatoire est une étape déterminante dans la vie d’un jeune conducteur, marquée par des règles spécifiques :

  • Limitation de vitesse : Pour favoriser une conduite plus sûre, la vitesse est limitée à 110 km/h sur autoroute et 100 km/h sur les routes à chaussées séparées, des seuils inférieurs à ceux autorisés pour les conducteurs confirmés.
  • Identification par le disque A : Le « disque A » doit être apposé à l’arrière du véhicule, informant ainsi les autres usagers de la route que le conducteur est encore en période probatoire. Cette signalisation vise à encourager la patience et la compréhension des autres conducteurs.
  • Zéro alcool : La tolérance d’alcoolémie est quasi nulle pour les conducteurs novices, avec un seuil fixé à 0,2 g/l de sang. Cette mesure incite à une conduite responsable, l’alcool étant un facteur majeur d’accidents.

Partie 2 : Conséquences des infractions et système de points

Le permis probatoire débute avec un capital de 6 points, soulignant l’importance d’une conduite irréprochable :

  • Retrait de points : Toute infraction au Code de la route peut entraîner un retrait de points. La perte totale de ces points peut aboutir à une annulation du permis de conduire, obligeant le conducteur à repasser son permis.
  • Récupération de points : En l’absence d’infractions, le conducteur voit son capital de points augmenter progressivement jusqu’à atteindre 12 points après 2 ou 3 ans, selon le type de formation initiale suivie.
  • Stage de sensibilisation obligatoire : La perte de 3 points ou plus oblige le conducteur à suivre un stage de sensibilisation à la sécurité routière, une mesure éducative visant à prévenir la récidive.

Partie 3 : Impact de la réglementation sur la sécurité routière

Les statistiques révèlent l’importance de ces mesures :

  • En 2017, les jeunes adultes étaient impliqués dans 28 % des accidents, représentant 25 % des décès sur la route. Ces chiffres alarmants justifient la mise en place d’une réglementation stricte pour les conducteurs novices, visant à réduire leur vulnérabilité et à les sensibiliser aux dangers de la route.

La réglementation pour les jeunes conducteurs, bien que stricte, est essentielle pour garantir leur sécurité et celle des autres usagers de la route. En respectant ces règles, les conducteurs novices peuvent non seulement éviter les sanctions mais surtout contribuer à une route plus sûre pour tous. Cette période probatoire est une opportunité d’apprendre et de s’adapter à l’environnement routier, posant les bases d’une conduite responsable pour les années à venir.

Catégories
Pratique Auto

Tout savoir sur le contrôle technique

La visite technique est une de ces obligations qui, bien qu’essentielles, peuvent s’avérer stressantes et contraignantes. La peur de ne pas réussir cette inspection, ajoutée à la nécessité de réorganiser son emploi du temps, peut rendre l’expérience désagréable. Mais combien de temps faut-il réellement consacrer à cette procédure ? Si en théorie, la durée est brève, certains cas nécessitent un engagement temporel plus important.

Durée habituelle d’un contrôle technique

Pour commencer sur une note positive, la majorité d’entre nous sera soulagée d’apprendre que le contrôle technique est généralement rapide. Pour une voiture standard sans défauts majeurs, l’examen dure entre 30 minutes et une heure, avec une moyenne autour de 45 minutes. Cette efficacité est remarquable compte tenu du nombre de vérifications effectuées par le professionnel. La bonne organisation des centres de contrôle technique permet souvent de réaliser ces inspections sans encombre. De plus, votre présence n’est pas requise, vous offrant la liberté de vaquer à d’autres occupations pendant ce temps.

Exceptions à la règle

Bien que 45 minutes suffisent en général, certains véhicules peuvent nécessiter un temps plus long. Les voitures électriques ou hybrides, par exemple, sont soumises à une dizaine de contrôles supplémentaires, allongeant légèrement la durée. Pour ces cas, prévoyez environ une heure. Les véhicules fonctionnant au GPL demandent encore plus de temps, avec des contrôles pouvant s’étendre jusqu’à 1:30.

