Oui oui, vous avez bien lu le titre. Il n’y a pas de chiffre en trop. Les faits remontent à octobre 2020 et à cette période, les policiers belges avaient enregistré un automobiliste à 306 km/h près de Liège.
Cela peut paraître ridicule et absurde, mais cet automobiliste ne sera bel et bien pas poursuivi par la justice belge. Mais pourquoi au fait ?
Lors du contrôle, la vitesse de 306 km/h a été enregistrée par un radar NK7. Problème juridique : ce type de radar n’est pas homologué pour les vitesses supérieures à 300 km/h.
Interrogé par nos confrères de Sudinfo, Michel Niezen, directeur de l’entreprise Sirien qui s’occupe de fournir les radars, s’explique :
“Le radar étant homologué jusqu’à 300km/h, la vitesse mesurée n’est pas juridiquement acceptable”.
Cependant, il existe tout de même un moyen de punir le coupable, mais faut-il encore pouvoir l’identifier…
Aucune trace
Si ce n’est la vitesse affichée au radar, il n’existe aucune trace de ce chauffard. En effet, aucune photo de la voiture en question n’a été prise. Personne ne connaît donc le modèle ou bien encore la plaque d’immatriculation du coupable.
Avec plus d’informations, les policiers auraient tout de même pu lui infliger une amende pour conduite très dangereuse. Mais voilà, l’identité du coupable reste encore un mystère.
Source : www.auto-moto.com