La contre-visite

En cas d’échec lors du premier contrôle, des réparations seront nécessaires avant une contre-visite. Cette dernière est plus courte qu’un contrôle complet, mais il est sage de prévoir un peu de temps supplémentaire, au moins un quart d’heure. Cela implique également de prendre un nouveau rendez-vous, souvent pour une durée d’une heure ou deux.

Informations complémentaires sur les contrôles techniques

Il est conseillé de prévoir au moins une heure pour un contrôle technique. Voici d’autres éléments à connaître pour que tout se passe bien :

  • Procédure standard : Un contrôle technique typique examine 133 points essentiels à la sécurité. Ces points couvrent divers aspects du véhicule, tels que l’identification, la direction, le freinage, la carrosserie, la mécanique, la visibilité, le bruit et la pollution.
  • La contre-visite : Nécessaire si un problème critique est détecté, elle sert à confirmer que les défauts ont été corrigés.
  • Validité : Un contrôle technique réussi est valide pour deux ans. Pour les véhicules neufs, le premier contrôle doit être réalisé avant la fin de la quatrième année.
  • Coût : Le prix moyen d’un contrôle technique est d’environ 75 €, mais cela peut varier. Les contre-visites coûtent généralement entre 15 et 30 €, bien que certains centres proposent des contre-visites gratuites.

Le contrôle technique est une étape incontournable pour la sécurité routière, malgré le temps et le coût qu’il représente. Il est crucial de ne pas négliger cette obligation, sous peine de sanctions financières et de restrictions de circulation.

Catégories
Nos marques

Mitsubishi Outlander 2024 : Le retour triomphal en Europe en version hybride rechargeable

Après des moments d’incertitude quant à son avenir européen, Mitsubishi a officiellement confirmé le retour de l’Outlander dans son catalogue pour 2024. Ce SUV, qui bénéficiera d’une motorisation hybride rechargeable (PHEV) couplée à une transmission intégrale, promet de faire des envieux.

Un retour marqué par l’innovation et l’alliance

En 2020, Mitsubishi envisageait de se retirer du marché européen, confronté à l’absence de modèles adaptés. Cependant, grâce au soutien de Renault et à un accord stratégique signé avec Luca de Meo en mars 2021, la marque japonaise a décidé de poursuivre son aventure en Europe. Cet accord prévoyait le développement d’une gamme basée sur les productions de Renault, à l’instar de l’ASX, dérivé du Captur, et de la Colt, jumelle de la Clio. L’Outlander de quatrième génération, déjà apprécié au Japon et aux États-Unis, enrichira l’offre de Mitsubishi en Europe dès 2024, se démarquant nettement des simples rebadgages Renault.

Une technologie hybride rechargeable avancée

L’Outlander 2024 se distingue par son système hybride rechargeable maison, une évolution de celui qui a propulsé la précédente génération à plus de 200 000 ventes en Europe. Le SUV s’équipe d’un moteur thermique 2.4 de 131 ch, conforme à la norme Euro 7, et de deux moteurs électriques (85 kW à l’avant et 100 kW à l’arrière), alimentés par une batterie de 20 kWh. Cette configuration assure une autonomie en tout électrique d’environ 60 km et offre l’avantage d’une transmission intégrale, contrairement au Renault Austral qui, pour l’instant, ne bénéficie ni de l’hybride rechargeable ni de la transmission intégrale, se contentant de roues arrière directrices.

Une plateforme partagée, une identité unique

Bien que reposant sur la plateforme CMF-CD partagée avec le Renault Austral et le futur Espace 6, l’Outlander 2024 se forge une identité propre grâce à sa motorisation distinctive. Contrairement au nouveau Nissan X-Trail qui mise tout sur l’électrique avec son système e4orce, l’Outlander tire également parti de la puissance de son moteur thermique, offrant ainsi une expérience de conduite enrichie et polyvalente.


Le Mitsubishi Outlander 2024 s’annonce comme une figure de proue de la stratégie européenne de Mitsubishi, illustrant parfaitement la capacité de la marque à innover et à s’adapter aux exigences du marché. Avec son système hybride rechargeable performant et sa transmission intégrale, l’Outlander est prêt à redéfinir les standards du SUV en Europe, tout en contribuant à l’essor de la mobilité durable.

#OccasionMitsubishi #OccasionMitsubishiOutlander

Catégories
Pratique Auto

L’électrique, Chapitre 4 : Autonomie WLTP et Autonomie réelle

Dans le paysage en constante évolution de la mobilité électrique, l’autonomie des véhicules électriques (VE) est au cœur des préoccupations des utilisateurs et des fabricants. Aujourd’hui, nous plongeons dans le monde des chiffres qui tentent de quantifier cette autonomie, en mettant un accent particulier sur la norme WLTP et l’écart souvent observé avec l’autonomie réelle. Ce chapitre vise à éclaircir ces concepts, en soulignant l’importance de comprendre la différence entre les deux pour optimiser l’expérience de conduite électrique.

Qu’est-ce que l’autonomie WLTP ?

La norme WLTP (Worldwide Harmonized Light Vehicles Test Procedure) est un protocole d’essai mondial utilisé pour mesurer la consommation de carburant et les émissions de CO2 des véhicules légers, y compris l’autonomie des véhicules électriques. Introduite pour offrir une estimation plus réaliste des performances des véhicules dans des conditions de conduite quotidiennes, la WLTP remplace l’ancienne norme NEDC (New European Driving Cycle) jugée trop optimiste.

L’autonomie WLTP est calculée à travers une série de tests qui simulent différents types de conduite, allant de la ville à l’autoroute. Bien que cette méthode offre une approximation plus fidèle que son prédécesseur, il est crucial de comprendre qu’elle reste une estimation théorique.

L’écart entre l’autonomie WLTP et l’autonomie réelle

La réalité de la conduite quotidienne révèle souvent un écart significatif entre l’autonomie WLTP annoncée et l’autonomie réelle que les conducteurs peuvent attendre. Cet écart peut être attribué à plusieurs facteurs :

  • La vitesse : La conduite à haute vitesse, notamment sur autoroute, augmente la résistance à l’air et réduit donc l’autonomie.
  • Les conditions météorologiques : Les températures extrêmes, qu’elles soient hautes ou basses, affectent la performance des batteries. Le chauffage ou la climatisation, nécessaires dans ces conditions, consomment également de l’énergie.
  • Le relief : Les montées sollicitent davantage la batterie, tandis que les descentes offrent des opportunités de récupération d’énergie grâce au freinage régénératif.
  • L’aérodynamisme et le poids : Un véhicule chargé ou équipé d’accessoires extérieurs (comme des porte-bagages) peut voir son autonomie diminuer en raison d’une augmentation de la résistance au déplacement.

Comment réduire l’écart ?

La connaissance des facteurs influençant l’autonomie réelle permet aux conducteurs de véhicules électriques d’adopter des stratégies pour optimiser leur autonomie. Voici quelques conseils :

  • Adoptez une conduite éco-responsable : Accélérez doucement et utilisez le freinage régénératif autant que possible.
  • Préchauffez ou prérefroidissez votre véhicule : Faites-le pendant qu’il est encore branché à la source d’alimentation pour économiser la batterie.
  • Gérez la vitesse : Limitez la vitesse sur autoroute pour réduire la consommation d’énergie.
  • Planifiez votre itinéraire : Prenez en compte le relief et les conditions météorologiques prévues.

L’autonomie WLTP offre un point de comparaison utile entre les différents véhicules électriques, mais elle ne doit pas être prise au pied de la lettre. L’autonomie réelle varie grandement en fonction de nombreux facteurs, y compris le style de conduite et les conditions extérieures. En comprenant ces nuances et en adaptant leur conduite, les utilisateurs de VE peuvent maximiser leur autonomie et profiter pleinement des avantages de la mobilité électrique. Ce chapitre de l’histoire de l’électrique souligne l’importance de l’éducation et de l’adaptation dans l’ère de la transition énergétique.

Catégories
Pratique Auto

L’électrique, Chapitre 3 : Le kWh/100 km

Aujourd’hui, nous plongeons au cœur d’une notion cruciale dans l’univers des véhicules électriques : le kilowattheure par 100 kilomètres (kWh/100km). Cette unité de mesure est à la mobilité électrique ce que le litre aux 100 kilomètres est à la mobilité thermique. Elle représente la consommation d’énergie d’un véhicule électrique pour parcourir 100 kilomètres.

Pourquoi le kWh/100km est-il important ?

La consommation d’énergie est un critère d’achat primordial pour les consommateurs. Ils veulent savoir combien leur coûtera l’utilisation de leur véhicule au quotidien. Dans le cas des véhicules électriques, cette consommation se mesure en kilowattheures pour 100 kilomètres parcourus. Cette donnée leur permet de comparer l’efficacité énergétique des véhicules, d’estimer le coût de leur recharge et, in fine, de calculer leur économie sur le long terme par rapport à un véhicule thermique.

Comment se calcule le kWh/100km ?

La consommation en kWh/100km varie en fonction de nombreux facteurs, tels que le style de conduite, le type de trajet (urbain, périurbain, autoroute), les conditions météorologiques, et même le poids du véhicule. Une conduite douce et anticipative, par exemple, peut réduire significativement la consommation d’énergie.

Pour calculer le kWh/100km, on divise l’énergie consommée (en kWh) pour un trajet donné par la distance parcourue (en kilomètres) et on multiplie le résultat par 100. Cela donne la consommation moyenne d’énergie sur 100 km.

En conclusion, le kilowattheure par 100 kilomètres (kWh/100km) est bien plus qu’une simple mesure de consommation pour les véhicules électriques ; il représente un pilier fondamental dans la compréhension et l’adoption de la mobilité électrique. Cette unité de mesure, en offrant une comparaison directe avec le bien connu « litres aux 100 » des véhicules thermiques, joue un rôle crucial dans la démystification des véhicules électriques et dans la mise en avant de leurs nombreux avantages, notamment en termes d’économies de coûts d’exploitation, d’efficacité énergétique, et de réduction de l’impact environnemental.

Catégories
Pratique Auto

L’électrique, Chapitre 2 : Le Kilowattheure

Dans le voyage à travers l’histoire de l’électrique, le chapitre sur le kilowattheure (kWh) s’avère crucial, surtout à l’ère où les véhicules électriques (VE) redéfinissent notre mobilité. Aujourd’hui, nous plongeons dans l’univers du kWh, une unité de mesure qui, bien que simple en apparence, est au cœur de la révolution électrique.

Qu’est-ce que le Kilowattheure ?

Le kilowattheure, symbolisé kWh, est l’unité de mesure qui quantifie une quantité d’électricité. Imaginez une ampoule de 1 000 watts (ou 1 kilowatt) allumée pendant une heure ; elle consommera 1 kWh d’électricité. Cette unité est fondamentale non seulement dans le domaine de l’électricité domestique, mais aussi dans celui de la mobilité électrique.

Le kWh et les Véhicules Électriques

Le kWh joue un double rôle. D’une part, il mesure la capacité énergétique des batteries : une batterie avec une capacité de 40 kWh peut théoriquement fournir une puissance de 40 kilowatts pendant une heure. D’autre part, le kWh permet de quantifier l’énergie délivrée par les bornes de recharge, offrant ainsi une analogie directe avec le litre de carburant pour les véhicules thermiques.

Autonomie et Recharge : L’Importance du kWh

L’autonomie d’un véhicule électrique dépend directement de la capacité de sa batterie, exprimée en kWh. Plus cette capacité est grande, plus le véhicule peut parcourir de distance sans nécessiter de recharge. C’est un critère essentiel pour les utilisateurs qui cherchent à minimiser les contraintes liées à l’autonomie.

Quant à la recharge, la puissance des bornes, également exprimée en kilowatts (kW), détermine la vitesse à laquelle un véhicule peut être rechargé. Une borne de recharge rapide, offrant par exemple 50 kW, peut recharger une batterie bien plus rapidement qu’une borne standard de 7 kW. De plus, le chargeur embarqué et la qualité du câble sont éléments essentiels dans la chaîne de recharge. Comprendre le rapport entre ces chiffres est crucial pour optimiser l’utilisation des VE.

Le kilowattheure est plus qu’une simple unité de mesure ; il est le pilier sur lequel repose l’avenir de la mobilité électrique. En comprenant le kWh, vous pouvez mieux appréhender l’autonomie de votre véhicule, optimiser vos temps de recharge et contribuer à une mobilité plus durable.